Elasticité Cnam

prises par ces coefficients, qui mesurent l'intensité plus ou moins grande des réactions des consommateurs aux variations de leurs revenus, ou des prix ou de toute autre grandeur prise en compte. Certains de ces coefficients définissent les élasticités à court ou moyen terme de la consommation par rapport au revenu. Le comportement de consommation observé dans une période pour un bien ou service particulier n'est pas uniquement fonction du revenu de la période, mais il est aussi déterminé,

1945 a instauré le régime général de sécurité sociale Le régime général de sécurité sociale emporte la superposition d’organisme de droit privé et d’EPA nationaux chargés de les encadrer Ces organismes sont la caisse nationale d’assurance maladive (CNAM), d’assurance vieillesse (CNAV), d’allocation familiale (CNAF) Ces structures ont en charge la gestion des différents risques auxquels sont exposées les personnes, maladie, accident du travail, vieillesse, les charges résultantes de la famille, risque

pouvons employer la métaphore du ressort : On soumet le ressort à un effort (sens mécanique) en lui accrochant une charge. A l’intérieur de certaines limites, quand on enlève le poids, le ressort retrouve sa longueur d’origine (pas de perte de son élasticité, de sa souplesse) mais si l’on dépasse cette limite, le ressort ne pourra pas reprendre sa longueur originelle (cap irréversible) ; Notions de tensions au travail : 1 – La stratégie générale et les attentes des salariés 2 – La déclinaison opératoire

86,8 7,07 74,5 7,14 94,8 (– 2,31) (3,14) (– 8,45) (8,06) (– 6,02) (2,79) (– 14,67) 1995 T2-1996 T3 (6,35) – 3,0 2001 T3-2002 T1 – 4,7 2008 T3-2009 T2 – 7,5 R² (en %) Constante (β) Élasticité de la croissance du nombre de chômeurs à la croissance du PIB (α) 2. Résultats de la régression du taux de croissance annuel du nombre de chômeurs et du taux de croissance annuel du PIB Lecture : Au moment de la récession de 1993, une

de gains de productivité entre les deux secteurs industrie et services et donc celui du prix relatif, la part de l’industrie n’est commandée que par l’élasticité-revenu de la demande de biens industriels (courbe 1) : elle augmente tant que cette élasticité est supérieure à 1 puis diminue. Si on relâche cette hypothèse, la demande de biens DÉSINDUSTRIALISATION, DÉLOCALISATIONS 43 industriels est alors stimulée par la baisse de son prix relatif : la part de l’industrie dans le volume de la production

JEGO-LAVEISSIÈRE Directrice Recherche et Développement Orange Labs Madame Laurence LAIGO Secrétaire Nationale CFDT Madame Catherine LESPINE Directrice Générale Groupe INSEEC Monsieur Jean MARGERIE Directeur Général Ucar Monsieur Vincent MERLE Professeur du CNAM Monsieur Michel MORVAN Directeur scientifique Veolia Environnement Recherche et Innovation Madame Catherine NÉDÉLEC Secrétaire Générale UFICT-CGT Mines Énergie Madame Florence PARL Y Directrice Générale Air France Cargo Monsieur Alain REDHEUIL Président

européen d’Harvard Business School, Guillaume Schier, doyen du corps professoral de l’ESCEM, Thierry Teboul, directeur de recherche (Groupe IGS), Dominique Michel, rédactrice en chef de la revue Expansion Management Review et Yvon Pesqueux professeur au CNAM et président de l’IFSAM (International Association of Scholarly Associations of Management), avec qui je collabore depuis plusieurs années sur ces thèmes. Nous tenons également à remercier l’équipe Manageor1 – professeurs, chercheurs et praticiens

européen d’Harvard Business School, Guillaume Schier, doyen du corps professoral de l’ESCEM, Thierry Teboul, directeur de recherche (Groupe IGS), Dominique Michel, rédactrice en chef de la revue Expansion Management Review et Yvon Pesqueux professeur au CNAM et président de l’IFSAM (International Association of Scholarly Associations of Management), avec qui je collabore depuis plusieurs années sur ces thèmes. Nous tenons également à remercier l’équipe Manageor1 – professeurs, chercheurs et praticiens

tous les sites équipés de butées arrière, que les caristes prennent l’habitude de taquer les palettes contre ces butées à chaque casage. Ces chocs répétés ont deux conséquences possibles : • soit la butée finit par se décrocher et, du fait de son élasticité, elle peut être projetée à plusieurs mètres dans une direction imprévisible ce qui représente un risque sans doute plus grave que la simple chute d’un carton, voire d’une palette. • soit la butée résiste et l’on assiste à une déformation des échelles

prélèvement obligatoire : celui-ci, après avoir baissé durant la crise (41% du PIB en 2010) retrouverait progressivement les niveaux d’avantcrise, et serait même légèrement supérieur au niveau de 2008 (43% contre 42.8% en 2008) du fait d’une élasticité des recettes à la croissance supposée supérieure à l’unité et d’un effort de réduction des niches fiscales et sociales d’environ 5 milliards d’euros ; - une amélioration mécanique liée à la sortie du plan de crise ; - une maîtrise des dépenses