Éloge de la Folie

(Platon, Plutarque) ou latins (Plaute, Térence, Sénèque) le classent parmi les plus grands savants de son époque. Puis il se dirige vers l'Angleterre chez son ami Thomas More, un célébre humanisme, où il y rédige en quelques jours son fameux Éloge de la Folie en 1511. Ce livre très connu renferme les reproches d'Erasme envers les gens de l'Eglise qui vivent dans la richesse, qui ne s'interessent qu'à leurs plaisirs et qui s'éloignent du message des évangiles en le méprisant et en profitant du peuple

mal d’amour - Le vocabulaire de la souffrance est omniprésent et appartient au lexique de la maladie : langueur (vers 10), fièvre (vers 12), souffrir (vers 7), furieux = pris de folie (vers 14). - Les contradictions de l’état amoureux sont marquées par des antithèses qui montrent le déséquilibre qui mène à la folie : « Bonheur qui me fuit » (vers 5), « front joyeux et langueur extrême » (vers 10), « chaud, froid » (vers 12). - L’intensité des sensations et des sentiments se révèle dans les

maisaussi en Italie et en Allemagne . Ayant une grande connaissance des textes sacrées, qu’il traduit ,et des textes latin et grecs ,il est une figure essentielle de l’humanisme européen. Auteur del’Eloge de la folie ,il aussi composé plusieurs traités d’éducation . Oeuvre: Eloge de la folie

vie », ce sont des « empoisoneurs ». Revaloriser le corps face à l’âme, il en dit long sur cette dernière. Il faut dépasser bonheur, raison, vertu, justice (« L’heure où vous vous dites : qu’importe…). Le surhumain, c’est cet éclaire, c’est cette folie. La foule s’en balec. § 4 L’homme est un pont entre l’animal et le surhomme. « Ce que l’on peut aimer dans l’homme, c’est qu’il est une transition et qu’il est un déclin »Il faut vouloir son déclin. Pas sûr d’avoir compris, mais je pense qu’il faut

histoire véritables : comique est temple de fantaisie délirante. Rabelais est proche de Lucien dans les idées. Érasme : 30 ans avant Rabelais. Publie de nombreux ouvrage. Réformateur pacifique > condamné par Sorbonne mais protégé par l’empereur. Eloge de la folie ; les adages  > allusion dans Rabelais. Faire autorité > référence + model. ------------------------------------------------- PROLOGUE Parodie : imitation grotesque Pantagruel > roi des Dipsodes (=qui a soif) faits et prouesses > exploits

laquelle on souhaite du malheur à quelqu’un sous l’effet de la colère Polémique : débat violent dans lequel les oppositions s’expriment avec agressivité Controverse : discussion causée par des interprétations différentes sur un sujet Apologie : éloge ou défense d’une personne ou d’une idée par un discours écrit ou oral Injonction : ordre d’obéir immédiatement Sentencieux : qualifie une façon de s’exprimer avec gravité, solennité, comme quelqu’un qui est persuadé de détenir la vérité Acerbe :

médiévale⇒ Oubli des savants et écritures antiques3) Nouveau testament en grec4) Eloge de la folieIl utilise « la folie » pour critiquer la hiérarchie d’une Eglise toujours plus riche, à l’encontre d’un idéal chrétien5) Pays – Bas, Angleterre, Italie, France, Empire GermaniqueErasme, prince des Humanistes, voyage dans toute l’Europe et parle avec de nombreux humanistes→ C’est la république des lettres1511 : « Eloge de la folie » interroge sur les abus du clergéLes Intellectuels humanistes renouvellent

pour thème commun la femme aimée. Il s’agit de savoir quelle image de la femme propose ces textes. Nous verrons d’abord l’image élogieuse de la femme et dans un second temps qu’elle est l’expression du lyrisme. Tout d’abord, tous ces textes font une éloge de la femme aimée. En effet, on retrouve une mise en valeur d’une partie physique de la femme, qui est essentiellement décrite a travers leurs yeux. De plus, de nombreuses comparaisons, métaphores et métonymies ainsi qu’un champ lexical riche, permet

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travaux de Michel Foucault sur ce que l’infraction ou la folie nous apprennent des systèmes qui les considèrent comme telles : Surveiller et punir, L’Histoire de la folie). L’intérêt de la figure paradoxale de Don Juan est aussi de mesurer le maniement intéressant du paradoxe. Le Dom Juan de Molière offre le pratique de l’éloge paradoxal, de la deuxième scène du premier acte – éloge de l’infidélité – à la deuxième scène du dernier acte – éloge de l’hypocrisie. On peut transformer ainsi la défense de