Électre

présente les « mouche » (P.113). Dans cette pièce Sartre reprend le mythe des Atrides cette histoire déjà mise au théâtre par les dramaturges Grec Eschyle (Les Choéphores), Sophocle (Electre), Euripide (Electre) mais il y’a un autre dramaturge Français qui reprend les mythes des Atrides peut avant Sartre, Giraudoux (Electre). Sartre reprend le mythe antique mais il ancre sa pièce au 20ème siècle, en hésitant pas à faire parler ses personnages comme on parle au 20ème siècle cela produit un décalage amusant

Sebastien Davis, Myrtille Bordier -Aide à la création: Conseil Régional de Lorraine L’intrigue Cette pièce met en scène huit personnages que sont Oreste, Electre, Héléne, Tyndare, Pylade, Le choeur, Ménélas et Hermione. À la suite de l’assassinat de son père et sous l’impulsion divine d’Apollon, Oreste, accompagné de sa soeur Electre, décide de commettre un matricide. Oreste, ayant subi des pressions diverses pour commettre ce meurtre, et notamment celle de sa soeur et d’Apollon ainsi que Ménélas

Curieusement non frappée par censure car jugé comme n'ayant pas de sens. Les mouches de Sartre est une réécriture de la pièce tragique d'Eschyle « Electre » (mm intrigue.) histoire de la famille des atrides soumise a la vengeance des dieux. Agamemnon, époux de clytemnestre est tué par egisthe cousin de celui ci et amant de celle ci. Enfants : oreste et electre décident vengeance : mort des amants. Monologue d'electre alors que son frère oreste est sur le point d'assassiner sa mère. Elle reste seule

Français Observations : 20 Evaluation final de la séquence 3 : Le théâtre, texte et représentation Question de corpus : Quelles images de Clytemnestre découvre-t-on dans ce corpus ? Avec le texte Electre de Sophocle, Electre de Giraudoux, et Les Mouches de Sartre, nous répondrons à la question suivante : Quelles images de Clytemnestre découvre-t-on dans ce corpus ? Par deux aspects différents, tout d’abord on voit une femme victime de son destin mais aussi

Invention de texte : Sophocle d’Electre […] ORESTE. – D’après votre discourt, je peux m’assurer que vous êtes une personne de confiance pour Oreste et qu’entre vos mains, et qu’entre vos mains, cette urne ne serait que bien traitée. ELECTRE. – Ô Oreste mon frère, comment donc as-tu pu m’abandonner dans ce monde si cruel envers moi, la mortalité n’est peut-être pas un fardeau. Comment dans ta jeunesse nous as-tu quittés ? LE CORYPHEE. – Pourquoi insistes-tu, ces cendres ne sont-elles pas déjà

Les mouches – Actre III , scène 1 Introduction : Le passage que nous allons commenter concerne le siège des Erinnyes autour d'Oreste et Electre, dans le temple d'Apollon.Les mouches sont introduites par la baisse de lumière. Dans la mythologie grecque, les Erinnyes sont des divinités persécutrices, elles correspondent aux furies chez les romains. Elles sont représentées avec des serpents pour des cheveux, des fouets et des torches, ainsi qu'avec du sang qui coule de leurs yeux. Leur but est

malheureux jardinier s’est vu enlevé Électre, qu’il s’apprêtait à épouser, par un étranger qui n’est autre qu’Oreste. Son discours est rempli de paradoxes étranges: c’est l’ironie d’un désespéré qui s’efforce par la magie des mots, de changer la réalité selon ses désirs. On pourra analyser successivement : I. Une ironie amère, II. Une manière de refaire le monde. 1. Une Ironie Amère La tristesse du jardinier est évidente: il aimait Électre et se lamente de l’avoir perdue

instaurent pour soumettre les peuples. Ainsi Ubu défonce-t-il la porte des paysans avant de détruire leur maison, aidé de "sa légion de Grippe-Sous". Caligula oblige ses courtisans à rire et à l'approuver sous la menace. Egisthe punit sa belle-fille Electre et méprise sa femme qui le craint. Seul le roi mourant de Ionesco n'exerce plus d'influence sur son entourage mais ne renonce pas à leur donner des ordres insensés. Tous sont rongés de désirs, voire de caprices. Ubu veut s'enrichir en volant ses sujets

rappellent le thème du tombeau. Opposition : le vent ramène le souvenir des proscrits contrairement au bâteau qui les emmène. "Grèce" rappelle le pays d'Harmodius, et renvoie à son histoire. Invocation à la déesse de la vengeance (cf. la tragédie Electre de Sophocle : les dieux doivent armer les vivants). "Voix dans l'air" : Ce sont des anonymes qui parlent. "C'est l'heure" : répétition du premier vers. "Profitons" : insiste sur l'urgence d'agir, après, on ne pourra plus. Parrallélisme soulignant

présentée du point de vue des citoyens qui donnent un par un leur avis : « mon avis le voici », « c’est aussi mon avis ». D’autre part, les didascalies sont beaucoup plus présentes dans le monologue ce qui permet de se représenter la scène à travers Electre dans Les Mouches : « silence. Puis cris de Clytemnestre », « les cris cessent ». Quant à la scène d’Agamemnon, les cris sont directement émis par la victime même qui crie « Hélas ! » à deux reprises. Dans une seconde partie, les deux scènes