Emouvoir Le Lecteur

(question qui n'attend pas de réponse, juste pour interpeller le lecteur) : l. 6-21 I Interpellation de l'auditeur pour le faire participer au récit. _ Présent de narration : « il envoie » l.21 I donne de la vie au récit, le rend plus proche de l'auditeur, du lecteur. _ Rythme irrégulier : phrases courtes-longues l. 6-7 I Eviter la monotonie _ L'implicite : « la fin se conçoit d'elle-même « l. 30 I Réflexion du lecteur 2)… pour impressionner l'auditeur : _ Didascalie de la

parfois critiquer. L'ironie: Elle supose une cible et une compliciter entre l'ironiste et son public afin de montrer le décalge entre ce qui est di et ce qui est pensé soit perçu.Il est utiliser pour faire sourir ou rire aux dépens de quelqu'un. Emouvoir Le registre lyrique: Par analogie ,il désigne les textes qui possèdent une forme de musicalité. Leur rythme ,les répétitions, leur sonorité sont au service de l'expression du moi, c.a.d des sentiments intimes comme l'amour, la nosalgie

élément perturbateur directement => in medias res => cette élément tombe sur la tête du personnage comme un coup de massue => il y a donc de quoi susciter la compassion du lecteur Amour inconditionnel, passion => émouvoir le lecteur Questions oratoires => la condamne pour se victimiser et créer une proximité avec le lecteur Une Iris insensible et déterminée stoïque Chantage infantile => suscite la compassion 3) Une réaction démesurée face au départ raisons du départ légitimes « aïeule malade »

2eme quatrain est un parallélisme (même construction) : volonté didactique certaine Connecteurs logiques argumentatifs " toutefois " " aussi " = ils amènent l’exemple après 2 arguments dans le quatrain - " nous " : volonté d’être cru du lecteur, entraîne le lecteur dans la croyance de celui qui s’exprime Répétitions anaphoriques régulières : valeur persuasive B. Une vérité troublante : la vie est un passage Tout le système didactique est mis en place pour affirmer une thèse, une idée générale

au bonheur, au pouvoir, à la liberté, à la vie et la mort, à l’existence etc. Il faut s’intéresser à la particularité du genre théâtral et l’argumentation qui peut être directe ou indirecte, les registres employés pour éveiller les esprits ou les émouvoir ou les faires réagir afin de créer une prise de conscience ; s’interroger sur la force des dialogues ou leurs limites. 3 / Plan détaillé. Introduction générale : -présenter la pièce et le sujet abordé -reprendre le sujet et le reformuler : « d’où

et cruelle (les verbes à l’impératif) b- Metteur en scène et actrice sachant mentir (la première didascalie et les apartés révélateurs) Transition : Le jeu d’Araminte peut plaire au lecteur ou au spectateur, qui apprécie sa façon de jouer la comédie et de se jouer du naîf Dorante mais celui-ci cependant peut émouvoir. 2° grande partie- L’amour muet de Dorante pour Araminte et son respect se marquent par une souffrance de plus en plus grande. a- Etonnement (les exclamations, la rêverie et le comique

moyen de convaincre et de persuader. "Convaincre" s’emploie pour exprimer le fait que l’auteur cherche à amener un lecteur à reconnaître qu’une proposition, qu’un point de vue est véridique, irréfutable. En ce sens la conviction repose essentiellement sur l’exercice de la raison qui avance des preuves. "Persuader" s’utilise davantage pour dire que l’auteur cherche à faire partager au lecteur son point de vue en jouant sur les émotions, sur la subjectivité, sans forcément utiliser de preuves systématiques

sont amenés à traverser le temps sont ceux qui informent, renseignent, guident (éclairer) le lecteur ou alors l’émerveillent et lui parlent au cœur (enchanter et émouvoir) ? Ces œuvres intemporelles, celles qui survivent à leur époque et passent à la postérité véhiculent des idées ou idéaux universels, soulèvent des problèmes récurrents ou émeuvent d’une façon ou d’une autre les générations futures de lecteurs. Prenons les philosophes du XVIIIe, le siècle des Lumières ; le terme allemand « Erklärung »

sujet, je pense que tu peux étudier l'interet de la ficiton : sa "simplicité" apparente (structure de l'apologue assez simple, les personnes sont bien identifiées ["gentil/méchant"] donc le lecteur s'identifie aux persos, curiosité pour l'intrigue...)  , la capacité qu'elle a à toucher un public + large (le lecteur peut lire juste par l'interet de la fiction tout en lisant finalement les idées défendues par l'auteur), et le fait que l'argumentation soit atténuée (permet éviter cencure, l'argumentation

Théâtre sacré  tragédie (Tibre)  comme le théâtre sacré (Garmier) met en scène la Bible, d’Aubigné met en scène les guerres de religion  tragédie humaniste. D’Aubigné ‘‘donne à voir’’ au lecteur des tableaux qu’il anime. Œuvre de témoignage sur les horreurs de la guerre, il veut les rendre tangibles au lecteur. Mais c’est un mélange des registres (pathétique, lyrique, satirique, réaliste,…)  écriture baroque : violence des sentiments exprimés, inconstance de la destinée, fragilité, surabondance