Endymion

dénomme le complexe d’Actéon. Mais ce n’est pas pour autant qu’il en meurt le savant ! La connaissance serait une chasse : connaître c’est manger des yeux.[xxxi] Si Diane nue n’a pas supporté d'être découverte, elle supporte très bien de découvrir Endymion et de s'extasier devant son corps d'adolescent endormi. Elle le trouve d'une beauté divine. Qu'importe alors ses serments anciens, son désir de garder son libre arbitre, de refuser tout mari, de circuler à sa fantaisie à travers monts et forêts,

trop, rattrapée par un quotidien inévitable : la chambre n’est pas rangée. Remettre de l’ordre ? Non. Je préfère m’installer à mon bureau et commencer à écrire… écrire jusqu’à ce que la nuit revienne me voir, embrasser mes cils comme si fussè-je Endymion le berger ; me couvrir de sa cape sombre et chaude, me transformer en morceau de lune. *********** Je ne peux rien dire d’autre que ce cadeau de ma tante anglaise est « d’un goût anglais ». Je n’arriverai pas

de l’école et le mettent en apprentissage mais il va le quitter pour la médecine puis pour l’écriture. Il contracte la tuberculose et meurt à Rome. L’épanchement lyrique est aussi profondément inspiré par l’antiquité grecque, on le retrouve dans « Endymion » ou « Hyperion ». Ses odes sont pétries d’une aspiration à un état hors du temps, qui est parfois explicitement appelé mort. Mary Shelley est la femme de PB. Elle a écrit « Frankenstein » qui est un exemple de roman gothique et aussi une œuvre

Shelley : interprétation intime de convictions politiques radicales et de l’activité poétique. Essai : Defence of Poetry ; drame lyrique : Prometheus Unbound, The Cency ; poèmes : Ode au vent d’Ouest. * John Keats : inspiré par l’antiquité grecque. Endymion, Hyperion Les auteurs en prose : * Mary Godwin-Shelley : Frankenstein ou le Prométhée moderne = exemple de roman gothique. Montre l’impuissance de la puissance et la complexié de l’âme humaine. Le lieu est inspiré par les explorations de l’époque

rêvant dans sa pâleur dorée Que tache le flot lourd de ses longs cheveux bleus, Dans la clairière sombre où la mousse s'étoile, La Dryade regarde au ciel silencieux... - La blanche Séléné laisse flotter son voile, Craintive, sur les pieds du bel Endymion, Et lui jette un baiser dans un pâle rayon... - La Source pleure au loin dans une longue extase... C'est la Nymphe qui rêve, un coude sur son vase, Au beau jeune homme blanc que son onde a pressé. - Une brise d'amour dans la nuit a passé, Et

et rêvant dans sa pâleur dorée Que tache le flot lourd de ses longs cheveux bleus, Dans la clairière sombre où la mousse s'étoile, La Dryade regarde au ciel silencieux… - La blanche Séléné laisse flotter son voile, Craintive, sur les pieds du bel Endymion, Et lui jette un baiser dans un pâle rayon… - La Source pleure au loin dans une longue extase… C'est la Nymphe qui rêve, un coude sur son vase, Au beau jeune homme blanc que son onde a pressé. - Une brise d'amour dans la nuit a passé, Et, dans les

rêvant dans sa pâleur dorée Que tache le flot lourd de ses longs cheveux bleus, Dans la clairière sombre où la mousse s'étoile, La Dryade regarde au ciel silencieux... - La blanche Séléné laisse flotter son voile, Craintive, sur les pieds du bel Endymion, Et lui jette un baiser dans un pâle rayon... - La Source pleure au loin dans une longue extase... C'est la Nymphe qui rêve, un coude sur son vase, Au beau jeune homme blanc que son onde a pressé. - Une brise d'amour dans la nuit a passé, Et, dans

L'adaptation des moyens à la fin et au résultat produit manqua en effet aux romantiques qui écrivirent avec une belle audace Les Fiancés en Italie, La Messiade, Wilhelm Meister ou l'Hesperus de Jean-Paul en Allemagne, Le Prélude, La Révolte de l'Islam et Endymion en Angleterre, La Chute d'un ange et La Légende des siècles. La méchante ironie de Valéry à l'égard de l'héritier malgré lui du romantisme, Claudel, aurait été vraie de bien des romanciers et des rhapsodes de 1800-1850 : « Il met en œuvre une grue

rêvant dans sa pâleur dorée Que tache le flot lourd de ses longs cheveux bleus, Dans la clairière sombre où la mousse s'étoile, La Dryade regarde au ciel silencieux... - La blanche Séléné laisse flotter son voile, Craintive, sur les pieds du bel Endymion, Et lui jette un baiser dans un pâle rayon... - La Source pleure au loin dans une longue extase... C'est la Nymphe qui rêve, un coude sur son vase, Au beau jeune homme blanc que son onde a pressé. - Une brise d'amour dans la nuit a passé, Et, dans

rêvant dans sa pâleur dorée Que tache le flot lourd de ses longs cheveux bleus, Dans la clairière sombre où la mousse s'étoile, La Dryade regarde au ciel silencieux... —La blanche Séléné laisse flotter son voile, Craintive, sur les pieds du bel Endymion, Et lui jette un baiser dans un pâle rayon... —La Source pleure au loin dans une longue extase... C'est la Nymphe qui rêve, un coude sur son vase, Au beau jeune homme blanc que son onde a pressé. —Une brise d'amour dans la nuit a passé, Et