En Face Pierre Reverdy

siècles). La couleur prend son autonomie et se suffit à elle même. GAUGUIN la montre à Paris et l’ouvre finit par être achetée. Il repart en 1895 à Tahiti et y restera jusqu’à la fin de sa vie, et a racheté cette toile avant de partir. • Intimité, Pierre BONNARD, 1891. Art profane. Il se libère de la question du sujet. L’homme représenté est le compagnon de BONNARD, la femme sa sœur. La main tenant la pipe au premier plan est celle de BONNARD. Cadrage à la japonaise. Le motif est un élément visuel

et Idéal, Les |textes. | |Fleurs du Mal |Commentaire : Baudelaire, « Elévation », Spleen et Idéal, Les Fleurs du Mal | |- Reverdy, « La saveur du réel », Plupart du temps |Dissertation : La poésie est-elle une manière de fuir la réalité ou de s’en | |- Ponge, Proêmes |rapprocher ?

elle a fini sous la chaleur. L'eau se disperse donc en parties minuscules que les yeux ne peuvent voir d'aucune manière. Et puis, les retours du soleil multipliant les années, l'anneau au doigt s'amenuise d'être porté, la goutte d'eau creuse la pierre, le fer courbé de la charrue se ronge secrètement dans les champs, le pavé des routes, piétiné par la foule en présente l'usure et, devant les portes des villes, les statues de bronze montrent leur main droite amincie par le toucher fréquent

un mot d’un premier sens en un sens nouveau. D’ailleurs, par ce changement, par ce transport, le mot ne se trouve-t-il pas comme tourné d’un autre côté? N’offre-t-il pas, s’il faut le dire, un nouvel aspect, une nouvelle face? C’est ce nouvel aspect, cette nouvelle face que donne le Trope à un mot, qui a fait faire de trope le synonyme de figure.[...] 43 On distingue habituellement les tropes suivants: la métonymie, la synecdoque, l’antonomase, la comparaison, la métaphore, la catachrèse

in praesentia  : « Vous êtes un ciel d’automne clair et rose » (Baudelaire, « Causerie » in les Fleurs du mal ) Ou plus coulée« Dans le ruisseau, il y a une chanson qui coule » (Pierre Reverdy, « Surprise d’en haut ») Ou plus fulgurante quand le comparant ou le comparé ne sont pas explicitement présents ( métaphore in absentia ) : « Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,

Absurde, Univers : "Il faut plus de force et de talent pour conserver que pour acquérir." Jean Pucelle, Le temps. "Ce qui est nécessaire n'est jamais ridicule." Cardinal de Retz, Mémoires. "La vie est plus belle que la prudence." Abbé Pierre, Servir. "Il n'y a pas d'acte qui soit tout à fait gratuit ; même pas le don de soi-même." Emmanuel Bounzéki Dongala, Un fusil dans la main, un poème dans la poche. "Les choses n'ont pas de signification : elles ont une existence." Fernando

dans le recueil de poèmes L'Honneur des poètes. 1975: Édition posthume avec d'autres oeuvres de l'auteur dans le recueil Destinées arbitraires chez "Gallimard". 3) Nom et prénom de l'auteur Robert Desnos a écrit ce texte sous le pseudonyme de Pierre Andier. 4) Dates de naissance et de mort de l'auteur 4 juillet 1900 (Paris)- 8 juin 1945 (Terezin) 5) Biographie de l'auteur Enfance Robert Desnos est né le 4 juillet 1900 dans le XIème arrondissement à Paris. Il grandit dans un quartier

n'est pas question d'inclure ce vers primitif: J'avais un mirliton que je n'aurais pas échangé contre un bâton de maréchal de France Pour certains lecteurs cela pourrait dénoter un .manque de respect envers la hiérarchie militaire. Grâce à Pierre-Marcel Adéma nous connaissons le manuscrit de «Merveille de la guerre», poème daté décembre 1915, publié pour la première fois dans La Grande revue en novembre 1917 (6). Apollinaire imagine qu'une énorme bataille est un banquet de chair humaine que

d’opposition et de contrastes. Régnier (1573 – 1613) rend compte des contradictions qui divisent l’être humain, les ridicules qui l’affublent. Le baroque donne naissance à une poésie lyrique subtile et émouvante Qui exprime des sentiments personnels face à l’amour, à la nature, à la fuite du temps et à la mort. Cf. François de Malherbe (1555-1628), Théophile de Viau (1590-1626) Où les accents sont tour à tour joyeux et tristes, admiratifs et mélancoliques Cf. Saint-Amant (1594 ?-1661) et Tristan

III. Les règles de la bienséance devaient être aussi respectées afin de ne pas choquer le public. La vraisemblance était également de rigueur. Les thèmes tragiques sont souvent l’héroïsme, l’honneur et la vengeance, l’amour, la fatalité, l’homme face à son destin, etc. Le dénouement d’une tragédie est souvent malheureux (par exemple : la mort). « La principale règle est de plaire et de toucher. Toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première. » Racine, Bérénice, préface