Énergie potentielle électrostatique

actuelle du tableau périodique : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Périodicité et propriétés générales des éléments de la classification périodique 5.1 Comportement chimique et position dans la C-P : . . . . . . . . . . . . . 5.2 Potentiel d’ionisation (énergie d’ionisation) : . . . . . . . . . . . . . . . 5.2.1 Définition : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.2.2 Evolution de l’énergie d’ionisation dans le T.P : . . . . . . . . . 5.2.3 l’affinité électronique : . . . .

base Rappels de mécanique b) Dynamique des Solides: lois ENERGIE CINETIQUE: associée au mouvement théorème de l ’énergie cinétique Le travail effectué par les forces appliquées à un système matériel est égal à la variation de l ’Energie Cinétique entre les deux instants (si absence de frottements) ENERGIE POTENTIELLE: liée à la position dans un champ de forces Exemples: -énergie potentielle électrique DEp = q . DV -énergie potentielle de pesanteur: DEp = m g Dh A. Notions de base 2. Statique

CHAPITRE 1 1.1. ´ Electrostatique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Lois de Coulomb et de Gauss . . . . . . . . . . . . 1. Charge ´lectrique . . . . . . . . . . . . . . . . e 2. Loi de Coulomb . . . . . . . . . . . . . . . . . 3. Loi de Gauss . . . . . . . . . . . . . . . . . . Potentiel ´lectrique . . . . . . . . . . . . . . . . e 1. D´finition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e ´ 2. Energie potentielle d’une charge dans un champ . . . ´ 3. Energie potentielle d’une distribution

il existe une probabilité que le noyau percuté se scinde en deux noyaux plus légers. Cette réaction, qui porte le nom de fission nucléaire, se traduit par un dégagement d’énergie très important (de l’ordre de 200 MeV par événement, à comparer aux énergies des réactions chimiques, de l’ordre de l’eV). Cette fission s’accompagne de l’émission de plusieurs neutrons qui, dans certaines conditions, percutent d’autres noyaux et provoquent ainsi une réaction en chaîne. Dans un réacteur nucléaire, cette

Au point qu’on est conduit, pour ´etudier cet ´etat en physique 1, `a mod´eliser les gaz r´eels par un gaz imaginaire appel´e gaz parfait pour lequel il n’y a aucune interaction entre les mol´ecules. L’´energie potentielle d’interaction d’un gaz parfait est donc nulle : ℰ ≡ 0. L’´energie interne d’un gaz parfait est donc purement cin´etique (les mol´ecules ont un mouvement microscopique d´esordonn´e incessant) : = ℰ , + ℰ, = 0 + Σ =1 < > Et si le gaz parfait est monoatomique (), avec

physique naturel au cours duquel des noyaux atomiques instables se transforment spontanément (« désintégration ») en des noyaux atomiques plus stables convertissant une partie de leur masse en énergie, selon la célèbre formule E=mc2 d'après Albert Einstein. Un corps radioactif dégage naturellement cette énergie produisant un flux décroissant de chaleur. Cette chaleur est particulièrement intense pour le combustible nucléaire irradié en sortie de réacteur. C’est la raison pour laquelle le combustible

quotient Homomorphisme d’anneaux Anneaux principaux Idéal premier et Idéal maximal Anneaux des polynômes à un seul indéterminé Mathématiques 2 ANNEAUX DERIVATIONS 23 Module Elément du module Chapitre Grands titres Électrostatique dipôles actifs et dipôles passifs Association de générateurs Lois de Kirchhoff Théorème de Millman Théorème de Thevenin Théorème de Norton Théorème de superposition Régime sinusoïdal forcé Méthode algébrique de la détermination de la solution

liaisons chimiques ou interaction moléculaires * Liaison covalentes * Interaction électrostatiques * Interaction de Vander Waals * Liaison hydrogène * Effets hydrophobes * Eau : H2O * Alcool (éthanol) : C2H5OH * Caféine : C8H10N402 * Morphine : C17H19NO3 * Caractérisée par la force de cohésion, ou énergie qu’il faudrait apporter pour la casser * L’énergie potentielle de liaison (EP) * Résultante entre attraction et répulsion selon la distance inter atome

la thermodynamique. En électricité, si on place une tension aux bornes d'un conducteur, il advient un courant. La dissipation d'énergie se manifeste par un échauffement et une chute de potentiel le long du conducteur ; il y a conversion d'énergie électrostatique (contenue dans le générateur par exemple) en énergie thermique (échauffement par effet Joules). Lorsqu'on branche un conducteur à une tension donnée, il résulte un courant, dont l'intensité dépend de la résistance du conducteur à son

la thermodynamique. En électricité, si on place une tension aux bornes d'un conducteur, il advient un courant. La dissipation d'énergie se manifeste par un échauffement et une chute de potentiel le long du conducteur ; il y a conversion d'énergie électrostatique (contenue dans le générateur par exemple) en énergie thermique (échauffement par effet Joules). Lorsqu'on branche un conducteur à une tension donnée, il résulte un courant, dont l'intensité dépend de la résistance du conducteur à son passage