Edmund Husserl

aussi « Pensée fait la grandeur de l’homme. » et que « L’homme n’est qu’un roseau (…) mais c’est un roseau pensant. » On voit donc que la conscience marche avec la réflexion. Je sais qui je suis car je suis capable de penser. Par ailleurs, Husserl Edmund va dire “Toute conscience est conscience de quelque chose”. Ici, il s’agit de la conscience de soi. Je sais que je suis « moi » et pas un autre et c’est la conscience de soi qui me donne cette certitude. Par exemple, je suis capable de porter

celui de l'entendement. Tout ce raisonnement suit le courant philosophique de la phénoménologie qui est la science des phénomènes, de ce qui apparaît à la conscience. Telle que l'a définie le fondateur du courant phénoménologique, (1859-1938) Edmund Husserl, au début du vingtième siècle, la phénoménologie est la science des phénomènes, c'est-à-dire la science des vécus par opposition aux objets du monde extérieur. La phénoménologie husserlienne se veut également une science philosophique, c'est-à-dire

de toute vérité. Selon Descartes, l'Homme peut contrôler ses pensées et à travers les années, cette idée est devenue comme universelle chez les gens. Nos pensées sont en nous, dans notre esprit donc nous devrions pouvoir les contrôler. . Edmund Husserl s'appuie sur les travaux de Descartes pour affirmer qu'il y a une différence de nature entre la certitude du "Je pense" et la quasi certitude qu'il existe des choses en dehors de nous. Donc pour Descartes, l'esprit s'identifiait avec la conscience

Gallimard, Paris, 1996, 400p. * GREIMAS A.J., Sémantique structurale, Larousse, Paris, 1966, 262p. * HALL Edward T., Au-delà de la culture, Seuil, Paris, 1979, 233p. * HALL Edward T., La dimension cachée, Seuil, Paris, 1971, 253p. * HUSSERL Edmund, Chose et espace (leçons de 1907), trad. J.F LAVIGNE P.U.F., Paris, 1989,493p. * PELLEGRINO Pierre, le sens de l’espace, Ed. Anthropos, Paris, t.I, l L’époque et le lieu, 2000, 152p. * RENIER Alain / GROUPE SYNTAX/ GREIMAS A.J., Sémiotique

pensant, trouve dans la phénoménologie une nouvelle façon d'aborder les problèmes hérités du dualisme cartésien. Bien que Edmund Husserl se réclame de Descartes, il propose une critique radicale de l'insuffisance de son dualisme. Tous les modernes se situent dans la postérité de Descartes pour approfondir sa philosophie, mais il n'y a pas eu de refonte radicale avant Husserl, qui propose un nouveau concept : l'intentionnalité. Il s'agit, avec ce concept, de sortir de l'impasse quant à la détermination

général, pour le dériver lui-même de structures qui le précèdent. Par exemple, Nietzsche ou les structuralistes dénoncent le cogito comme n'étant qu'une illusion historiquement constituée, et en aucun cas comme un invariant universel. Husserl Edmund Husserl, après avoir travaillé sur les méditations, tentera de fonder la phénoménologie. Il s'inspire du cogito, plus particulièrement du doute méthodique, pour développer son épochè, premier mouvement de la réduction phénoménologique. Contrairement

[masquer] 1 Le cogito cartésien 1.1 Origine 1.2 Dans la philosophie de Descartes 1.3 Portée 2 Postérité 2.1 Un principe à inscrire dans son contexte 2.2 Une métaphysique oubliée ? 2.3 Kant 2.4 Auguste Comte 2.5 Nietzsche, structuralistes 2.6 Husserl 3 Cogito ergo sum et concepts philosophiques 3.1 Concepts philosophiques apparentés 3.2 Le sujet 3.3 Cause première et causalité 3.4 Cause finale 3.5 Cogito et substance 4 Citations 5 Anecdotes 6 Annexes 6.1 Bibliographie 7 Notes et références

les levers, Saadiddin Attaftazani, Les Intentions, Almoulla Sadriddin Achchirazi, Les quatre livres, Saint thomas d'Aquin, De ente et essentia, Duns Scut, Quaest quodlib, Edmund Husserl, Idées directrices pour une phénoménologie transcendantale [ à travers notamment l’importante distinction phénoménologique exprimée par Husserl dans ce livre (Troisième section, Chapitre III, § 103) entre le noyau noématique et les caractères de croyance et leurs corrélatifs les caractères d’Être. ] , Jean Paul Sartre

Galicie, deuxième fils d’Emilia, née Kaczorowska (1884 - 1929), et de Karol Wojtyła (1879 - 1941), officier en retraite. Le couple a eu également un autre garçon, Edmund en 1906 et une fille, Olga, morte en 1914 dès la naissance. Très tôt, le petit Karol perd sa mère (1929), atteinte d'une infection rénaleH 1. puis son frère aîné, Edmund (1906-1932), qui était médecin, atteint de la scarlatineH 1. Adolescent, Karol Wojtyła est passionné de littérature et de théâtreG 1. Il participe à des représentations

accessible à a première personne du singulier alors que nos états cérébraux sont accessible à tous. Elle revoit aussi à l'intentionnalité comme si une main mentale était présente pour viser des objets mentaux "sentiments, perception, discours". Edmund Husserl a dit dans son œuvre: Méditation cartésiennes « l'intentionnalité désigne la propriété foncière qu'a toutes consciences d'être conscience d'être ». La conscience est capable de dirigée son attention sur un objet mentaux précis et il faut être