Endorphine

n'est dit sur le rapport amoureux, sur la fusion, sur l'évolution vers un échange moins passionnel mais plus véritable. Certains d'entre nous sont des marathoniens de l'efficacité et de la performance. Comme ces athlètes, nous produisons des endorphines qui permettent de prolonger notre course, dopent notre dynamisme et masquent notre souffrance. A force de courir, nous ne savons plus pourquoi nous courons, vers quoi nous courons, qui court... nous-mêmes. Nous ne nous posons plus ces questions

physique, mais pour quel raison ? Tout d’abord voyons un peu le mode d’action de cette drogue sur notre système nerveux. Dans notre organisme il y a déjà des substances similaires aux opiacés (l’héroïne étant un dérivé de l’opium). Se sont des endorphines et de la dopamine. Ces molécules régulent la faim et la soif dans le contrôle de notre humeur, la réponse immunitaire etc … L’héroïne possède des substances qui vont se fixé sur les mêmes recepteurs que nos opioïdes endogènes. L’effet euphorisant

en se liant sur des récepteurs situés sur des neurones à GABA (un neuromédiateur inhibiteur) que la morphine augmente la libération de dopamine. Lorsqu'ils sont stimulés par la morphine, ces récepteurs, dont le rôle naturel est de recevoir des endorphines, bloquent la libération de GABA et activent donc les neurones à dopamine. Amphétamines Les amphétamines ou l'ecstasy augmentent brutalement la libération de dopamine, de noradrénaline et de sérotonine. Ces fortes libérations sont suivies d'un

sport réduirait les symptômes de dépression plus vite et plus intensément que lors de la prise d’antidépresseurs. En le pratiquant, notre cerveau fabrique des nouveaux neurotransmetteurs qui sont responsables de notre bonne humeur mais aussi des endorphines qui éliminent le stress, calmeraient les angoisses. sources: http://www.marique.com/thm/APS/bienfaits.htm http://www.fiteo.fr/blog/les-effets-du-sport-sur-le-cerveau http://www.tastout.ulg.ac.be/pages/comm37.htm

minute à perdre pour retrouver sa joie de vivre.. Antistress puissance 1000 Le rire nous secoue également les neurones. Dès les premiers spasmes, il déclenche la production de catécholamines, hormone antistress par excellence, et génère des endorphines cérébrales, chimiquement proches des opiacés comme l'héroïne ou la morphine. Aussitôt, les niveaux d'anxiété et de nervosité chutent. "Le rire facilite l'éveil de l'esprit et l'apprentissage, améliore la mémoire et développe la créativité", résume

reçoivent d’autres impulsions provenant d’autres neurones. On a les neurotransmetteurs. Ceux-ci sont les médiateurs chimiques qui permettent de transmettre fixant sur d’autres cellules. Par exemple, la dopamine qui contrôle la stimulation. Les endorphines, aident à réduire la douleur, aident à diminuer la nervosité puis donnent un sentiment de bien-être. Finalement, saviez-vous quelle est la différence entre le cerveau d’un homme et d’une femme? Voici les explications par rapport au sujet

spécifiques. Selon les substances, elles ont 3 modes d'action sur lea neuromédiateurs : - certaines imitent les neuromédiateurs naturels et donc se substituent à eux dans les récepteurs : la morphine, par exemple, s'installe dans les récepteurs à endorphine, et la nicotine, dans les récepteurs à acétylcholine, - certaines augmentent la sécrétion d'un neuromédiateur naturel : la cocaïne, par exemple, augmente la présence de dopamine dans la synapse, et l'ecstasy celle de la sérotonine et de la dopamine

ressentie par ces drogues est plus importantes, mais aussi plus éphémère. En effet, les stocks de neurotransmetteurs sont par la suite épuisés, c’est ce que l’on appelle la descente. Action des opiacés : Les opioïdes endogènes (enképhaline, endorphine) ont un effet analgésique. En effet, ces neurotransmetteurs sont relâchés lors de douleurs trop intenses et annulent le message douloureux. Les opiacés et notamment l’héroïne est transformée en morphine dans le cerveau à l’aide d’enzymes. De plus

phényléthylamine et aussi connu sous le diminutif PEA. Cette molécule déclanche des sensations d'allégresse, d'exaltation et d'euphorie. Le coup de foudre, c'est les neurones du système limbique qui sont saturés en PEA. La tendresse, c'est les endorphines, l'opium du couple. Frédéric Beigbeder décide d'être son propre personnage principale dans ce roman. Il raconte son histoire à travers Marc Marronnier, Au début du récit, Marc gagnait sa vie à aligner des mots dans des journaux et des agences

(substances chimiques qui effectuent la communication entre les cellules nerveuses) en perturbant leur fonctionnement : En prenant leur place dans les récepteurs, car leur structure est proche. Par exemple, la morphine se fixe sur les récepteurs à endorphines, la nicotine sur les récepteurs nicotiniques à l’acétylcholine. Au fil du temps, si l’usage de drogue est régulier, la production naturelle de neurotransmetteurs est diminuée en réaction à ces phénomènes, et la sensation de manque physique se fait