El Desdichado Nerval

hallas: cadáver son las que ostentó murallas y tumba de sí proprio el Aventino. Yace donde reinaba el Palatino y limadas del tiempo, las medallas más se muestran destrozo a las batallas de las edades que Blasón Latino. Sólo el Tibre quedó, cuya corriente, si ciudad la regó, ya sepultura la llora

elles sont des « reines », pures et protectrices, sont aussi des « sirènes », sensuelles et dangereuses (souvenir de «la Royne blanche comme lys qui chantait à voix de sereine» de “La ballade des dames du temps jadis” de Villon, et de ‘’El desdichado’’ de Nerval?) et même des « murènes » (poissons carnassiers auxquels, chez les Romains, divertissement sanguinaire, on jetait des esclaves qui, pourtant, selon Apollinaire, auraient exprimé leur amour pour ces dévoratrices !), les trois mots étant habilement

elles sont des « reines », pures et protectrices, sont aussi des « sirènes », sensuelles et dangereuses (souvenir de «la Royne blanche comme lys qui chantait à voix de sereine» de “La ballade des dames du temps jadis” de Villon, et de ‘’El desdichado’’ de Nerval?) et même des « murènes » (poissons carnassiers auxquels, chez les Romains, divertissement sanguinaire, on jetait des esclaves qui, pourtant, selon Apollinaire, auraient exprimé leur amour pour ces dévoratrices !), les trois mots étant habilement

des femmes qui, si elles sont des reines, pures et protectrices, sont aussi des sirnes, sensuelles et dangereuses (souvenir de la Royne blanche comme lys qui chantait voix de sereine de La ballade des dames du temps jadis de Villon, et de El desdichado de Nerval) et mme des murnes (poissons carnassiers auxquels, chez les Romains, divertissement sanguinaire, on jetait des esclaves qui, pourtant, selon Apollinaire, auraient exprim leur amour pour ces dvoratrices ), les trois mots tant habilement lis

lois secrètes qui vont avoir des influences des numéros, de l’exotérisme… L’onirisme dérive du rêve, du songe. Les romantiques ont un grand goût du comptes de terreur, du maléfique. Chaque écrivain se spécialise: Victor Hugo sera le visionnaire, Nerval l’onirisme. Les romantiques s’intéressent à son « moi ». Son « moi » n’est pas transparent. Il aime l’inconnu. Il se voit lui-même mystérieux. Il ne s’occupe pas de la raison, il n’aime pas le raisonnement. Partout en Europe, il y a eu ce romantisme

Autrement dit, quand une proposition commence dans un vers et se termine dans le suivant sans le remplir, on dit qu’il y a enjambement. Ex. « Ma seule étoile est morte,- et mon luth constellé Porte le soleil noir de la Mélancolie » (Nerval- El desdichado) VI- Le contre- enjambement C’est le fait de débuter un propos sur le second hémistiche d’un vers et à le dérouler sur l’ensemble du vers suivant. Ex. « Dans ce désert qui m’habitait / elle m’embrassa et en m’embrassant

elles sont des « reines », pures et protectrices, sont aussi des « sirènes », sensuelles et dangereuses (souvenir de «la Royne blanche comme lys qui chantait à voix de sereine» de “La ballade des dames du temps jadis” de Villon, et de ‘’El desdichado’’ de Nerval?) et même des « murènes » (poissons carnassiers auxquels, chez les Romains, divertissement sanguinaire, on jetait des esclaves qui, pourtant, selon Apollinaire, auraient exprimé leur amour pour ces dévoratrices !), les trois mots étant habilement

_____________________ ‘’ Chroniques de France : Isabeau de Bavière’’ (1835) ____________________________________________________________ _____________________ “Léo Burckart” (1835) Drame Commentaire La pièce fut écrite avec Nerval qui l’a co-signée. ____________________________________________________________ _____________________ En 1835, Dumas entama une collaboration avec la ‘’Revue de Paris’’ qui allait durer jusqu'en 1844. Il fit un séjour à Naples, qui ne dura

plaintifs et des rires féroces dont frissonnait... », des rimes intérieures (« une jeune fille qui se débattait » / « et moi que le bourreau liait »). En prolongement de cette étude, voici un poème très célèbre de Nerval, « El Desdichado », extrait de son recueil Les Chimères (1854). Gérard de Nerval a traversé plusieurs crises de folie à partir de 1841 : cette expérience est pour lui assimilable à une descente aux Enfers, dont on revient, comme Orphée ; la folie, c’est « l’épanchement du songe dans la vie

son « éclatante » prestation lors de la bataille d’Hernani (1830), quelques années plus tôt, mais, alors que Victor Hugo est déjà célèbre, Gautier, en 1835, entre dans le journalisme littéraire. Il admire Victor Hugo, se lie d’amitié avec Gérard de Nerval et écrit des études sur les poètes oubliés. Il commence également à prendre quelques distances avec ses amis romantiques. Le projet romanesque élaboré dans sa jeunesse portera les traces de ses engouements et des modes de l’époque, mais reflétera