Engrais vert

Van Wesfalia Camion Bétaillère 1994 1996 1996 1997 10 T Godimat 2 places Renault, 7 places Lamber Matériel de fenaison : Faucheuse Faneuse 1997 1996 Krône 7 assiettes Fella 6 toupies (6,8m) Entretien des prairies : Semoir à engrais Tonne à lisier Pulvérisateur 1995 1993 Sulky centrifuge 1 200 kg 61 500, 6 000L Rau 800 L 12 m Travail du sol : Charrue 2000 Charrue Grégoire & Besson 4 cors Matériel d’élevage : Desileuse/ pailleuse Chargeur Télescopique 1997

et contrôlée par des labels, passe en particulier par une alimentation des animaux 100 % bio. L'élevage biologique repose sur les mêmes bases que l'agriculture biologique en général. Les éleveurs bio s'engagent à n'utiliser ni pesticides, ni engrais chimiques, ni OGM. L'élevage bio a pour principe d'assurer le bien-être des animaux et de respecter leur cycle de vie ainsi que l'équilibre entre les sols, les cultures et les animaux. Par exemple, les animaux doivent avoir un espace suffisant

sources qui déversent très clairement des polluants dans les sources d’eaux. Les sources non-précises sont plus difficiles à trouver car ont ne peut pas les retracées jusqu'à un emplacement particulier. Elles incluent les écoulements de sédiments, engrais, produits chimiques, déchets d’animaux de ferme, champs, chantiers et mines. L’enfouissement des déchets peut aussi être une source non-précise si les substances du site filtrent les déchets dans des provisions d’eaux. Le ministère de l’environnement

tendance à stagner en raison d'importations bon marché qui concurrençaient les agriculteurs locaux. Les récoltent catastrophiques de 1964 et 1965 incitèrent le gouvernement à viser l'autonomie alimentaire : des variétés améliorées, conjuguées aux engrais chimiques et à l'irrigation par puits, permettent d'augmenter rapidement la production. Afin d'encourager la révolution verte, l'État achète les productions et revend les stocks à prix subventionnés. Document 3 : Labour à l'Araire, campagnes

Terre (hausse de 22% des émission de gaz à effet de serre dans les transports depuis 1995). Le Bioéthanol serai, en apparence, une solution pour demain.. De plus, la fabrication de bioéthanol génère des co-produits tels que de l'électricité, des engrais naturels ou encore des drèches et des pulpes destinés à l'élevage (nourriture animalière). 2 une filiere economique , la quesrtion de lindépendance energétique Le bioéthanol a aussi un effet économique. Ainsi, son prix reste toujours au moins

hommes tout en préservant l'environnement 1-Un environnement dégradé par les techniques agricoles Les systèmes agricoles intensifs ou extensifs ont provoqué des dégradations dans les milieux. Les dégat du système intensifs : En utilisant des engrais chimiques et des pesticides ont pollués le sol et les eaux souterraines. Le système extensif a provoqué une érosion des sols a cause de la destruction de la végétation. Cest pratiques agricoles menacent la capacité nourricière de la Terre 2-

intensive se retrouvent donc dépourvus de toute vie. Contrairement à l’agriculture intensive, l’agriculture biologique se sert de ces êtres vivants présents dans les sols pour faire pousser les plantes. Elle utilise le compost ou le fumier comme engrais qui seront absorbés par le sol puis consommés par les êtres vivants présents dans la matière organique qui rejetteront les éléments nécessaire au développement de la plante. Dans l’agriculture intensive, l’utilisation des machines est omniprésente

« bio » c’est quoi ? Définition L’agriculture biologique d’où vient en abrégé « bio » est un mode de culture basé sur l’observation et le respect des lois de la vie, qui consiste à nourrir non pas directement des plantes avec des engrais solubles, mais les êtres vivants du sol qui élaborent et fournissent aux plantes tous les éléments dont elles ont besoin. D’un point de vue législatif, l’agriculture biologique c’est un mode de culture réglementé, comprenant des pratiques autorisées

18 rue de la patate mole 24 avenue de nul part 59990 Lepotager 59990 Lepotager Cher Monsieur du pré, Je me vois dans l'obligation de vous informer que vous êtes en possession de cultures de pommes de terre et que vous utilisez comme engrais 175 kg/ ha d'azote afin d'augmenter de façon significative le rendement de vôtre exploitation. Or un apport aussi important d'engrais n'est pas le plus adapté au vue des analyses et des études scientifiques réalisées par le Ministère chargé de la

(Paraquat, Glyphosate, Simazine etc...). En terrain léger, apporter 20 T/ha/an de fumier de ferme bien décomposé ou 60 T/ha tous les 3 à 4 ans en terrain lourd. Si les ressources hydriques sont disponibles, on peut, au lieu du fumier, cultiver des engrais verts suivant la rotation suivante: Féverole, Moutarde, Vesce-seigle, Radis chinois ou Clovis, Ray-grass. Apporter au fond la fumure minérale suivante: 400 kg de P205, 400 kg de K20, soit 0,8 T de sulfate de potasse. En raison du danger d'acidification