Emphase

ces moments d'intense bonheur comme s'il s'agissait de quelque chose de concret, il s'adresse directement à ses souvenirs, certainement pour qu'ils reviennent plus facilement à lui. Les exclamations sont le signe d'un certainlyrisme, d'une certaine emphase proportionnelle à son désir de rattraper le temps qui se dilate, de revivre par l'écriture ce bonheur si précieux. Mais c'est un bonheur lié au passé, car pour Rousseau le présent est synonyme de malheur par ses carences et ses insuffisances ; il

dialogue qu’ils instaurent va rompre ce système binaire d’une manière d’autant plus brusque que les deux personnages réagissent de façon diamétralement opposée. Le personnage qui prend le premier la parole est celui qui va parler le plus et avec emphase. Il utilise une forte ponctuation avec des phrases interrogatives (vers 7, 8, 9 et 10) et des phrases exclamatives (vers 11, 12 et 13), une interjection (vers 11), ce qui renforce le caractère déclamatoire de son discours. C’est lui qui prend l’initiative

et "sonnet de Pétrarque" (l.2), et celui de la mort avec "spectre" et "frissonnant" (l. 2 & 3). Ils servent à accentuer la dualité du héros et explicitant les deux côtés de sa personnalité. Ensuite, Le héros, ligne 3, s'adresse à Dieu avec emphase : "Ô Dieu!", la phrase exclamative, et le "ô" lyrique montre bien le tragique de ses sentiments. Lorenzo est apeuré et perdu par la découverte qu'il vient de faire sur lui-même, il voudrait trouver des réponses, on le voit aux lignes 4 et 5, dans

poursuit. Cela nous informe sur les caractéristiques de cet apprentissage puisque nous apprenons qu'il s'agit d'une éducation en continue sur toute la journée, même pendant un moment de ''repos'' que peut être le souper. Pour cela, l'auteur fait une emphase avec la juxtaposition de « Pendent qu'on aprestoyt le soupper''(l1), ce qui insiste sur cette idée d'éducation sans interruption. L'éducation humaniste est donc fondée sur un bon emploi du temps, fondé sur le respect du rythme naturel de l’homme.

du portrait. Autre réplique: "Mon ami Serge que j'estime depuis longtemps" (l.51). Des valeurs essentielles: -"il aime l'art" (valeur pour Serge mais se moque de Marc)= ironique donc l'acteur doit le dire en appuyant, il fait trainer le mot en emphase ironique. Le petit sourire en coin. Il faut le dire de façon à montrer la moquerie. -Marc d'après Serge: "Un adepte du bon vieux temps" = quand il parle de Marc il est pas objectif, il se moque de Marc, c'est ironique. Le bon vieux temps est ironique

religieux inhumains (Acte II : quand ils jurent de tuer César, ils évoquent Dieu etc.). Il oppose sans nuance 2 camps. Brutus = inhumain, barbare, farouche, sauvage. Pas de doute sur qui est le héros de la pièce. c) La mort du genre tragique * Emphase mis sur les sentiments : les auteurs multiplient les scènes de reconnaissance, les intrigues parallèles pour transmettre des émotions, faire pleurer les spectateurs, les faire trembler. Voltaire a calqué la fin de Shakespeare : il fait venir sur scène

site :lewebpedagogique.com/dabecassis/ Chapitre 1 le 22 septembre 2011 EDUCATION NATIONAL Thème : rire pour quoi faire ? Problématique : onglet thème * Rien ne semble plus spontané que le rire. La mise en emphase du mot rien, appuie l’idée qu’il n’y aurait pas autre chose de plus spontané que le rire. Mais le verbe semblé atténue ce propos. Tout acte comique (verbal, gestuelle…) a été préalablement analysé par le cerveau. À bien y réfléchir le rire n’est pas totalement spontané

qualificatif « si timide » =>obsession : petit au milieu d’un univers citadin immense peur « Et l’angoisse » l.3 =>gradation, ça devient psychosomatique symptôme physique (maladie) rapidité + brusquerie + violence du phénomène : rupture typographique + emphase + inversion sujet verbe + métaphore en un bond de jaguar 8 =>c’est insupportable inscription dans cycle du temps : chronologie CCT adv d’abord 1+2 (3ème position) + GN Quinze jours l.9 => Progression du malaise, narrateur de plus en plus mal II. Eloge

ou avoir quelque chose à désirer est la condition du bonheur afin de supporter les souffrances de la vie. Donc, la fonction de la phrase exclamative est celle de souligner la véridicité, la sûreté de ce que Rousseau soutient et aussi pour donner emphase à ce thème ou pour attirer l'attention du lecteur. L'auteur veut convaincre l’interlocuteur de sa thèse. 2- Le temps qui domine dans le texte est le présent de l’indicatif. "Il perd [...] tout ce qu'il possède" (l.1) ; "On ne se figure point ce qu'on

singulier (il=chrétien) avec un rythme ternaire et est associée au futur : Diderot reprend la structure des 10 commandements de la Bible dans des phrases négatives. La négation permet en réalité de montrer que les chrétiens ont déjà agit avec violence. Emphase qui détruit la religion catholique en insistant sur tous les actes vils qu’elle a commis : registre ironique. Critique de la religion. - Critique de l’autorité de l’Eglise sur les esprits grâce à une hyperbole : « l’autorité la plus respectable qui