Église positiviste

mêmes communautés. Le développement a pour objet aujourd’hui de protéger la liberté de religion (un aspect de la liberté d’opinion et d’expression). La liberté religieuse dépasse la liberté d’opinion, elle ne peut pleinement s’épanouir que si les églises, les mouvements religieux, les écoles de pensées sont maitres et libres de leurs activités, ce qui renvoie à leur rapport avec l'État. Le droit français est clairement séparé de la religion par l’affirmation du principe de laïcité, la religion devant

certains nombres de jours de l’année où il ne sera pas possible de recourir à la vengeance privée. Ces moments sont pendant les fêtes religieuses. Les lieux de la vengeance vont être limités. La vengeance privée ne pourra pas s’exercer dans les églises et dans les monastères. Le criminel qui va se réfugier dans ces lieux va se trouver sous la protection des autorités religieuses et les personnes qui le poursuivaient ne pourront pas exercer leur droit de vengeance. Ils devront négocier avec les autorités

de se soigner et vivent, dans les ruines de leur maison ou dans des abris de fortune. Au total, dans le Nord de la France, 289 000 maisons sont détruites, 422 000 sévèrement endommagées ; environ 11 000 édifices publics comprenant mairies, écoles, églises… Tout est à reconstruire. Trois millions d’hectares de terres arables sont inutilisables. La reconstruction sera longue et coûteuse. Mais, en plus de détruire des villes, décimer des villages entier, la guerre est aussi marquée par l’un des plus grand

témoignage est subjectif puisqu’il prend parti pour le royaume de France. Cela est dû au fait qu’Otton IV a été excommunié de la religion chrétienne, c’est pour cela que l’auteur dit qu’il est « privé de la dignité impériale par le décret de la Sainte Eglise ». Ainsi en 1198, il est élu roi des Romains avec Philippe Souabe. Cependant, Otton a soif de pouvoir et désir le titre impérial. L’auteur parle alors d « obstination de sa malice » pour parler de cette détermination au pouvoir même face à Dieu. Du

devient dévot -> monarchie patriarcale. Droite ultra appartient école contre rev. Théocratique - pour gouv. Religieux. Louis de Bonald condamne rev comme découlant du protestantisme: rapport individual de l'homme à Dieu: listens plus la bible/ pas Eglise. Apogee courant de pensee sous Charles X. 1825: se fait sacrer à Reims. Moqué car touche les écrouelles (pas touchées depuis 1 s) Veut limiter presse 1830: 3 glorieuses. C. Le légitimisme( à partir de 1830) France gouvernée par Louis Philippe -

catholiques et puis se sont ajoutés les orthodoxes, les juifs… La laïcité : les laïques fonctionnent de la même manière qu’une religion normale, il y a des conseils des laïques, une communion laïque. L’état soutient les églises laïques ce qui amène la laïcité à se structurer comme une église. L’islam : reconnu il y a une vingtaine d’années. Pourquoi cette religion a été reconnue si tard ? car l’islam n’est pas une religion unifiée, il n’y avait pas un seul interlocuteur donc l’islam ne pouvait pas être

droit ? Il y a plusieurs conceptions du droit. Les juristes sont beaucoup penchés sur ces questions. Il y a deux grandes approches : - Il y a des gens qui ont une approche la plus objective possible : critères objectifs=> démarche positiviste. Le droit positif : l'ensemble des règles de droit qui sont sanctionnées par les états du monde plus le droit international public ; ( philosophe KELSEN 1ère moitié du 20ème siècle). L'état c'est le droit, le droit c'est l'état. - Une approche

justification apportée par Mattei. Il faut avoir une position plus modeste du droit, y.c. des droits de l'homme. Le juriste doit éviter de formuler des jugements sur les existences qui méritent ou pas d'être vécues. 2. Le positivisme radical Les positivistes radicaux voient la privation du libre choix d'exister ou non comme un dommage. L'enfant handicapé a un droit à ne pas naître. Ce droit n'est que virtuel car il est concrétisé par la possibilité pour la femme enceinte d'avorter ou pas. La femme

par Pie VII. Cela dit, malgré – ou peut-être à cause de – ses aspects parfois flous et ouverts à différentes interprétations, le concordat de 1801 parvient à traverser des régimes positions religieuses bien différents et à régir les relations entre Église et État en France jusqu’à la loi de Séparation de 1905. La relation à la liberté demeure au moins jusqu’au milieu du siècle, très problématique pour les catholiques français pour qui cette notion demeure associée à la Révolution et à ses traumatismes

artistique doivent également être donnés. Sans oublier les travaux d’aiguilles, si importants pour les futures ménagères que sont les petites filles. L’instruction religieuse est exclue des programmes. Pour les républicains, inspirés de la philosophie positiviste, la religion est incompatible avec la science. Le jeudi est réservé au catéchisme, pour les enfants dont les familles le désirent. Le manuel écrit par Mme Fouillée, signé du pseudonyme de G. (Giordano) Bruno, du nom d’une victime de l’Inquisition