Eisenstadt

Esprit des Lumières » D’origine très modeste, Haydn a pu intéresser, grâce à son travail et à son génie de musicien, les Princes austro-hongrois Esterhazy qui, à partir de 1761, le prennent à leur service et font de lui leur Kappellmeister, à Eisenstadt. Le travail y est harassant. Heureusement, la capitale, Vienne n’est pas très loin et c’est là qu’il va pouvoir faire des rencontres plus variées et instructives. Par exemple il y fréquente, à partir de 1780,le salon Greiner où il côtoie de nombreuses

pays arabes de voir une belle croissance mais s’explique aussi par la période coloniale). Cette régression de certaine région du monde, alors que d’autre pays se développe et acquiert une vie de plus en plus confortable s’explique par ce que S.N. Eisenstadt en 1964 expliqué dans un article intitulé « Ruptures de Modernisation » qui évoquait le renversement des régimes. Certains états sont en regressions parce qu’il y a des explications anterieurs et internes au pays. Là encore les thèses développementalistes

relative nouveauté. L'apprentissage par les individus de nouveaux modes d’organisation s'inspire directement de la doctrine, des symboles et des rituels présents : la culture joue ici un rôle important dans l’organisation sociale et le comportement (Eisenstadt 1970, Walzer 1974, Madsen 1984). Au contraire, ce lien cultureaction devient lâche au sein des sociétés stables, où la culture et la structure sociale sont simultanément trop fusionnées et trop déconnectées pour pratiquer facilement une analyse

orientations spatiales et temporelles différentes (l'un ayant une conception discontinue de l'espace, divisé en famille, voisinage, etc., et l'autre une conception continue, le premier vivant dans un temps mathématique, le second dans un temps sacré), Eisenstadt (1949) montre qu'il n'y a pas eu victoire d'un système sur un autre, mais, pour le Yéménite manifestations variées d'une discontinuité de la perception, les événements religieux continuant à être vécus selon l'orientation sacrale et les événements

liens de loyauté qui ne requièrent aucune croyance dans ses qualifications personnelles, car ils sont  38 L’État néopatrimonial « inextricablement liés à des incitations et des récompenses matérielles »5. C’est finalement Shmuel N. Eisenstadt qui, en 1973, fixera la terminologie en suggérant l’introduction du préfixe néo afin de lever toute ambiguïté sur la distinction entre les régimes patrimoniaux dits « traditionnels » et « posttraditionnels ». La notion de néopatrimonialisme ne

modernité culturelle. Par ailleurs, cette unification culturelle était vue comme désirable, car elle était à l’origine de l’unification de grandes entités comme les nations ou les empires qui était alors vues comme le propre de la modernisation (Samuel Eisenstadt, Modernization : Growth and Diversity, 1963). Jusqu’aux années 60, cette « théorie de la convergence »1 s’imposait ainsi dans l’analyse de la culture mondiale. III. Homogénéisation et uniformisation culturelle La mondialisation, c’est donc

contact avec la clientèle (Alis, 1997) tels que les fonctionnaires des impôts ou des HLM (Eymar et al., 1993, 1994), les banquiers (Courpasson, 1993, 1994, 1995 ; Alter, 1989, 1993), les auditeurs (Wissler, 1989), les conducteurs de bus (Katz et Eisenstadt, 1960 ; Shamir, 1980), les hôtesses de l’air (Terkel, 1972), les serveurs (Butler et Snizek, 1976 ; Bigus, 1972), les caissières en grandes surfaces (Rafaeli, 1989) ou les vendeurs de chaussures (Weatherly et Tansik, 1992). Une revue de cette

être un caractère d’un Etat cher à Weber et d’une conception que l’on retrouvera dans nombre de ses œuvres : l’Etat bureaucratique. Mais au-delà c’est aussi comprendre les origines de l’Occident, ceci comme le sociologiste israélien souligne Shmuel EISENSTADT : « Connaître les origines de l’Occident et du monde moderne, comprendre pourquoi seul l’Occident a vu se développer, avec la montée en puissance de la société et de l’Etat bureaucratique modernes, des tendances à la rationalisation du monde, telles

sommet des cathèdrales néoclassiques hongroises inspirée de l’architecture du Panthéon à Paris. Arc de triomphe de Vac, 1764, construit pour saluer et célébrer la visite de Marie-Thérèse et Françcois-Etienne. - Autriche : Vienne : Charles Moreau, à Eisenstadt, agrandit le Château Esterhazy avec des motifs empruntés à Claude Nicolas Ledoux, citant sa « maison aux 4 belvédères ». - Russie : la 1ère moitié du 19è siècle marque la 3ème phase d’urbanisme à Saint-Pétersbourg avec Andreï Voronikhine (avait

73 – 3 Romances pour hautbois et piano, opus 94 (transcription) BERG, 4 Pièces pour clarinette et piano, opus 5 BRAHMS, Sonate pour clarinette et piano en mi bémol majeur, opus 120 n° 2 ■ Lundi 19 octobre 2009 à 20h - Grand Salon HAYDN TRIO EISENSTADT Verena STOURZH, violon Hannes GRAWOHL, violoncelle Harald KOSIK, piano HAYDN, Trio en do majeur Hob XV.27 BOLCOM, “ Haydn Go Seek” (Dédié à Haydn 2009) HAYDN, Trio en mi bémol majeur, Hob XV.29 SCHUBERT, Trio opus 100, en mi bémol majeur CONDITIONS