Effets De La Passion De Phèdre

concerne la scène d’exposition de Phèdre, une œuvre très connue de Jean RACINE (1639-1699). Orphelin, il est recueillit par sa grand-mère, où il reçoit une solide formation intellectuelle avant de rentrer en classe de philosophie au collège d’Harcourt. Quelques années plus tard, il rentre à l’Académie française. Il a écrit de nombreuses œuvres telles que La Thébaïde (1665), Andromaque (1667), Les Plaideurs (1668), Britannicus (1669), et d’autres encore, cependant Phèdre s’affirme comme son chef d’œuvre

dieux, à sa patrie et à ses parents. Médée semble donc considérer son ‘’amour’’ maternel comme un devoir ! b) interprétation La tragédie permet au public d’assister au spectacle de la transformation d’un homme en monstre : le héros tragique, en effet, en proie au dolor devient un furiosus ce qui le conduira au scelus nefas. le dolor le héros est en proie à une souffrance physique et morale. Pour les Romains, la douleur est déconsidérée dans la mesure où elle fait perdre à l’homme sa dignité. Or

toutefois de relativiser cette vision pessimiste. Il en est ainsi de Mohamed Daoudya pour qui « La parole est un jeu de manipulation, mais aussi un outil au service de la vérité ». Cette affirmation, régie par une structure concessive sous-jacente, met en effet en lumière deux facettes opposées de la parole: d’un côté, celle-ci, en raison de facteurs individuels divers, probablement liés à l’évolution des relations socio-économiques, présente aujourd’hui l’aspect d’un jeu de manipulation qui pervertit les

montrer son désaccord sur le fait que son fils Philippe ait donné les clés de leur maison à des personnes qu’elle ne connait pas. Les différents affrontements entre la mère et son fils dans l’ensemble des textes produisent plusieurs effets sur le spectateur. En effet dans le texte d’Eschyle, Oreste veut tuer sa propre mère, même si elle a participé à l’assassinat de son père cet acte est inhumain et le seul fait qu’il désire la mort de Clytemnestre provoque l’horreur chez le spectateur. L’effroi

La scène étudiée est la scène 1 de l'acte de I de Phèdre, tragédie écrite par Jean Racine en 1677. Il s'agit d'une pièce représentative du théâtre classique du siècle de Louis XIV, qui se doit donc de respecter certaines règles comme celle des trois unités (de lieu, de temps, d'action) ou de bienséance. Basée sur une intrigue amoureuse incestueuse entre Phèdre et son gendre Hippolyte, la tragédie de Racine s'inspire d'une tradition antique et mythologique. Cette scène étant la première, on parle

grande création où l'on trouve à côté d'une unique comédie (Les Plaideurs en 1668) six grandes tragédies : Britannicus (1669), Bérénice (1670), Bajazet (1672), Mithridate (1673), Iphigénie (1674) et Phèdre (1677). Élu à l'Académie française en 1672, et parvenu au faîte de la gloire grâce à Iphigénie et Phèdre tout en ayant acquis une confortable aisance financière, il se laissa convaincre par ses appuis haut placés à la Cour (notamment Mme de Montespan et sa sœur Mme de Thianges) d'abandonner le « métier

raisons il est mieux de ne pas montrer la mort sur scène, en effet, cela à un côté plus moral, plus pratique et plus intellectuel. Ensuite nous allons étudier ce qui justifie le contraire, c’est-à-dire de représenter la mort au théâtre c’est en effet plus réel et plus actif mais cela a aussi une action purifiante. .Tout d’abord, nous allons étudier pour quelles raisons il est mieux de ne pas représenter la mort sur scène. En effet la règle de bienséance interdit le fait de montrer la mort sur

Tartuffe, Dom Juan ou Phèdre ont attirer la désapprobation. Le premier est condamné par le roi et emprisonné, le second meurt châtié par la statue du Commandeur qu’il a outragé, et Phèdre entraîne la mort D’Hippolyte, innocent de l’accusation qu’elle porte sur lui. –Molière, la Fontaine, La Bruyère, Boileau dénoncent les avares, les hypocrites, les ambitieux, les naïfs, les bavards, etc. Racine dénonce les excès de la passion amoureuse: de la mère pour son beau-fils (Phèdre**) ; de la mère

Caractères De la société et de la conversation. Marcel Proust lui, a pastiché le style de Flaubert. En effet, l’auteur peut vouloir rendre hommage à son modèle, pour cela il peut également utiliser la parodie, par exemple Jean Cocteau dégrade le mythe d’Orphée en faisant d’Eurydice et d’Orphée des êtres médiocres pour montrer combien l’époque moderne ne permet pas, ne permet plus, de vivre de grandes passions amoureuses. Au contraire l’auteur peut tenter de se démarquer des modèles. Ce qui crée

avons tous tendance à dire que son effet est plus prépondérant chez le théâtre. Mais, le théâtre est-il que de l’exagération ? Ainsi, nous verrons dans un premier temps que l’exagération est nécessaire au théâtre pour plaire au public mais aussi pour l’instruire. Puis, nous nous demanderons si l’exagération dans le genre théâtrale est il vraiment exclusif. Tout d’abord, il est clair que l’exagération est nécessaire lors de la représentation théâtrale. En effet, c’est ce qui va, en partie, fournir