Ego

plaisir. L’individualisme apparait alors. L’individu se renferme sur lui-même: il n’existe que pour lui-même et lui seul. Les individus seuls se tournent alors vers l’Etat qui devient l’unique assistance. «Mes alter et mes ego/égaux, ça m’est égal, ça m’est ego/égaux» BASHUNG. Nous recherchons chez l’autre notre propre plaisir. Nous sommes indifférents à autrui par le plaisir. Mais seul le plaisir nous fait aller vers autrui ---> paradoxe du plaisir. «Toute femme est bonne»

« cogito ». D'abord employée en français dans le Discours de la méthode (1637)4, la formule connaît plusieurs variantes dans l’œuvre de Descartes. En 1641, les Méditations métaphysiques réaffirment le cogito en latin sous une nouvelle forme : ego sum, ego existo (« je suis, j'existe »). Ce n'est qu'en 1644, dans les Principes de la philosophie, que la formule « cogito ergo sum » est publiée directement en latin par son auteur. Indépendamment des formulations, le cogito constitue un élément majeur

etiam hiberno moliri sidere classem et mediis properas Aquilonibus ire per altum,               310 crudelis? quid, si non arua aliena domosque ignotas peteres, et Troia antiqua maneret, Troia per undosum peteretur classibus aequor? mene fugis? per ego has lacrimas dextramque tuam te (quando aliud mihi iam miserae nihil ipsa reliqui),               315 per conubia nostra, per inceptos hymenaeos, si bene quid de te merui, fuit aut tibi quicquam dulce meum, miserere domus labentis et istam, oro, si

le fait d’agir par ce que l’on reconnaît que telle action est juste et un comportement uniquement dicte par la peur de la menace et de la sanction. Il faut savoir distinguer les différentes manières d’obéir Autrui Autrui et par définition l’alter ego l’autre moi cette caractérisation est d’emblée paradoxale puisqu’elle réunit deux idées traditionnellement séparées autrui est comme moi un sujet pensant mais il conserve une différence irréductible identique et différent autrui est la figure complexe

tendance, elle offre la possibilité aux consommateurs de fabriquer sa basket a la mesure de son ego. Derrière cette revendication se dissimule le désir d'être différents, voir d'être plus que les autres, d'être remarquables et remarqué , c'est a dire de sortir de l'anonymat. Nietzsche L'individu contemporain vit dans une sorte d'égosphère narcissique, tout lui sert de moyen pour satisfaire son égo. La publicité active largement cette modicité. Pour une voiture par exemple on n'hésite pas a

profanes, son intolérance... mais aussi sa générosité, sa sincérité, son envie d'amour, d'harmonie et d'équilibre. Descendre en soi, c'est trouver le pire et le meilleur, tout ce qui fait un être humain. C'est peut-être aussi trouver, au-delà notre ego, l'être unique que nous sommes, qui est en même temps singulier et comme les autres. Le Niveau sert à voir si un plan est horizontal et à déterminer les différences. Le niveau, explique aussi, l’hauteur de quelque chose par rapport à un plan horizontal

La conscience de soi suppose-t-elle autrui ? La conscience de soi reflète le savoir que l’on a de nous mais celle-ci est propre à nous-même, elle nous est attachée de manière irréversible. "Autrui" lui est un alter ego, c'est-à-dire un autre moi-même, qui n'est pas moi mais qui n'est pas un simple objet de ma représentation. Nous seuls avons la capacité de la mise en question, autrui sera seulement l’amorce de cette dynamique de conscience. Les limites et les implications de la conscience du sujet

peuvent rien, voyons ce que la somme des individualités ramenées à l’unité peut exprimer au nom de tous. EGO SUM QUI SUM, = LA SOMME DE NOS EGOS Quand l’identité collective se substitue à l’identité individuelle, on peut proposer la formule de Saint Jean en substituant le Grand Maître de l’Ordre par le Père céleste : « In illo die vos cognoscetis quia ego sum in Patre meo et vos in me et ego in vobis »4 2 https://www.academia.edu/11797106/Démarche_et_déontologie_de_lhistorien_de_la_franc-maçonnerie

Il me paraît douteux que la conscience de soi comme ego trouve son fondement dans le fait d'être un homme, ou qu'elle en dérive par différenciation progressive. Ces deux formes de conscience ne me semblent ni devoir coïncider dans une expérience élargie, ni pouvoir présenter la même certitude. L'idée que les lignes qui suivent vont développer est qu'il y a une différence essentielle entre le fait métaphysique de se connaître comme moi ou ego, et le fait empirique de se reconnaître comme homme. Certes

soi. Ego action (ce que je fais) Ego état (ce que je suis) Ego public (ce que tt le monde sait) Ego privé Ces différents égos sont corrélées avec l’âge : monde concret du rapport au monde (les plus jeunes)/ monde plus abstrait pour les plus âgés Ego état (attributs/ appartenance) caractérisé par l’âge, le niveau scolaire, le prénom, le sexe,… Ego actif caractérisé par les goûts, les act quotidiennes,…. Ego subjectif