Effet de démonstration

I.— LA DISSERTATION ÉCONOMIQUE EST UNE DÉMONSTRATION IL FAUT DÉMONTRER. Pour cela, vous pouvez : * partir d’hypothèses desquelles vous tirez des conséquences logiques. Ces dernières sont ensuite confrontées aux faits dans le but de vérifier les hypothèses ; cela vous conduira à CONFIRMER ou à INFIRMER votre hypothèse de départ. Il s’agit d’un raisonnement hypothético-déductif ; * étudier les faits, les événements en utilisant des chiffres ou des ordres de grandeur ; cela vous permettra

la torture. Au chapitre XV de De l’esprit des lois , Montesquieu dénonce l'esclavage en une démonstration qui doit sa force à la forme choisie. Il s'agit en effet d’une argumentation en neuf points successifs, soulignés par une disposition en paragraphes et de nombreux alinéas. Le caractère argumentatif du texte est annoncé dès l'entrée en matière, qui souligne une situation hypothétique. La démonstration reprend alors les arguments que pourraient énoncer les esclavagistes, mais en soulignant à chaque

nous mène-t-elle réellement à la vérité. Enfin, il est essentiel de réflexionner sur le monopole de la vérité étant partiel. I. La science a le monopole de la véritéLa science est capable de vérifier ce qu’elle affirme, en effet, on associe souvent la science à une démarche scientifique rigoureuse et une méthodologie précise. Cette démarche scientifique avec des lois universelles est donc purement objective.Elle possède un discours méthodologiquement élaboréElle offre toujours

récurrence. Or il n'en est rien. Il y a une faille1 dans le raisonnement qui n'échappera pas à un esprit sagace. Premièrement : Le principe de descente infinie de Fermat. Il ne peut exister de suite infinie strictement décroissante d'entiers naturels. Démonstration : si (xn) était une telle suite, on aurait xn+1 < xn pour tout n entier naturel, donc xn+1 ≤ xn – 1. En appliquant ceci à n = 0, 1, 2, ..., on trouve successivement : x1 ≤ x0 – 1, x2 ≤ x1 – 1, etc. On en déduit : x2 ≤ x0 – 2, x3 ≤ x0 – 3, ...,

détournent de la pensée de la mort. L’homme sans le recours de la foi est incapable de faire face à sa condition humaine et multiplie les activités pour enchâsser ses pensées. C’est à travers une démonstration rigoureuse que l’auteur révèle une vision pessimiste sur la condition humaine. I. Une démonstration rigoureuse A) Une démarche scientifique -Pascal est un mathématicien -raisonnement structuré, avec des étapes (liens logiques) -la rigueur du propos -construction hypothèse, conséquence

que Descartes formalise dans ses Règles pour la direction de l’Esprit. La vérité formelle d’une affirmation repose uniquement sur la cohérence de la relation d’idées qui nous a amené à la formuler. Cette cohérence est avant tout nécessaire. En effet, le propre d’un raisonnement valide est la justesse de sa logique, discipline ayant dégagé les différents modes de fonctionnement légitime de la raison à travers trois principes : absence de contradiction (A et non-A impossible) et respect des principes

(sinon l’objet) de la connaissance : l’homme cherche toujours à connaître la vérité de quelque chose. Sens et enjeu de leur relation : le problème de la connaissance. Or ces termes de Raison et de Réel sont liés, ils s’impliquent mutuellement. En effet la Raison se fixe avant tout pour finalité de connaître ou de comprendre le Réel (humain ou naturel, spirituel ou matériel), tout en chassant l’erreur et l’illusion. Le Réel semble son objet ; c’est bien en utilisant la Raison que l’on peut déterminer

nombreuses péripéties, fait de la passion un moteur irrésistible. Exemple : L’analyse de la scène du coup de foudre. Trahison avec M. De B..., des retrouvailles au parloir du séminaire (rejeu du premier coup foudre). Démonstration  : Insistance du personnage-narrateur sur la dimension cyclique de la relation qui le lie à Manon : il est incapable de résister à son amour pour Manon quelles que soient les trahisons qu’elle a pu commettre. La construction répétitive

rechercher avec méthode, et surtout, sans a priori. A priori = justifier indépendamment de l’expérience. II.1. La démonstration La démonstration est un raisonnement déductif. Rôle décisif en maths et en logique. Modèle de cohérence et de rigueur. Pour identifier ce qui fait la force de la démonstration mais aussi quelles en sont les limites on va partir d’un modèle de démonstration qui a été inventé par Aristote : le syllogisme A) Le syllogisme Le syllogisme est un discours

dans le domaine scientifique désigne donc ce qui est vérifiable de façon universelle (puisqu’elle est rationnelle) et par conséquent, objective. Mais toutes les vérités relèvent-elles du domaine scientifique ? Font-elles toutes appel à un type de démonstration, à une expérimentation quelconque ? Pour se demander si toutes les vérités sont scientifiques, il faut d'abord définir les critères qui permettent la scientificité d'une vérité, il faut analyser les limites de ces vérités alors établies, puis