Effet multiplicateur du crédit

et d’autre part, une approche keynésienne : la crise économique a les conséquences sociales très négatives, donc, l’état doit intervenir à travers la politique budgétaire. Ne pas confondre le déficit public et la dette publique : quels sont les effets de la crise sur les finances publiques ? La situation des finances publiques avant la crise ? Quel est le résultat de la crise ? Le cas de la France par rapport aux autres pays de la zone euro ou les autres pays du monde ? Quand on compare la zone

travers ces notes, demeure la meilleure garantie d’assimilation et de rétention du cours. INTRODUCTION Bien qu’utilisée quotidiennement par chacun d’entre nous, la monnaie cache derrière sa simplicité apparente une réalité complexe. En effet, la monnaie peut prendre des formes très diverses et les phénomènes monétaires et financiers occupent une place de plus en plus importante dans l’économie. Comme son nom l’indique, ce cours d’économie monétaire a pour objet de répondre aux deux principales

optique la mission de l’état et d’approcher la « croissance potentielle » c'est-à-dire la croissance la plus forte possible avec les ressources disponibles dans le pays. L’arme fatale, qui est aussi la clé de voûte du keynésianisme est le multiplicateur. Le multiplicateur est un mécanisme automatique qui fait qu’une augmentation de l’investissement provoque une augmentation plus que proportionnelle du revenu national. Cette injection d’investissements, et son résultat escompté, est traduite par l’image

manière générale, les politiques visant à fournir les biens publics : investissement en recherche et développement, éducation…). + L’état doit veiller à cette fonction tout en assurant la production des biens collectifs purs en luttant contre les effets externes et les monopoles, car les monopoleurs captent à leur profit une partie de la valeur ajoutée. Fonction de stabilisation macroéconomique de l’activité économique + L’état doit assurer cette fonction tout en veillant au respect des grands équilibres

pacte budgétaire d’après laquelle les déficits publics ne doivent pas dépasser un tel pourcentage du PIB, cela fait l’objet d’un contrôle a priori. Décider de la dépense sur plusieurs années ms la faire par année - Crédit d’engagement: décident de la dépense, valables sr pls années. - Crédit de payement: ceux qui permettent de payer: annuels. 1ere forme de pluriannualité en 1976 sous GSE avec les Programmes d’Action Prioritaire. PAP sont pluriannuels et obligatoires. 3ème étape: Les lois de programmation

COMME PHENOMENE REEL A – L’inflation par la demande B – L’inflation par l’offre (ou par les coûts) III – CONSEQUENCES DE L’INFLATION Chapitre 4 : La politique monétaire I. L’ancienne approche de la politique monétaire au Maroc 1. L’encadrement du crédit 2. Les emplois obligatoires 3. Le réescompte II. La nouvelle politique monétaire au Maroc 1. Refinancement bancaire et procédures des pensions 2. L’intervention par le marché : les opérations d’Open Market Année universitaire 2006-2007 5

COMME PHENOMENE REEL A – L’inflation par la demande B – L’inflation par l’offre (ou par les coûts) III – CONSEQUENCES DE L’INFLATION Chapitre 4 : La politique monétaire I. L’ancienne approche de la politique monétaire au Maroc 1. L’encadrement du crédit 2. Les emplois obligatoires 3. Le réescompte II. La nouvelle politique monétaire au Maroc 1. Refinancement bancaire et procédures des pensions 2. L’intervention par le marché : les opérations d’Open Market Année universitaire 2006-2007 5 Economie

banques, fragilisées par la défaillance de leurs emprunteurs, ne leurs consentent plus de crédit (de plus, la politique monétaire de la FED est contra-cyclique, au lieu de prêter, elle resserre le crédit). Beaucoup d’entreprises font alors faillite créant chômage et diminution de production et aggravent du même coup la situation des banques à qui elles devaient de l’argent du temps d’avant la crise quand le crédit était abondant. Les petits épargnants paniquent et se précipitent dans les banques pour

de système de réserves fractionnaires parfois aussi appelé effet multiplicateur de crédit sur lequel est fondé l’ensemble du système monétaire et bancaire actuel. En version courte, ce système permet aux banques de créer de la monnaie en octroyant des crédits dans l’économie. Principe général Contrairement à l’idée souvent répandue que « les dépôts des uns font les crédits des autres », il se passe en réalité exactement l’inverse : ce sont les crédits qui font les dépôts. Ou autrement dit : lorsque la

market qui permet de contrôler l'émission de crédits, quelle que soit l'évolution des taux d'intérêt. Pour les monétaristes, la lutte contre l'inflation est considérée comme l'objectif principal de la politique économique conjoncturelle. La politique monétaire, selon eux, ne peut agir que sur l'inflation. La monnaie étant neutre, elle ne peut pas être utilisée pour relancer la croissance économique ni lutter contre le chômage. Selon eux, une politique de crédits abondants ou de faibles taux d'intérêt