Éloge de la Folie

Dieu? Art en parallèle aux recherches. Vanités==> Rien n'est utile car on va tous mourir, on doit tout de même tout découvrir. Et en qui l'on peut faire confiance: Eramse écrit «Éloge de la folie» en décrivant les comportements absurdes et fous des hommes, mais qu'il y a dans l'Homme de bons comportement ==> «folie généreuse». Il écrit aussi un livre contre Luther et son protestantisme: «Le libre arbitre». Une rupture esthétique: Introduction: «Esthétique» = Ce que l'on ressent. ==> Beau//Laid

mal d’amour - Le vocabulaire de la souffrance est omniprésent et appartient au lexique de la maladie : langueur (vers 10), fièvre (vers 12), souffrir (vers 7), furieux = pris de folie (vers 14). - Les contradictions de l’état amoureux sont marquées par des antithèses qui montrent le déséquilibre qui mène à la folie : « Bonheur qui me fuit » (vers 5), « front joyeux et langueur extrême » (vers 10), « chaud, froid » (vers 12). - L’intensité des sensations et des sentiments se révèle dans les

* Ruptures de la narration et jeux sur la focalisation * Champs lexicaux de la peur, de l’étrange, du monstrueux. * Evenements etrange inexplicable par la raison * Champs lexicaux du mystère, de l’étrange, du surnaturel, de la mort, de la folie, de la peur, de la frayeur voire de l’épouvante. * Verbes de perception, de sensation. * Narration a la première personne et choix de la focalisation interne : ce qui permet au narrateur de faire partager au lecteur ses doutes. * Modalisateurs

observer le genre de l'éloge paradoxal. Un texte peut être engagé sans que l'auteur le soit pour autant. C'est la reconnaissance de l'écriture et du style qu'il recherche.Erasme, dans son Eloge de la folie, donne la parole à la Folie elle-même ce qui lui permet toutes les contradictions et toutes les audaces : la Folie peut tout dire, tout et n'importe quoi. Erasme utilise l'univers carnavalesque. Ensuite, certains auteurs n'envisagent pas la littérature comme un engagement car ce serait détourner

originalité. Louise Labé, née à Lyon vers 1524, est une des plus grandes poétesses de la Renaissance française, et elle fait notamment partie du cercle de Maurice Scève. Elle est l’auteur d’une seule œuvre, publiée en 1555, comportant Le débat de Folie et Amour, trois Elégies ainsi que vingt-quatre sonnets, tous dédiés à un seul homme, reprenant ainsi le modèle de Pétrarque. Les sonnets de Louise Labé se caractérisent par la sincérité des sentiments exprimés. Ils représentent un mélange de sentiments

alors la France. Il insiste sur la misère de la ville qui vit dans le froid, la faim et la pauvreté, dénonçant ainsi le régime sous lequel la France vit pendant la seconde guerre mondiale. Cette description alarmante est mise en contraste avec un éloge de la ville et de son potentiel magistral. Les qualifications de puissance, de liberté, de beauté et de pureté attribuées à la capitale réveillent ainsi chez le lecteur de la compassion, le poussant à défendre sa ville fétiche et à se révolter, faisant

maître et de l’élève -l'instruction du Prince et des Puissants sur leurs devoirs -l'usage des sentences et des maximes -la citation de la Bible et des textes de l'Antiquité -interpellation du lecteur Thomas More (L'Utopie, 1516) Erasme (Eloge de la folie, 1509) Rabelais (Pantagruel, 1532 et Gargantua, 1534), Montaigne (Essais, 1580-1588) XVIéme siècle LE CONTEXTE HISTORIQUE ET CULTUREL Les guerres d'Italie (1494-1559) permettent aux Français de découvrir la Renaissance italienne (Quattrocento

Érasme (v. 1467-1536), écrivain hollandais humaniste et érudit, principal interprète des courants intellectuels de la Renaissance en Europe du Nord. Au Moyen Âge, la folie est le signe que les hommes, ayant oublié la parole divine, ont l’esprit et les sens déréglés. Érasme va rompre avec cette conception et conférer à la folie un rôle positif. Elle ne sera plus un mal dont il faut se guérir, mais ce qui, au cœur même de la raison, permet à la pensée humaine d’opérer la critique du monde des apparences

un « mauvais lieu » quelqu’un qui est ennuyé par la dignité « La solitude » (23) : éloge de la solitude en réponse aux critiques d’un gazetier qui la condamne « A une heure du matin » (10) : le poète espère écrire quelques vers, la nuit, pour ne pas être comme les autres qu’il méprise « Une mort héroïque » (27) : un bouffon se fait tuer par son Prince, jaloux de son talent d’acteur apporte à d’autres la folie « Le gâteau » (15) : deux enfants se disputent un morceau de pain qu’ils appellent «

registre pathétique. Certains indices L’emploi du champ lexical de la douleur, de la plainte. Recours à un vocabulaire partagé avec l’auditoire : familiarité, jargon, Les oppositions entre ombre et lumière, civilisation et barbarie, raison et folie… La présence de figures d’insistance (répétition, anaphore, gradation, pléonasme), de figures d’opposition (antithèse, oxymore), les alliances (oxymore, hypallage). Le recours aux exclamations et interrogations qui trahissent l’affectivité