Effets De La Passion De Phèdre

ZOLA LA CUREE CHAPITRE V PAGE 249 « UN SOIR, ILS ALLERENT…OENONE » LAREPRESENTATION DE PHEDRE » La réécriture d'un mythe : « une nouvelle Phèdre » INTRODUCTION : Mettre les 1eres phrases déjà données avant la situation du passage. Un an s’est écoulé depuis la scène du café Riche, où Renée et Maxime ont commis l’acte d’inceste pour la 1ère fois. Le besoin d’argent a poussé Renée à céder aux avances de Saccard. Tentant vainement d’éprouver un plaisir nouveau dans cette situation, elle souffre

un seul décor posé sur scène correspond au lieu unique représenté dans la pièce.   Des effets pouvaient être mis en place : les pièces à machines étaient très prisées. A la Cour, elles pouvaient exceller en prouesses techniques, en effets spectaculaires. Des feux d’artifices pouvaient même être tirés. Le spectacle était grandiose pour les comédies-ballets où la danse et la musique démultipliaient les effets artistiques (Le Bourgeois gentilhomme, Le Malade imaginaire…).     II. Du baroque au classicisme

RENCONTRE AVEC LE MONSTRE QUESTION ( _/ 4 points ) Après une lecture approfondie du corpus de texte, nous pouvons nous apercevoir que la confrontation du héros et du monstre peut ce manifesté de différente façon. En effet, dans Phèdre, la confrontation avec le monstre est relatée par Théramène, le combat n’a pas lieux sur scène ; ce qui respecte les règles de la bienséance imposées à cette époque. La pièce de théâtre en vers et le champ lexical de la guerre donne une dimension

le vrai Néron, le monstre, va peut être se réveiller, la tragédie commence donc au levé lever du jour et au réveil de Néron. Mais au cours de la pièce un Néron brutal apparaît, son comportement est provoqué par l'amour qu'il porte à Junie, une passion qui le rend fou. Il devient sadique et s'imagine menaçant Junie : "J'aimais jusqu'à ses pleurs que je faisais couler" (Acte II, scène 2, V.402), "J'employais les soupirs et même la menace" (Acte II, scène 2, V.404) ici Néron devient cruel et son

généralement tragique, avec quelque fois la mort pour fin . La tragédie classique comporte 5 actes. Cette dernière est représentée par de grands auteurs de la tragédie classique comme Racine et Corneille (avec par exemple Le Cid pour Corneille et Andromaque, Phèdre, Britannicus,... pour Racine). - La comédie cherche à divertir le spectateur, à le faire rire. Contrairement à la tragédie, dans la comédie, les personnages sont de condition moyenne ou modeste, et le dénouement est heureux. Molière est le plus

d'autre. En d'autres termes, les intrigues proposées ne sont que virtuelles, tout ce qui entoure le jeu des acteurs est fictif. Dans la pièce des « Criminels » le metteur en scène utilise un plateau tournant qui permet de faire changer les décors, cet effet n'est pas caché au spectateur, il se rend bien compte que ce n'est pas de réels logements. Les costumes, le maquillage, le temps tout est irréel. Dans la représentation de Ionesco, « Le roi se meurt », les objets et même le langage ne représentent

verrons la passion douloureuse de l'héroïne, pour ensuite finir sur l'art de l'analyse du cœur humain chez l'auteur féminin et précieux du XVIIème siècle. Tout d'abord, l'auteur nous évoque une femme prise de jalousie en lisant une lettre adressée à son amant. Dans cet extrait, l'auteur nous montre un amour-propre blessé. Cela est visible tout d'abord par le fait que Madame de Clèves parvient à nommer son mal [et ce mal qu'elle trouvait si insupportable...(l.9)], ce qui donne un effet de retardement

et réelle, nous vivons donc pleinement ces sentiments alors que ce n'est que du théâtre. On s'attache aux personnages, on se met à leur place, on vit leurs passions. Le théâtre nous permet de nous évader de notre quotidien un peu terne en vivant de "grands" sentiments, des vies extraordinaires, des amours merveilleux. On aimerait comme Phèdre de Racine tomber éperdument amoureuse d'un Hippolyte " … Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue, un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. Mes yeux ne voyaient

triomphe : Horace tue les trois Curiace. À son retour à Rome, Camille, la sœur d’Horace, lui reproche d’avoir tué l’homme qu’elle aimait. Horace la tue et le procès qui s’ensuit est un plaidoyer du vieil Horace (le père d’Horace) : celui-ci préfère en effet défendre l’honneur de son fils car, par sa victoire, il a conféré à la cité romaine un grand prestige. Horace est donc acquitté malgré le réquisitoire de Valère qui était amoureux de Camille. Lorenzaccio, Musset, 1834 L'action se passe à Florence

imite la réalité en reprenant des objets du monde réel. Le décor n’est donc qu’une illusion, un artifice c’est pour cela que V. Hugo parle d’arbre en carton-pâte. De plus des machines sont utilisées pour faire voler les personnages ou pour donner des effets de lumière : La toison d’or de Corneille « on voit plus de trois cents personnes suspendues dans les nuages ». Un envoyé de la cour de Savoie dit cette phrase après avoir vu la pièce et nous montre alors l’utilisation des machines pour émerveiller