Effet multiplicateur du crédit

qualifié de "troisième révolution industrielle (ou post-industrielle, servicielle)". III – Les 2 crises du 20ème siècle - La crise de 1929 : Les années 20 sont prospères aux USA avec le développement de la société de consommation (taylorismeFordisme, crédit à la consommation). Le PIB américain gagne 5% par an de 1922 à 1929, Wall Street 20% entre 1924 et 1929. La bulle spéculative finit par exploser (krach boursier le 24 octobre : jeudi noir). La propagation se fait par le système bancaire, le krach

d'envisager encore un certain nombre d'autres incidences économiques du financement de la dépense publique par l'emprunt. Sans entrer dans toute la série des incidences possibles des besoins de financement net du secteur public, on s'en tiendra ici aux effets d'éviction qui ont particulièrement retenu l'attention, tant des économistes que de ceux qui participent au débat politique'. Si l'analyse macro-économique classique reconnaît depuis longtemps l'éventualité de l'éviction, ses répercussions sur l'économie

règle d'or) ;  un multiplicateur budgétaire très élevé qui aurait l'effet paradoxal qu'en accroissant ex-ante les déficits publics, ils se réduiraient ex-post ; mais le niveau nécessaire du multiplicateur pour obtenir ce mécanisme est irréaliste. Il ne reste finalement que l'idée d'une restructuration des dépenses publiques et de la fiscalité : réduire toutes les dépenses ou accroître les impôts qui n'ont pas d'effet sur la croissance de long terme (transferts publics sans effet sur l'investissement

plus fortement. Les économies étant de plus en plus ouvertes les unes sur les autres, la demande extérieure joue un rôle de plus en plus important dans la croissance, et surtout contribue à la propagation internationale de ses fluctuations. En effet, lorsque la croissance est forte dans un pays, celui-ci importe davantage (de biens de consommation et de biens de production), ce qui accroît les débouchés pour les autres. Inversement quand le PIB d’un pays diminue, celui-ci importe moins, ce qui

important qui est la 6ème puissance mondial en terme de pib. Son économie repose sur la productivité de la France, nous sommes un pays peu industriel par conséquent nous exportons peu ! Nous avons une croissance croissante mais modéré, en effet sur ces dix dernière année notre taux de croissance varie entre 1% et 2.3% pour 2006 et 2007. Dû aux système de prélèvements sociaux importants, nous sommes un des pays qui taxons le plus les entreprise et les salaires ! ce système nous empêchent

financer cela en faisant un crédit sur la base d’une émission monétaire nouvelle. La banque se met à émettre plus de billet que l’on possède d’or et d’argent. Ce billet de banque est devenu monnaie, il va servir de contrepartie dans les règlements. Il va se généraliser car il y à aussi eu parallèlement une deuxième initiative ce que l’on appelle la procédure d’escompte grâce à M Palmstruck environ en 1656. Cette démarche consiste, les commerçants s’échange des effets de commerces, donc des reconnaissances

Table des matières Le programme de stabilité 3 La construction Européenne 3 La Banque Centrale Européenne 5 Le plan d’assouplissement quantitatif 5 Les finances publiques 6 Fonction de redistribution 8 Le multiplicateur économique 9 Le budget 9 Le programme de stabilité 10 Son rôle 10 Que doit-il contenir ? 11 Qui effectue le contrôle et l'évaluation ? 11 Le budget fédéral 11 L’exposé général 12 Le budget des voies et moyens 12 L’exposé général des dépenses 12 Le cycle budgétaire 13 Le budget européen

même l’invention de billets existait, la monnaie scripturale, simple jeu d’écriture dans les livres de compte des banques. Grâce à elle, une banque peut accorder un crédit, ce qui fait de la monnaie scripturale un élément de la création monétaire. Son essor ne peut pas être dissocier du besoin de crédit. Chèques, virements, cartes de crédits, porte monnaies électroniques sont les instruments de circulation de la monnaie scripturale qui constitue maintenant la très grande majorité de la circulation monétaire

d’intérêt quasi nuls et une inflation quasi négative, la politique monétaire se trouve plus qu’en difficulté. En effet, instrument majeur permettant de lutter contre l’inflation, la politique monétaire se trouve moins efficace lorsqu’il est question de relance de l’activité économique en période de crise et de récession, la baisse des taux d’intérêt n’entraine pas la hausse des crédits consacrés à la consommation ainsi qu’à l’investissement. Pour ce qui est de la politique budgétaire, bien que

l’évolution goûts et modes de vies, facteurs sociaux démographiques (types d’emploi occupé, urbanisation, évo’ des structures familiales), les PT . Ce déplacement de la conso’ des biens vers services (matériels vers immatériels) s’explique par un effet prix » = c’est-à-dire que le prix des biens, en particulier le prix des biens manufacturés a diminué pratiquement au niveau des biens des services. La conso’ de masse que l’on associe aux trente glorieuses => traduite par la multiplication des