Élection présidentielle américaine de 2004

augmentation de la production de biens et services industriels. L'offre potentielle supérieure alors à la demande existante, entraîne une nécessité de vendre et une concurrence exacerbant : La publicité et ses dérivées font leur apparition. Les Américains puis les Européens vont avoir l’ingénieuse conception de commencer par se préoccuper des besoins, des désirs et des moyens des clientèles visées pour mieux y répondre. L’efficacité et la pertinence du marketing, fait l’objet d’un champ d’application

regroupant ceux d’un chef d’Etat présidentiel et ceux d’un chef d’Etat parlementaire. En effet, au-delà des pouvoirs régaliens qui lui sont logiquement conférés, certains de ses pouvoirs, tels que la nomination et révocation des membres du gouvernement et des hauts fonctionnaires, la nomination des juges, la présidence du conseil de sécurité, le droit de véto ou encore l’adresse au Parlement par un message annuel, sont directement inspirés de la Constitution américaine, tandis qu’une inspiration française

"Subprimes", mais c'est aussi la conséquence directe de l'hyper libéralisme qui s'est diffusé avec la mondialisation. Le système libéral, symbolique aux États-Unis, est remit en question, la nationalisation du groupe General Motors par le gouvernement Américain montre bien les limites d'un tel libéralisme, sans réelles régulations. La crise est la conséquence directe d'un système économique mondialisé, elle résulte également d'une trop grande domination de la sphère financière sur l'économie réelle depuis

Présentation du sujet Le sujet sur lequel j’ai choisi de faire mon TER est l’emballement médiatique autour de Barack OBAMA lors de l’élection présidentielle américaine de 2008. Cet emballement a donné lieu à ce qu’on a appelé l’ « Obamania » et a, apparemment transcendé les clivages traditionnels de la presse d’opinion française. L’élection américaine a été particulièrement médiatisée et depuis plus d’un an, les noms des différents candidats (Mc CAIN, OBAMA, CLINTON…) résonnent dans nos têtes

président ukrainien et la Russie Commençons par le président Viktor Ianoukovitch. En 2004, il est élu président pour la première fois. Enfin, "élu" lors d'un scrutin truqué. D'ailleurs, ça ne passe pas. Deux jours après son élection, 500 000 personnes se rassemblent à Kiev en soutien à son opposant : Viktor Iouchtchenko, pro-européen. C'est la "révolution orange". Elle débouche sur une nouvelle élection présidentielle. Ianoukovitch, soutenu par Poutine, est cette fois battu par Iouchtchenko. Mais la

HIII1 « Bilan et mémoires de la seconde guerre mondiale ») En 1945, la France est libérée de l’occupation allemande et le Gouvernement Provisoire dirigé par le général de Gaulle a repris le contrôle du pays, évitant à celui-ci une occupation américaine. Les actes de Vichy sont annulés, l’épuration canalisée, les collaborateurs jugés : pour de Gaulle et pour nombre de français désireux de tourner la page, l’Etat Français du maréchal Pétain n’est plus qu’une parenthèse, voire une anomalie dans l’histoire

lors, les conditions pour voter sont les suivantes : • disposer de la nationalité française : le droit de vote demeurant lié, en France, à la nationalité (sauf s’agissant des ressortissants d’un État membre de l’Union européenne, pour les élections municipales et européennes) ; • être majeur : âge fixé à 18 ans depuis 1974 ; • jouir de ses droits civils et politiques : cela exclut, d’abord, les majeurs sous tutelle. Ensuite, jusqu’en 1994, le Code électoral prévoyait, pour certains

face aux actions de l’Etat. Le lendemain des attentats, l’Amérique est sous le choc. On va voir peu à peu se former une unité sans précédent : les américains sont touchés pour la première fois sur leur propre territoire, sur des symboles particulièrement américains, ce fut une attaque à l’entité que forme l’Amérique, et par conséquent tous les américains se sentaient concernés et se retrouvèrent bousculé dans leurs convictions, leurs croyances et leur fierté aussi. Un des phénomènes d’opinion les

Cours de M. le Professeur JOUANJAN M. KLEIN Melle KORDEVA Melle VEYRETOUT SÉANCE n°7 – Le régime « présidentiel » des États-Unis Documents reproduits : Document n°1 : Stéphane Rials, « Régime “congressionnel” ou régime “présidentiel” ? Les leçons de l’histoire américaine », Pouvoirs, n°29 Les États-Unis, 1984, p. 35-47 (extraits). Document n°2 : Élisabeth Zoller, Histoire du gouvernement présidentiel aux États-Unis, Dalloz, 2011 (extraits). Document n°3 : United States v. Nixon, 418 U.S. 683 du 24

Chambre. Il fut un idéal en Europe, selon le principe de « gouvernement modéré » de Montesquieu. Il existe une famille parlementaire plutôt qu’un régime parlementaire stricte, selon le degré de responsabilité du gouvernement. Au contraire, le régime présidentiel réside dans un séparation stricte des pouvoirs, sans interdépendance : le gouvernement ne peut donc être renversé par le Parlement et réciproquement. C’est aux Etats-Unis qu’il naquit : le gouvernement n’a aucune responsabilité devant le Congrès