Enfant sauvage

15e au 18e siècle, ont permis aux Européens de déceler l'existence de sociétés humaines considérées comme sauvages, car les critères de civilisation de ceux qui les observaient étaient différents. Dans les relations des voyageurs ou les descriptions des missionnaires (ethnographes par nécessité) apparaissent des oppositions entre les vertus naturelles, la simplicité de ces prétendus sauvages et la corruption liée à la civilisation européenne. Les comportements de ces populations sont mythifiés parce

I/ La mise en place du mythe du bon sauvage 1) Un éloge de la vie sauvage + Champs lexical de l’honneur jalonne le texte (victoire, vertu, conquêtes, courage…) + Ce peuple vie en harmonie avec la nature Verbes jouir : idée de bonheur, plaisir au sein de cette nature) + La nature s’offre d’elle-même personnification + Cette description revient a l’âge d’or : parallèle avec le Jardin D’Eden + Répétition encore (l.5-6) : crée un

contre les préjugés Une ironie discrète (ligne 4, 5, 6) qui renverse la notion habituelle de la barbarie. La notion de sauvage et de civilisé est inversée (ligne 7 à 10). Montaigne donne sa définition du mot sauvage. Dans la seconde partie du second paragraphe (ligne 23-24), par exemple, les sauvages font preuve de bon sens. B) Naturalisme (un peu naïf) Éloge du « bon sauvage ». ligne 13 : « ignorant » à prendre avec ironie. Ligne 7 à 12 : éloge du naturalisme selon Montaigne. « natura naturans »

« L’idéologie du Bon sauvage » Voyage autour du monde (Bougainville) Supplément au voyage de Bougainville (Diderot) Le mariage de Loti (Loti) L’Evadé (Rochefort) L’homme sauvage est tout simplement celui qui vit dans la forêt grâce aux merveilles que lui offre la nature. Hors, ils ne sont pas forcément des espèces de la forêt mais plutôt des espèces d’ « état de nature ». Ils sont perçus de manière très distincte car ils sont de caractère féroce, insouciants et oisifs, libres et égaux, paisibles

culturel (personne n'a le même pt de vue) pas de jugement Le 2nd évoque le comportement des Conquistadores . Impression de fouilliez de textes bigarrés, pas d'unité spéciale . L'écriture riflette ses idées . Les Amérindiens sont décrits comme un peuple enfant se n'est pas manque de maturité c'est plutôt une civilisation qui commence par rapporte à celle sur son déclin qui termine. Analyse du texte : Un essais classés par l'argumentation directe critique ouvertement les gens 2 paragraphes mettant en

aucune connaissance réflexive de soi, et de langage articulé. Placé en hospice, Victor de l’Aveyron dît l’enfant «  sauvage » interroge et suscite des curiosités. Ainsi celui-ci devint malgré lui, un sujet d’observation. En effet la représentation de cet enfant « différent » met en avant plusieurs questionnements : la dualité nature /culture, innée acquis, la conception du « sauvage » et sous tend plus généralement la problématique de la différence entre l’homme et l’animal : QU’EST-CE QUI FAIT DE

jésuites l’a dénoncé. Dans la cellule il va trouver un janséniste et il va sympathiser avec Gordon, le janséniste. Ceci va lui permettre de devenir un vrai philosophe. Problématique : comment se développe dans ce passage l’esprit de l’ingénu ? Bon sauvage qui permet une vigoureuse critique du système politico-religieux de la France. Plan: Il s’agira de voir dans un premier temps comment ces deux ennemies deviennent des amis, et comment ils se placent sur la voie de la philosophie et comment s’effectue

écrivain, philosophe, moraliste et homme politique français de la Renaissance. Les Essais sont l'oeuvre principale de l'auteur, ils traitent tous les sujets auxquels il mêle des réflexions sur sa propre vie et sur l'Homme. Le début du mythe du « bon sauvage » lui est aussi souvent attribué, même si ses fondations sont antérieures. Dans les essais étudiés, Montaigne prend position en faveur des peuples autochtones qui vivent tranquillement dans la nature et contre les Européens qui ne pensent qu'à s'enrichir

F FICHE FILM L'Enfant sauvage de François Truffaut Fiche technique France - 1969 - 1h30 Réalisateur : François Truffaut Scénario, adaptation et dialogue : François Truffaut et Jean Gruault d’après “Mémoire et rapport sur Victor de l’Aveyron” par : Jean Itard Image : Nestor Almendros Montage : Agnès Guillemot Décors : Jean Mandaroux Musique : Antonio Vivaldi Interprètes : Jean-Pierre Cargol (Victor) François Truffaut (Dr. Itard) Françoise Seigner (Mme Guérin) Jean Dasté (Philippe Pinel) Claude

déclic de Truffaut envers l'enfant sauvage 2. L'histoire de Victor et Itard, une réalité proche du mythe 1. L'histoire du film 1. Les étapes de la réalisation 2. Un film riche de sens En 1959, dans Les 400 Coups, François Truffaut peint la vie d’un enfant espiègle en quête de liberté dans le Paris de l’Occupation. Ce gamin en manque d’attention obéit à ses propres règles dans la ville, c’est en cela qu’il ressemble aux enfants sauvages qui font de même dans la nature