Enfer

le héros est puni, va directement en enfer. L’enfer est traduit à travers les répliques « un feu invisible me brûle » ect. Molière donne une vision traditionnelle de l’enfer où sont tourmenté et brûlé les méchants « feu, brasier ardent ». Enfer = à travers didascalies = très parlante : elle reprend le thème du feu. Cette mort s’accompagne de fracas « tonnerre » illustre la colère du Ciel et l’engloutissement du héros, traduit concrètement son passage en enfer. A ce titre le dénouement est clair,

anagogique[1] de l’œuvre de Dante dévoile des significations souveraines, des voies de la gloire éternelle, en forte résonance avec les attentes contemporaines en termes de spiritualité. Il exprime « la doctrine qui se cache sous le voile des vers étranges » (Enfer chp 9). Ce chemin initiatique vers la sagesse, par l’initiation intérieure, est approché aujourd'hui de manière holistique - la tradition est une dans sa diversité - avec diverses clefs puisées dans les traditions de la Bible, de la mythologie, des

un démon, un Turc, un hérétique, qui ne croit ni Ciel, ni Enfer, ni loup-garou, qui passe cette vie en véritable bête brute, un pourceau d’Epicure, un vrai Sardanapale ». Effet d’accumulation : caricature. D.J est décrit comme un animal, une bête : Chien, enragé, Bête brute. - « Turc » : Barbare non chrétien - « Diable » : Créature de l’enfer - « hérétique » : jugé contraire au doctrine religieuse - « ne croit ni au ciel, ni enfer » : Athéisme « Un mariage ne lui coûte rien à contracter

gravité de l’esprit de son maître en le comparant avec des termes de plus en plus explicites : << Dom Juan, mon maître, le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté, un enragé, un chien, un diable, un Turc, un hérétique, qui ne croit ni Ciel, ni Enfer, ni loup-garou, qui passe cette vie en véritable bête brute, en pourceau d'Épicure, en vrai Sardanapale >> (Lignes 19 à 23). À l’aide d’une gradation du champ lexical de la débauche, Sganarelle utilise le plus de mot possible pour décrire et augmenter

l'industrialisation. Champ lexical de la monstruosité : « monstre », « hideux », « enfer », « sombre »… &gt; Métaphore filée : les dents sont des rouages qui écrasent et tranchent, qui dévorent les enfants. Cela peut se rapporter au dieu du temps, Chronos, qui, dans la mythologie grecque représente justement cette dimension destructrice du temps qui englouti sa propre progéniture. &gt; Antithèses « Innocents »/ « bagne » ; « anges »/ « enfer » soulignent l'incompatibilité entre les enfants et la civilisation industrielle

dans la doctrine chrétienne. Le Jugement Dernier devait définir la destinée, si l’âme allait au Paradis ou en Enfer. Après le jugement dernier il y aurait donc deux groupes d’hommes : les élus et les damnés. Leur sort sera essentiellement déterminé par leur conduite pendant leur vie : la foi et les bonnes œuvres décideront du salut, et l’impiété et les péchés criminels conduiront en enfer. • Après l’apparition du purgatoire on assiste à un changement : Désormais, ceux qui sont tout à fait

(mars ou avril), cet « enfant gêneur » regagna les Ardennes pour permettre à Verlaine de se réconcilier avec sa femme. Il pratiqua alors sa méthode de voyance et cultiva les hallucinations comme il l’a rapporté dans le chapitre d’’’Une saison en enfer’ ’intitulé ‘’Alchimie du verbe’’ où il raconta « l’histoire d’une de [s]es folies », citant à l’appui un certain nombre de ses poèmes. Il s’entraînait à « l’hallucination simple » et à « l’hallucination des mots » (favorisant peut-être l’une et l’autre

« Le tonnerre tombe avec une grand bruit et de grands éclairs sur Dom Juan ; la terre s'ouvre et l'abîme ; et il sort de grands feux de l'endroit où il est tombé. » (Actes V, scène 6, page 129 ) La Statue vient chercher Dom Juan pour l'emmener en enfer. Pour conclure, le surnaturel est survenu dans l'histoire pour convaincre Dom Juan de se repentir, de le convaincre par ces preuves que Dieu existe. Ils symbolisent la parole de Dieu, la demande de Dieu de se repentir, mais les avertissements du

autobiographique. Mais il est l’inverse de la pierre philosophale car il fait du « fer » à partir de « l’or » = il détruit, par son regard et sa poésie la beauté des choses et il les rend laides. Antithèse « paradis » / « enfer » montre la chute du poète et annonce sa descente au enfer dans le recueil. Ici, présent est quasiment de vérité général et montre l’inexorabilité de sa malédiction. Il compare les nuages à un drap mortuaire grâce à la métaphore « suaire » (synonyme de linceul) et enjambement

(mars ou avril), cet « enfant gêneur » regagna les Ardennes pour permettre à Verlaine de se réconcilier avec sa femme. Il pratiqua alors sa méthode de voyance et cultiva les hallucinations comme il l’a rapporté dans le chapitre d’’’Une saison en enfer’ ’intitulé ‘’Alchimie du verbe’’ où il raconta « l’histoire d’une de [s]es folies », citant à l’appui un certain nombre de ses poèmes. Il s’entraînait à « l’hallucination simple » et à « l’hallucination des mots » (favorisant peut-être l’une et l’autre