Emouvoir Le Lecteur

Presse écrite ou télévisuelle, les mots et images ne sont jamais neutres. Pour vendre et faire du profit, but premier de 120% des médias aujourd'hui, il faut inter-esser un lecteur ou bien un téléspectateur, il faut certes relater l'evenement, mais avant tout émouvoir, séduire, choquer : faire appel à la sensibilité du lecteur et à son éventuelle intelligence, à sa subjectivité donc. En somme, la mission de la presse pourrait se définir en trois mots : savoir, vérité, liberté. Le journaliste

exagération qui insiste sur la douleur de la grand-mère, elle se comporte avec beaucoup de tendresse et de sollicitude. -émotion et bouleversement des personnes présentes provoqués par la ponctuation (interrogatives et exclamatives) - l’émotion du lecteur (pour la souffrance des personnages) naît du contraste entre la simplicité du lieu et la dureté de la scène représentée. - on repère la souffrance de la grand-mère par la double perte dont elle a été victime : « je n’avais plus de sa mère que lui »

morale s’en dégage. En d’autres termes, nous nous interrogerons pour savoir si la littérature a-t-elle le pouvoir de convaincre et de persuader ses lecteurs. Bien évidemment, on peut penser que la littérature est capable de persuader et de convaincre dans ses différentes formes, néanmoins les textes littéraires n’ont parfois aucun effet sur le lecteur. Pourtant, si l’impact des textes littéraires est limité concernant l’opinion, il n’en reste pas moins réel et manifeste. Il existe une multitude de

Dans la cinquième strophe, il se dirige directement aux lecteurs  en les appelant : « Passants »v.17, il cherche la tolérance à l’égard des toutes les êtres malheureux, il utilise l’impératif : « faites grâce » et le mot « pauvre ».Il appelle le lecteur à avoir clémence : « Plaignez la laideur, plaignez la piqûre/Oh !plaignez le mal !v 19 et v.20. Ces invitations ont une intensité croissante car il cherche à émouvoir le lecteur. Il prétend que la laideur ne soit pas condamnée mais plutôt qu’on

quotidiennes qui peuvent parfois surprendre, choquer ou au contraire faire sourire le lecteur. Elle permet aussi de faire découvrir le monde d’une façon étonnante, cruelle ou encore pessimiste. La réalité chez Maupassant se transforme en une "illusion parfaite du vrai" qui devient "plus saisissante et plus probante que la réalité même". Ainsi il affirme dans la préface de "Pierre et Jean" « pour nous émouvoir, comme il l’a été lui même par le spectacle de la vie, [le romancier] doit la reproduire

érudition » nous montre l’aspect de connaissance, le premier pour le savoir des ces écrivains. « Employant tout les tons », en effet, afin de pouvoir convaincre le lecteur, les philosophes s’employant à amener un lecteur à reconnaître qu’un point de vue est véridique en avançant des preuves, ou à le persuader, quand l’auteur fait partager au lecteur son point de vue en jouant sur les émotions, sur la subjectivité, sans utiliser de preuves, les philosophes avaient une maitrise approfondie de la langue française

‘opinion de l’auteur. Nous analyserons d’abord le ton pathétique pour démontrer la visée de l’auteur. Et finalement, nous étudierons le but du discours direct qui mène à une fin ironique. Anne Kichenapanaïdou utilise la tonalité pathétique pour émouvoir le lecteur. Les thèmes de la misère, la guerre, et la jeunesse gaspillée se traduisent par le choix de présenter les enfants comme des victimes, par le champ lexical de la souffrance et par l’énumération, l’accumulation, la négation, et les questions rhétoriques

mythologique aux caractéristiques héroïques, ensuite qu'il se transforme est devenir ordinaire, un reflet de la réalité mais que par ailleurs chaque lecteur choisit aussi sa propre vision du héro. Tout dépendra donc du choix de l'écrivain, comme ici celui de Zola qui opte pour un héro que l'on pourrait croiser dans la rue. Cependant, les opinions de l'auteur et du lecteur peuvent donc différer. N'importe quel personnage ne peut il pas être un héro, du moment que celui-ci est le centre de l'intrigue du récit 

avec qui il a partagé dix-sept ans de sa vie. Il est important de le savoir afin d’avoir une meilleure compréhension du poème. A travers ce poème, Paul Eluard va chercher à faire le deuil de son épouse et aussi à provoquer de l’émotion chez ses lecteurs. C’est ce que nous étudierons aux travers de deux parties. Ce poème est un poème lyrique, composé de trois quintiles d’alexandrins. Le poète fait une idéalisation de sa femme, et de sa vie avec elle. « Aurore en moi dix-sept années toujours plus

arrive que l’on qualifie un texte, mais aussi une peinture de poétique. On entend par là qu’il s’agit de quelque chose d’à la fois beau et intraduisible. Quelque chose qui se dérobe à la raison et vient toucher nos sens et notre imaginaire pour nous émouvoir. I- LE RÔLE DE LA POÉSIE 1. la transcription du réel La poésie peut transcrire le réel en décrivant à la manière d’un tableau, selon la conception de Horace, le poète latin, qui définit la poésie comme une peinture. (sensible chez la Fontaine)