Endorphine

le font pas exprès, Eff’ - Mais il le font. » « Tu sais, l’amour c’est totalement surfait. Moi par exemple, j’ai jamais eu de copine et regarde comme je suis heureux, entre deux dépressions nerveuses mineures. Alors bien sur, la sérotonine, endorphine, le sexe etc. nous fait nous sentir bien, mais en réalité l’amour, est une illusion. Ça ne peut pas durer, c’est impossible. » « J’étais très bien comme j’étais, occupé à me détruire, et puis tu t’es pointée et tu m’as dis de me bouger, et pour

envahissent notre vie quotidienne. Le rire devient alors une distraction et entraîne en quelque sorte un certain degré d’anesthésie. Il diminue aussi les tensions musculaires qui sont à l’origine de la douleur et génère des catécholamines et des endorphines qui amènent un confort physiologique et psychologique. De plus, le rire est responsable de notre attitude envers la douleur et favorise le positivisme et l’optimisme qui amène une plus grande résistance à la douleur. C’est le cas avec l’association

clé dans le mécanisme de l’addiction. Pour mieux comprendre l’action de l’héroïne, il faut donc regarder du coté des synapses : Notre organisme utilise naturellement des substances similaires aux opiacés comme neurotransmetteurs. Il s’agit des endorphines, des enképhalines et de la dynorpine, que l’on désigne souvent sous l’appellation d’opioïdes endogènes. Ces molécules modulent les réactions aux stimuli douloureux, régulent les fonctions vitales comme la faim ou la soif, interviennent dans le contrôle

contrôle de la douleur : Sur son trajet, l’influx nerveux nociceptif est freiné par différents barrages qui bloquent la transmission du message. Ces barrages correspondent à la sécrétion de médiateurs chimiques qui sont des substances opioïdes ( endorphines = encéphale), enképhalines = moelle ). Elles ont un effet analgésique physiologique ( dépassé si la douleur est trop forte). Ces médiateurs agissent sur des récepteurs et entrainent une diminution de sécrétion de substance P. Douleurs :

flexion 2. Contrôle afférent. « gate control » Collatérales inhibitrices des fibres de la sensibilité discriminative 3. Contrôle efférent : système analgésique central Mise en jeu : Stimulation nociceptive intense Et Stress (analgésie du stress) Endorphines, enképhalines, Rétrocontrôle négatif au niveau spinal F. LA DOULEUR NEUROLOGIQUE Douleur pathologique: lésion du système nerveux. 1. Caractéristiques Absence totale de relation stimulus / douleur (hyperpathie) Douleur projetée dans un dermatome

de la souffrance à l’égotisme. * Grange passe de la « pesanteur » à la grâce1. Soulagé dans son corps, il peut à nouveau penser. Mais relevons qu’il ne s’agit pas de spiritualisation. Tout se passe en effet comme si la terre diffusait des endorphines. Gracq s’inspire peut-être de ces histoires de sangliers blessés qui vont chercher dans les boues argileuses la guérison de leurs plaies. L’expérience mystique reste incarnée. En tout cas, le regard est libéré, il peut planer. Le temps s’est ralenti

de moins d'hormone ; le sujet est capable d'épargner les glucides au profit des lipides ; au repos après l'effort on a aussi besoin de moins d’insuline pour éliminer l'excès de glucose dans le sang ; pour le glucagon c’est la même chose. III endorphines On les appelle aussi morphine endogène, de la classe des opioïdes, ce sont des substances antalgiques, le problème c’est qu’on s’y habitue donc il en faut toujours plus pour avoir le même effet ; avant on n'avait pas de morphine donc on donnait

moral et physique. Des études ont montrés que la thérapie par le rire pouvait avoir de nombreux effets positifs sur la santé. Cela nous permet également, de mieux aborder des situations de stress et de douleurs car le rire permet de libérer des endorphines. En plus des bienfaits de la thérapie par le rire sur notre santé, il est certain que le rire est idéal pour dénouer des situations sociales tendues, dissiper la gêne, créer des liens d’amitié…
L’humour nous fait prendre du recul, accepter les

exercice musculaire qui implique tout l’organisme : cerveau, poumons et système cardio-vasculaire. Il purifie l’organisme par l’élimination des anhydres carboniques et améliore les fonctions intestinales et hépatiques grâce à sa production de bêta-endorphines. Les effets sont donc positifs biologiquement et psychologiquement. La comico-thérapie prend aussi sa place dans une dynamique d’humanisation de l’hôpital. « Sourire », « dialogue » et « confiance » font partie d’un nouveau lexique thérapeutique

identifiée comme la molécule du plaisir, n’est actuellement plus définie comme la seule en jeu, mais sa libération au niveau du noyau donne à un aliment sa composantes désirable ou aversive. La sérotonine et les opiacés endogènes (enképhalines et endorphines) sont également impliqués. La sérotonine, sécrétée au niveau du noyau accumbens et synthétisée à partir de tryptophane, est à l’origine de la satiété. L’ingestion de glucides provoque l’augmentation de tryptophane, augmentant la synthèse de la sérotonine