Endorphine

contourner. Pour vaincre celle-ci il y a donc différents moyens : 1) Par l’humour : Il ne faut pas prendre sa peur au sérieux, il faut en rire, la tourner en dérision et chercher l’humour dans la situation car le rire relaxe et produit des endorphines (= hormones sécrétées par le cerveau en situation de stress). Exemple : Avoir peur d’un insecte  se dire qu’une petite bête n’en mange pas une grande. 2) Par thérapie : Il existe différents types de thérapies afin de contrôler sa peur

acétylcholinestérase (AChE) ; NADPH diaphorase (neurotransmetteur monoxyde d'azote ou oxyde nitrique NO) ; neuron-specific enolase (NSE, métabolisme énergétique) Protéine S-100 (cellules gliales), Glial Fibrillary Acid Protein (GFAP). Neuropeptides (VIP, endorphines, enképhalines, substance P, neuropeptide Y) ; neurohormones hypothalamiques : somatolibérine, gonadolibérine, thyréolibérine, corticolibérine, somatostatine). 03/04/2014 Année Universitaire 2013-2014 43 LE TISSU NERVEUX Quelques Définitions

risque de mettre en péril leur équilibre physique, psychique et social. Les endorphines
:
avec le temps l'organisme développe une tolérance à la PEA et ne procure plus les effets que l'on éprouvait au début de la relation, le cerveau commence à produire d'autres hormones : les endorphines. Ce sont des opiacés, semblable à la morphine, qui font diminuer l'amour-passion et se développe alors en amour-attachement. Ces endorphines apportent le calme, soulagent la douleur et réduisent l'anxiété. Le sentiment

un influx nerveux généré par ces récepteurs répartis dans le corps. La morphine bloque les influx nerveux véhiculant la douleur. Notre organisme utilise naturellement des substances similaires aux opiacés comme neurotransmetteurs. Il s'agit des endorphines, des enképhalines et de la dynorpine, que l'on désigne souvent sous l'appellation d'opioïdes endogènes. Ces molécules modulent les réactions aux stimuli douloureux, régulent les fonctions vitales comme la faim ou la soif, interviennent dans le contrôle

post-synaptiques médullaires. Son effet est durable du fait que contrairement aux enképhalines, la morphine n’est pas rapidement dégradée Notre organisme utilise naturellement des substances similaires aux opiacés comme neurotransmetteurs. Il s’agit des endorphines, des enképhalines et de la dynorpine, que l’on désigne souvent sous l’appellation d’opioïdes endogènes. Ces molécules modulent les réactions aux stimuli douloureux, régulent les fonctions vitales comme la faim ou la soif, interviennent dans le contrôle

récepteurs sont présents un peu partout dans le cerveau et une molécule endogène qui s’y lie naturellement, l’anandamide, a été identifiée. On est donc en présence du même cas de figure qu’avec les opiacés qui se lient directement sur les récepteurs aux endorphines, nos morphines naturelles. L’anandamide participe à la régulation de l’humeur, de la mémoire, de l’appétit, de la douleur, de la cognition et des émotions. Lorsqu’on introduit du cannabis dans l’organisme, son ingrédient actif, le Delta-9-tetrahydrocannabinol

nous apportent de plaisir et de la satisfaction et nous amène à réitérer ces expériences. Une autre fonction importante attribuée à la phényléthylamine  est son action coupe faim. Notons aussi que l’expérience gustative du chocolat produit des endorphines dans le corps, c’est à dire des neurotransmetteurs à effet anti-douleur et dont les récepteurs spécifiques sont aussi ceux de l’héroïne et de l’opium. Cette substance ainsi que la sérotonine, un neurotransmetteur présent également dans le chocolat

états maniaques La sérotonine (humeur, sommeil, appétit, douleur, impulsivité) faible taux-dépression La dopamine (apprentissage, mémoire, émotion, mouvement) taux élevé- schizophrénie, faible taux-Parkinson Le glutamate (mémoire à long terme) endorphine: bloque les influx nerveux dans les voies de la douleur ( aurait aussi un effet sur le désir sexuel, la mémoire, l’humeur et la pression artérielle) GABA: diminuent l’anxiété (lien entre taux anormal et les troubles de l’alimentation et du sommeil

foncions comme la régulation de la température, le sommeil, l'humeur, l'appétit et la douleur. La dépression, le suicide, les comportements impulsifs et l'agressivité impliqueraient tous certains déséquilibres de la sérotonine : Les endorphines sont responsable de sensations de bien etre L’anandamine a été annoncée par des chercheurs californiens comme étant une molécule chimique dans le chocolat qui pourrait expliquer pourquoi certains en deviennent dépendants car celle-ci imiteraient

la notion de productivité et dépasse les besoins primaires. Certes, le travail peut être gratifiant, mais il n'est en rien indispensable au bonheur. Ainsi, pour trouver le bonheur, notre cerveau dispose d'un trésor de bienfaits : sérotonine, endorphine, dopamine, ocytocine, noradrénaline. Travail ou non, ces hormones seront sécrétées à plusieurs reprises au cours de la journée. Antithèse : « Le travail est indispensable au bonheur de l’homme ; il l'élève, il le console, et peu importe la nature