Electre La Tirade Du Mendiant

mythique qui décide de publier une pièce de théâtre éponyme en 1937 : Électre. La mort du héros, élément récurrent et important dans le dénouement de la pièce caractérise la plupart des tragédies. Dans cet extrait, un homme, le Mendiant, dévoile à des personnages les circonstances du meurtre d’Agamemnon, roi de Mycènes. Nous nous demanderons comment Giraudoux met-il en scène la mort d'un roi grand et aimé à travers la tirade du Mendiant. Pour cela, il conviendra d'étudier la beauté de la mort du roi

I - LES PERSONNAGES A) La famille des Atrides: Electre: -personnage principal qui fait avancer l'histoire. -vient du gr�cque Elektra qui signifie "lumineuse" -elle veut faire �clater la v�rit�, les personnages se r�v�lent en sa pr�sence -elle est rencuni�re et manipulatrice -fille de Clytemnestre et Agammemnon, elle veut que sa m�re et son nouvel amant avoue le meurtre de son p�re. -elle se r�velle vraiment � l'arriv�e d'Oreste, avant elle ne parlait pas, renfermant sa haine -femme

Électre de GIRAUDOUX, acte II scène 9 Lecture analytique du récit du Mendiant, depuis « Alors voilà la fin… » jusqu’à « Il me rattrape » (Poche p.129) Dans la cité d’Argos menacée par les envahisseurs corinthiens et par la révolte intérieure, le Mendiant a raconté, devant l’assemblée des mendiants, le meurtre d’Agamemnon. Délivré de ses liens, Oreste se précipite vers Égisthe et Clytemnestre, demandant au Mendiant de raconter leur mort. Le Mendiant lui laisse « le temps d’arriver ». il entame

ELECTRE, la signification Signification de la pièce de Giraudoux : La pièce d’Electre forme un ensemble cohérent dont le but est d'amener le spectateur à s'interroger sur le bonheur, la Tragédie, la guerre et la vérité.   La pièce repose sur le conflit qui oppose Electre et Egisthe. Celui-ci, qui vient de recevoir sa ville "comme une mère son enfant" et est prêt à se sacrifier pour défendre sa patrie contre l'ennemi qui s'apprête à attaquer. Cependant, Electre l'en empêche: pour elle, Egisthe

GIRAUDOUX, Electre ; I, 1 Cette scène d’exposition répond-elle aux attentes du genre ? Qu’est ce qui fait l’originalité de cette scène d’exposition ? Quelle est la fonction de cette scène ? Cette scène d’exposition vous semble-t-elle plutôt traditionnelle ou originale ? Cette scène d’exposition vous semble-t-elle représentative du reste de la pièce ? Le problème du genre : la scène annonce-t-elle une tragédie ou une comédie ? GIRAUDOUX, Electre ; I, 4 Que dire des rapports

Acte I scène 8 Electre : I. Retrouvailles lyriques : 1). Passion lexicale 2). Passion théâtrale II. Duo déséquilibré : 1). Oreste contraint au silence  2). Electre dominatrice III. Confusion entre amour fraternel et amour maternel 1). Ambiguïté sentimentale 2). Création mystique d’Oreste 3). Renaissance d’Electre : L’Acte I de l’Electre de Giraudoux se clôt sur les retrouvailles du duo fraternel formé par Electre et Oreste, son frère tant attendu. Electre exprime son ressenti

Séquence 2nde Le devenir d’un mythe tragique : étudier Electre de Jean Giraudoux (1937). (édition Petits Classiques Larousse, séquence réalisée durant l'année scolaire 2005-2006) De l’Antiquité au XXe siècle. Objets d’étude : a- le théâtre (évolution du genre) b- l’éloge et le blâme ; genres et registres. Objectifs : 1) identifier les caractéristiques du registre tragique. 2) comprendre comment se construit le personnage tragique. 3) étudier les stratégies du blâme. Séance

Sujet: Interrogé à propos d' Électre , Jean Giraudoux a déclaré « il faut épousseter de temps en temps les statues éternels ». Dans un développement composé, vous montrerez comment Giraudoux a pu « épousseter » le mythe antique. Electre de Jean Giraudoux est une pièce de l'entre deux guerres qui fut joué pour la première fois le 13 mai 1937, c'est une pièce composée de deux long actes coupés par un lamento. La pièce de Giraudoux, se situe dans un contexte de crise aigüe dans les relations franco-allemandes

Clytemnestre, le combat et l'agonie d'Egisthe (éléments invariables du mythe) b) Mais le temps le plus employé est l'imparfait (souvent employé alors que le passé simple était possible) Ex : "disait" 29 "une bête qui criait" 31 "elle n'appelait pas Electre" 35 "Elle se cramponnait" 38 "Cet oiseau qui le giflait" 44 (voir texte de Larthomas, p. 166) Pr valeurs de l'imparfait : actions non délimitées, état, description, répétition. C l'imparfait fige les actions comme dans un tableau et souligne les

Clytemnestre, le combat et l'agonie d'Egisthe (éléments invariables du mythe) b) Mais le temps le plus employé est l'imparfait (souvent employé alors que le passé simple était possible) Ex : "disait" 29 "une bête qui criait" 31 "elle n'appelait pas Electre" 35 "Elle se cramponnait" 38 "Cet oiseau qui le giflait" 44 (voir texte de Larthomas, p. 166) Pr valeurs de l'imparfait : actions non délimitées, état, description, répétition. C l'imparfait fige les actions comme dans un tableau et souligne les