Effet multiplicateur du crédit

périodes de ralentissement de l’activité. La contrepartie « créances sur l’économie » est source de création monétaire si la consommation des ménages, l’investissement des entreprises et des ménages jouent un rôle moteur dans l’économie (demande de crédit pour la consommation, pour l’investissement). La contrepartie « créances sur l’extérieur » pèse sur la liquidité des banques commerciales, elle l’améliore en cas d’excédent commercial et donc entrée de devises (apports de celles-ci à la Banque Centrale)

Les « Subprime » sont des crédits hypothécaires à taux variables accordés aux ménages les plus pauvres des États-Unis qui ont été mis en place afin de relancer son économie. Ce système économique à favorisé l’apparition d’une bulle financière immobilière. Les ménages se sont retrouvés avec des faibles salaires et se sont endettés à cause de l’augmentation des taux. Suite à l’éclatement de la bulle en 2006, les ménages se sont retrouvés avec des biens immobiliers valant moins que la valeur d’achat

de ces politiques budgétaires, et marque le retour au premier plan des politiques monétaires qui, comme leur qualificatif l'indique, privilégient les outils liés à la monnaie et à la distribution du crédit. Ce retour est largement lié au retour en grâce des théories néo-libérales. Celles-ci, en effet, contestent l'efficacité des politiques induites par la théorie keynésienne auxquelles elles attribuent volontiers les difficultés rencontrées depuis le début des années 1970 par les grandes puissances

l’obligation du banquier d’informer son client prime-t-elle sur son propre devoir de non ingérence ? Sujet 9 : Le secret professionnel, pourquoi et comment ? Sujet 10 : A votre avis, quels sont les deux éléments qui font que les établissements de crédit et les entreprises d’investissement prennent très au sérieux les inspections ou enquêtes des commissions de tutelle ? Sujet 11 : En quoi une coopération internationale généralisée sur la surveillance des mouvements de capitaux est-elle une base

de taux de rentabilité financière lorsque la rentabilité financière est exprimée en pourcentage. Effet levier : désigne la tendance des entreprises à s’endetter lorsque le taux d’intérêt est inférieur au taux de profit. Effet massue (ou boomerang) : désigne les limites de l’économie d’endettement : le surendettement des agents économiques et l’inflation induite par le recours massif au crédit. Demande anticipée : prévisions de l’évolution de la demande future (composée de la consommation

souhaite combattre ? Nous verrons d’abord la politique de lutte contre le chômage keynésien. Ensuite nous étudierons la politique de lutte contre le chômage néoclassique. La politique qui combat le chômage keynésien est une politique de relance. En effet selon une conception keynésienne, le niveau de l’emploi est lié au niveau de la production. Les périodes de croissance sont donc des périodes de création nette d’emploi, alors que la crise, le ralentissement de la croissance et encore plus la baisse

L'inflexion des objectifs intermédiaires libellés en termes de masse monétaire * 2. Une politique adjacente : le change  * 3. Le phénomène de création monétaire * a) Une création essentiellement liée à l'octroi de crédit...  * b) ... contrainte par des « fuites » dans le circuit monétaire * B. LES INSTRUMENTS DE PILOTAGE DE LA CRÉATION MONÉTAIRE * 1. Un instrument passé au second plan : les réserves obligatoires

relance financée par l’emprunt on parle de la théorie de Ricardo qui explique que les agents économiques anticipant une hausse future des impôts pour rembourser vont épargner davantage, réduisant de ce fait l’effet multiplicateur. II- Les limites de la politique monétaire A) Les effets pervers La politique monétaire a deux objectifs principaux : l’inflation et la croissance, cependant ces deux notions sont souvent incompatibles. Une politique monétaire expansive visant à soutenir la croissance

l'entreprise, c'est-à-dire son épargne. • Le financement peut également être externe. Il est externe direct si l'entreprise a recours aux marchés[->5] de capitaux en émettant des actions[->6] ou des obligations[->7] ou externe indirect si elle a recours au crédit[->8] bancaire. Depuis le début des années 1980, le financement externe direct se développe fortement au détriment du recours aux banques : on parle depuis de désintermédiation bancaire ou encore d'économie de marchés financiers. • Dans certains cas

capitale de savoir si la Banque Centrale a ou non le pouvoir et les moyens de limiter la création monétaire par les banques ? En pratique, la monnaie secondaire est-elle sous la dépendance étroite de la monnaie centrale, ainsi que la théorie du multiplicateur le fait croire, ou encore existe-t-il une véritable courroie de transmission entre les deux monnaies ? Il convient de rappeler tout d’abord que les instruments de direction dont dispose l’Institut d’émission pour mener à bien sa politique monétaire