El Desdichado Plan Detaillé

(raison d’être du corpus, contexte historico-culturel...) et reprend la question : Introduction rédigée : Le corpus réunit cinq poèmes du XIXe siècle : « le Vallon », issu des Méditations poétiques que Lamartine fit publier en 1820 ; « El Desdichado » poème appartenant au recueil de Nerval Les Chimères paru en 1854 ; les trois poèmes de V. Hugo, intitulés « Parfois lorsque tout dort... », « Souvenir de la nuit du 4 » et « Réponse à un acte d’accusation » font respectivement partie des Feuilles

EL TEXTE « Le Mendiant »Instabilités politiques et mutations sociales marques le 19eme siècle, après les espoirs déçus de la Révolution française. Dans un premier temps, les écrivains romantiques expriment donc un désenchantement. Se développe alors ce que Musset appel « le mal du siècle » dont le héro romantique Victor Hugo se fait le chef de file. Ecrivain et homme politique considéré comme le plus important des écrivains romantiques de la langue française, il s'adonne à tous les genres. En 1868

champs lexical de la mort + périphrase désignant l'enfer ("où tout se désassemble")  Chiasme → mort dramatisée Ronsard se décrit comme déjà mort Ronsard dans ce poème exploite les ressources de l'esthétique baroque qui n'hésite pas à souligner les détails macabres et qui se plait à étudier la métamorphose des êtres, en particulier au moment de la mort. II- Une émouvante cérémonie des adieux A- Le difficile adieu au monde Vers 7 souligne les termes "soleil" et "oeil" rappellent que le poète ne peut

Dissertation sur les Chimères de Gérard de Nerval  Plan détaillé: Thèse n°1 : L’œuvre est incompréhensible. En effet, Nerval nous apprend que ses poèmes « perdraient leur charme à être expliqués, si la chose était possible, concédez-moi du moins le mérite de l’expression ;». Il nous demande de lui accorder le mérite de ses poèmes même si on ne les comprend pas. Nerval avoue ainsi que ses poèmes sont hermétiques donc difficiles à comprendre. §1 : Ce sont « des sonnets composés » : plusieurs histoires

féminines répondent à ses aspirations : Sylvie, compagne de jeux de l’enfance, liée à la beauté des matins d’été, incarne l’innocence fraîcheur du réel et la voie de la raison. Son physique méditerranéen l’apparente à une nymphe antique et bien des détails la rapprochent de la reine de Saba. Adrienne, blonde apparition d’un crépuscule, inaccessible par sa haute noblesse et sa vocation religieuse, incarne un idéal évanescent doublement interdit , dont l’image obsédante, qui peut se muer en spectre funeste

entre la représentation picturale et une quelconque « traduction » poétique. Le rapport au monde proposé par les deux artistes, rapport qu'on ne pourra détacher de l'aventure surréaliste, joint la vision à la vue, l'imagination au réel, l'aura au détail. Dans cet hymne à la voyance qu'est le recueil, l'architecture, l'organisation et le dialogue entre les pages ne sont pas laissés au hasard : ils orchestrent une véritable partition chargée d'entraîner le lecteur sur la voie de l'inspiration poétique

manifestent à travers une forme surprenante. Malgré l'expression douloureuse des jours de bonheur soulignée par la permanence du moi et la lenteur de la vie, l'espérance est là qui cherche à se manifester. Le Pont Mirabeau, purifié de tout détail secondaire, de toute éloquence apparaît alors comme un chef-d'œuvre où la valeur humaine et la pureté rénovent la tradition lyrique des poètes de la Pléiade à Verlaine. III. De l’écrit à l’oral Quatre questions en vue de l'entretien oral

burlesque par Offenbach (Orphée aux Enfers, le 1er tableau : 32’). Le tout en 2h. A été visionné le film de Cocteau. Problématique : en quoi consiste la modernité de cette réécriture ? Comparaison de Du Bellay (Las ! où est…) et Nerval (El Desdichado) avec la problématique suivante : pourquoi peut-on dire que dans ces deux textes l’on entend la voix d’Orphée ? A été lu et étudié un extrait d’Eurydice d’Anouilh. + Présentation et commentaire du tableau de Poussin : Orphée et Eurydice.

l’inconnu vous attire comme le feu follet fuyant sur les joncs d’une eau morte. » - Citation clé « En me retraçant tous ces détails, j’en suis à me demander s’ils sont réels ou bien si je les ai rêvés » - Sortie du réel prend ici forme d’un maléfice vs II : petit cheval …volait comme au sabbat » + doute : abondance de détails n’atteste pas authenticité du souvenir ó capacité d’illusion propre à l’hallucination, au délire, qui construit scénarios relevant des « obsessions

seul remède l’écriture.! ! ! 2) Le moi disloqué ! ! • Au dos d’une gravure qui le représenter Nerval a écrit « Je suis autre» et c’est là une dominante chez Nerval, le moi Nervalien ne s’envisage jamais dans l’unité.! • cf Sonnet «El Desdichado» «Suis-je Amour ou Phœbus ? ... Lusignan ou Biron» → Le moi Nervalien se construit au détour de d’autre identité ( mythologique ou historique) mais cela se fait de manière interrogative → Le temps Nervalien est un temps qui déborde des cadres