Effet multiplicateur du crédit

RELANCE BUDGETAIRE Relance budgétaire : effets keynésiens et non keynésiens L’analyse keynésienne des effets d’une hausse des dépenses publiques insiste sur la hausse de la demande agrégée dans l’économie. La hausse de la demande publique permet une hausse des revenus et donc une hausse de la consommation des ménages si celle-ci est principalement sensible aux revenus courants (effet multiplicateur). Dans cette analyse, deux facteurs principaux limitent la hausse de la demande agrégée : la hausse

salaires (il faut être en situation de croissance forte). Augmentation des dépenses publiques. Augmentation du crédit liée par une anticipation de la croissance future de la part des consommateurs ou des producteurs dans certains cas. Augmentation des exportations peut provoquer hausse des prix. D’autre part on peut expliquer l’inflation par la demande en analysant l’aspect offre. En effet la demande peut être supérieure à l’offre parce que l’offre est insuffisante. Ainsi il peut y avoir un plein

international sur un pays. Création de monnaie = Le monopole de l’émission de la monnaie fiduciaire (pièces et billets) est détenu en général par la Banque Centrale. La création de monnaie est sinon le fait du système bancaire (quand les dépôts font les crédits) ou du Fonds monétaire international (droits de tirage spéciaux). Croissance externe = c’est une modalité de croissance de l’entreprise qui consiste à acheter tout ou partie d’une autre entreprise. Croissance interne = c’est une modalité de croissance

la mise en place des politiques économiques efficaces visant à le reduire. 1.1 L’influence du déficit public sur la politique budgetaire Les solutions recommandées pour resorber le déficit sont surtout des solutions de politique budgétaire. En effet, plusieurs politiques budgétaires peuvent être utilisées pour combler le déficit public. – L’emprunt : Il s’agit d’emprunter soit auprès des agents nationaux par l’émission des titres publics soit à l’étranger. Cela déplace le problème dans le temps

nouveaux instruments de pilotage efficaces aux entreprises. Il y a une évolution plus lisse de la production. - Le cycle est devenu plus irrégulier, emmené par les marchés financiers. Ceux-ci auraient un impact plus important sur l’activité économique (effet de richesse lié à l’évolution de cours, donc évolution de la consommation). (Source : Que reste-t-il des cycles ?, Alternatives économiques, HS n°53, 3ème trimestre 2002 Q4 – Que cherche à montrer ce document ? …………………………………………………………………………………………………………………………………………

types distingués : 1. les sociétés non financières : produisent des biens et services non financiers et marchands 2. les sociétés financières : fournissent des services d’intermédiaire financier, réparties en 3 catégories : des institutions de crédit (fonction : collecter et répartir), les entreprises d’assurance, les auxiliaires financier d’assurance (courtier, conseiller financier). 3. les administrations publiques : service non marchand destinés à la collectivité, redistribution des revenus

(delta E/delta R) -le multiplicateur : en dehord de la poilotique keynesiene le multiplicateur est un outils utilisé en economie mais aussi un concept sociologique et philosophique -l’accelerateur , lorsque le multiplicateur fonctione la demande va augmenter, il peut arriver que les entreprise ne puissent pas repondre a cette demande, elle vont donc s’agrandir, donc investir, ceux qui globalement va créer un investissement nouveau, il va a son tour faire un multiplicateur. Mise en evidence d’un

(BCE) 2. Demande de monnaie 2.1 La vision classique 2.2 La vision keynésienne 3. L’offre de monnaie 3.1 L’offre de monnaie par les banques commerciales 3.2 L’offre de monnaie par les banques centrales 3.3 Multiplicateur et diviseur de crédit Chapitre 3 : La BCE et la politique monétaire européenne 1. L’architecture monétaire européenne 2. La politique monétaire de la BCE 2.1 Objectifs 2.2 Les instruments 2.3 La stratégie de la BCE

rentabilité. Depuis le développement de la concurrence et la baisse des taux d’intérêts, elles connaissent une désintermédiation. I- Le rôle d’intermédiation  a) Recyclage de l’épargne en assurant la garantie des dépôts, distribution des crédits. b) La création monétaire : financement de l’économie. II- L’évolution de ce rôle, la désintermédiation financière a) La loi bancaire de 84, ouverture du marché des capitaux, les entreprises peuvent directement aller se financer sur ce marché

recours au crédit. Ces titres sont de différentes natures, traditionnellement, on les décompose en deux grandes catégories :  titres de créance (d’emprunt)  titres de propriété (actions) L’entreprise, qui émet une action, n’émet pas une dette, car elle n’est pas remboursable. A l'inverse, les titres de créance sont remboursables  Ils ont une échéance donnée. Ex. : Obligation Selon le choix effectué par l’agent, l’institution n’est pas la même : - action ∏ le marché - crédit ∏ les intermédiaires