Élection présidentielle française de 1981

Dissertation : Les médias et le pouvoir sous la Vème République. L’apparition des nouveaux médias, notamment de la télévision et l’internet, sans oublier la libéralisation des médias depuis 1981, a profondément marqué la vie politique française et changé les pratiques politiques. (Modifié les relations entre les médias et la politiques) Un média est un instrument permettant de diffuser l’information vers un grand nombre d’individus tout en ayant la possibilité de la personnaliser selon le public

curieuse par rapport à celles des autres pays. Deux choses curieuses : la présidence de la république sous la 5ème république est forte, développée dans ses attributions et ses moyens, elle ne ressemble pas du tout à la présidence des régimes présidentiels car dans ceux-ci le président est le chef du pouvoir exécutif. Le président français n'a aucune autorité hiérarchique sur les ministres. Président très fort mais qui n'est pas l'outil gouvernemental attaché à sa force. Si on dit que la 5ème république

France qu’à l’étranger. Il a entraîné les politologues à approfondir leurs réflexions sur le vote. Dans le Larousse, le vote est défini comme : « acte par lequel les citoyens d’un pays ou les membres d’une assemblée expriment leur opinion lors d’une élection, d’une prise de décision » (1994). En fait, il s’agit plus simplement d’une forme institutionnalisée de participation politique. Peut–on dire du vote qu’il obéit à un calcul coûts-avantages, c’est à dire qu’il est parfaitement objectif ? I) un

Gaulle, repose sur un système à fort pouvoir présidentiel. Depuis 1962, l’élection du président de la République se fait au suffrage universel. Cela renforce la présidentialisation de la République et accroit la bipolarisation de la vie politique autour de la droite et de la gauche. De Gaulle mène une politique d’indépendance et de grandeur nationale mais le régime est ébranlé par la crise de mai 1968 et le président démissionne en 1969. - 1969/1981 : L’après de Gaulle Ancien premier ministre

parlementaires équilibrés, la pratique les a fait évoluer vers le régime d’assemblée. La toute puissance du Parlement entre 1875 et 1958 a conduit à un phénomène d’instabilité gouvernementale quasi-permanente. L’expression « parlementarisme à la française » a été inventée pour désigner ce déséquilibre institutionnel qui a duré plus de 80 ans. La Constitution de 1958 repose essentiellement sur la volonté de ses rédacteurs de rompre avec le modèle des Troisième et Quatrième République. Après avoir étudié

l’attribution de servir d’arbitre au- dessus des contingences politiques, soit normalement par le conseil, soit, dans les moments de grave confusion, en invitant le pays à faire connaître, par des élections, sa décision souveraine ». Or, le mot arbitre est, dans la tradition constitutionnelle française, ambivalent. Il désigne tout d’abord un juge impartial, au sens judiciaire, juridictionnel, du terme. C’est le sens utilisé, soit dans le domaine spor- tif, soit dans le domaine judiciaire : l’on

Dissertation : Faut-il préférer la représentation proportionnelle au scrutin majoritaire pour l'organisation des élections législatives sous la V è République ? "Le choix entre le scrutin majoritaire et la représentation proportionnelle est la décision majeure d'organisation du système électoral", comme le précise Philippe Ardant. De ce choix va alors découler des effets qui seront bien différents selon le mode de scrutin choisi. Il convient immédiatement de nuancer cette affirmation. En effet

direct. A. Le statut du Chef de l’Etat Le statut du Chef de l’Etat a évolué parallèlement à la modification de ses conditions d’élection. Le mode d’élection a été profondément modifié mais il a toujours été au suffrage universel. 1. Son élection au suffrage universel indirect avant 1962 En vertu de l’article 6 de la Constitution de 1958, le Président de la République était élu au suffrage universel indirect (par un collège électoral) pour 7 ans. Le collège électoral était composé de

Après sa prestation de serment en 1981, il entre comme stagiaire et devient collaborateur de l'avocat Guy Danet[9]. En 1987, il crée à Paris le cabinet « Leibovici - Claude - Sarkozy » en s'associant avec deux autres avocats : Arnaud Claude spécialisé en immobilier qui a notamment récupéré dans sa clientèle la ville de Levallois-Perret dont il règle tous les contentieux d'expropriation, et Michel Leibovici. Parallèlement à cela, Nicolas Sarkozy conduit sa carrière politique. Entre avril 2005

décembre Doumergue devient président du conseil. 1914
 16 mars Assassinat du directeur du Figaro par Madame Caillaux, épouse du ministre des finances. 
17 mars Démission de Joseph Caillaux, ministre des finances.
 18 mai Victoire de la gauche aux élections législatives.
 16 juin Investiture du nouveau gouvernement dirigé par R. Viviani.
 28 juin Assassinat de l'archiduc François-Ferdinand d'Autriche à Sarajevo.
 2 juillet Adoption de la loi Caillaux sur l'impôt sur le revenu.
 23 juillet Ultimatum