Égalité sociale

l'égalité doit d'abord se poser la question de savoir « égalité de quoi ? ». On peut chercher à garantir une égalité des droits c'est-à-dire devant la loi entre tous les citoyens. On peut aussi vouloir garantir une égalité des chances c'est-à-dire que tous les individus quelque soit leur sexe, leur origine sociale ou ethnique ont au départ la même probabilité d'avoir accès à l'ensemble des positions sociales. On peut aussi faire le choix d'une égalité distributive. Ce qui correspond à déterminer une

considère les faits sociaux comme phénomènes objectifs s'opposants aux individus . - les valeurs constituent les principes idéaux qui orientent l'act sociale et inspire les règles légitimes ( mariage , travail ..) - les normes representent les injonctions ( obligation et interdit) qui permettent l'application des valeurs ( vol ). Le droit est garant des normes. Qd les mœurs changent elles peuvent être contre la loi. Selon max Weber : convention est norme dt le contrôle sociale impose le respect

notamment celui de l'égalité. Chacun peut lui demander de régler ses litiges , de faire valoir ses droits. Cela garantit le bien-être de tous. Celle-ci garantit à tous les citoyens d’être jugés de la même façon devant la loi, indépendamment de leur statut social. Elle est tout d'abord mise en place par l'instauration de nos loi , elle est l'expression de la volonté générale. Mais cette impartialité n'est pas toujours respectée, notamment au sujet de répression pénales qui selon l'individu , son influence

Les inégalités entre les hommes et les femmes sur le marché du travail. Si l’égalité entre les hommes et les femmes est désormais acquise en droit en France et si de nombreux progrès peuvent être constatés, il reste de nombreux domaines où cette égalité de droit ne s’est pas encore concrétisée. La représentation équilibrée entre les hommes et les femmes n’est pas encore atteinte en politique. Dans la vie économique, malgré un niveau de formation égal voire supérieur à celui des hommes, les femmes

Dissertation juridique « Est-il utile d’avoir une déclaration des droits ? » En 1789, la première Déclaration des droits de l’homme et du citoyen a été établie pour définir les droits élémentaires et les devoirs de chaque « membre du corps social ». Deux cents ans plus tard une nouvelle discussion a eu lieu à l’Assemblée Nationale concernant la question « Une déclaration des droits de l’homme est-elle nécessaire, inutile, dangereuse, indifférente? ». La Déclaration des droits de l’homme et

L’organisation politique et Administrative de la France. La constitution de 1955 : La France est une république indivisible, laïque, démocratique et sociale. La devise de la France : Liberté ; Égalité ; Fraternité. Les 7 zones de défenses : Zone de Paris Zone Nord Droit de fonction public Structure : bis du 13 juillet 1983 3 statuts 8 filières. Classement

actuelle. La liberté, c'est l'absence de soumission, de servitude, de contrainte exercée par autrui. L'être humain est donc indépendant. Or, dans la société actuelle, peut-on franchement parler de liberté ? Par exemple la devise française "liberté, égalité, fraternité", il me semble ouin! Ca s’rais plus comme "consomme, travail, crève" Et si t'es pas content, tu l’fais pareil". Nous sommes soumis aux règles de la société qu'il est possible de transgresser mais, cela implique une exclusion totale comme

discrimination positive La constitution 4 oct 58 → « assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion » + « loi favorise l'égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux » → « Liberté, Egalité, Fraternité » → « respecter les principes de la souveraineté nationale et de la démocratie » Zones prioritaires et programmes d'éducation prioritaires → ZEP depuis 1981 : environ 8800 écoles → élément important pour la lutte dans l'inégalité

notamment) en fonction de caractéristiques socialement construites (origine sociale, sexe, parcours migratoire, origine ethnique …). Ici, l’attention n’est plus portée sur une population d’individus mais de groupes d’individus ; désormais, les différences de réussite entre les individus ne sont plus liées à une logique méritocratique récompensant les efforts, mais davantage à une propension presque mécanique de certains groupes sociaux à l’échec scolaire. C’est ce fatalisme qui réduit à néant l’idéal méritocratique

allocations, des places sont ainsi réservés à des groupes déterminés. Concrètement, cette politique permet et met en œuvre des inégalités de traitement favorables à certaines catégories «défavorisées». Cette ,va permettre , à terme, une véritable égalité entre les personnes. C’est précisément parce qu’elles ont pour but de réduire les inégalités que ces discriminations sont considérées comme «positives». But et exemples de discrimination positive : La discrimination en matière d'éducation :