Emouvoir Le Lecteur

permettent au lecteur d'identifier le genre poétique de ce texte. Le titre indique que le thème du poème est: "La chasse à l'enfant". Le récit prend place sur île. On perçoit des cris "d'honnêtes gens" qui poursuivent un enfant, échappé d'une maison de redressement où il était malmené. "Les gendarmes, les touristes, les rentiers, les artistes" le pourchasse en pleine nuit, ce qui le pousse à fuir à la nage. Des coups de fusil sont tirés. Ainsi le poème s'achève, sans que le lecteur sache si l'enfant

souvent au ban de la société, les exclut, et les plonge dans le tourment. Ex : dans « L’albatros », Baudelaire évoque la grandeur et la misère du poète. B) Chanter la souffrance Par l’expression de leur souffrance, les poètes parviennent à émouvoir le lecteur, qui se reconnaît dans l’expression de sentiments universels. Ex : sentiments de mélancolie : « Tristesse d’une étoile » ; sentiment d’inquiétude face au caractère inéluctable de la mort : Ronsard, « Je n’ai plus que les os. » C) Pourtant

Louis XIV 1) Une évocation réaliste des conditions de vie des paysans français au 17ème siècle. a) caractère vivant de la présentation du personnage : dimension visuelle , auditive de la description. + accès aux pensées du personnage => le lecteur a l’impression de « voir »  le personnage. b) allusion aux charges pesant sur les paysans français : vers 9 et 10. 2) Dénonciation de la misère paysanne. a) caractère pénible du travail du bûcheron : rythmes pesants et lents des vers, sonorités

monde. Ils se servent de la poésie engagée pour dénoncer une réalité qu’ils désapprouvent, en la blâmant, afin que les hommes adhèrent à la cause ou les causent qu’ils défendent. Pour se faire, ils visent les sentiments du lecteur et non sa raison, ils cherchent à émouvoir le lecteur. Au lieu de convaincre, la poésie engagée vise donc à persuader. Ex : Où vont tous ces enfants, Victor Hugo. Dans ce poème du recueil Les contemplations, Victor Hugo nous montre clairement qu’il est contre le travail des

faut réussir a convaincre et persuader son interlocuteur ou son lecteur en lui posant des arguments valables pour le faire changer d’avis. De plus, donner des leçons aux hommes permet de les aider, en leur donnant un modèle à suivre, pour ne pas les détourner d’un chemin précis. Seulement, d’autres genres littéraires tels que le théâtre ou la poésie permettent eux aussi de donner des leçons en véhiculant d’autres sentiments chez le lecteur. On peut donc se demander si le fait de donner des enseignements

. Les délices de l'analyse psychologique, des actions, et des motivations du personnage, sont donc tout à fait accessibles au lecteur, notamment en ce qui concerne le théâtre classique au sens large, dans lequel les éléments scénographiques jouent un rôle plus modeste que dans le théâtre contemporain. En outre, la lecture d'un texte théâtrale peut laisser le lecteur libre d'imaginer sa propre mise en scène sans se voir imposer l'interprétation particulière d'un metteur en scène. Ce plaisir

Christian de Montella. Dans ce roman, Diego, un jeune homme d'origine noble espagnole, va apprendre a vivre comme les indiens, va devenir l'un deux, et plus tard se battra pour eux. Les romans de Karl Marx, eux sont idélogiques, ils veulent convaincre le lecteur que leur idée est la bonne, et qu'il faut la défendre. Mais, les romans ne font pas que ça, ils nous amusent , nous font rêver. Prenons par exemple, Bilbo le Hobbit de J.R.R Tolkien. Ce roman raconte l'histoire d'un hobbit, qui ne veut pas sortir

du 2ème paragraphe Voltaire cherche à dénoncer l'horreur bouffone de la guerre. "Canons" : rupture dans l'harmonie et candide ne perçoit pas la discordance. Antithèse : enfer / harmonie. Ironie de Voltaire ici, comme un signe de l'auteur à son lecteur. Oxymore : "boucherie héroïque". Opposition constante entre gloire et horreur de la guerre. Faux héroïsme fondé sur la glorification des massacres "âmes" : connotation chrétienne ironique "comme un philosophe" : réaction saine ou philosophe au

(l’homme est arrêté seulement pour avoir volé un pain) et d’appréhension (l’adjectif : « terrible »). Comme nous l’avons démontré, l’antithèse entre les deux personnages et le jeu des regards sont des éléments créateurs de sens. Ils laissent deviner au lecteur l’orientation idéologique du texte : la dénonciation de l’inégalité sociale. La phrase détachée qui constitue le troisième paragraphe sert de conclusion à cette partie. Le narrateur y revient sur l’image-clé, l’image signifiante, celle du regard inquiétant

du Lion tiré de Les Fables de L a Fontaine. Ce dernier a critiqué la cour du roi Louis 14 et ses courtisans en disant « ne soyez à la cour si vous voulez y plaire, ni fade adulateur, ni parleur trop sincère. » L’engagement peut améliorer au lecteur plusieurs intérêts que se soit social, humain ou éducatif. Mais la beauté du style n’a pas d’importance dans l’œuvre littéraire ? Le non engagement est autre. L’écrivain désintéresse du sort de ses contemporains pour se consacrer uniquement