Enragés

Acte I Scène 1 1) Confrontez le portrait de Don Juan tracé par Sganarelle dans la scène 1 à la réalité. Sganarelle commence à présenter Don Juan par une énumération peu élogieuse, « Le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté, un enragé, un chien, un démon, un Turc, un hérétique, qui ne croit ni Ciel, ni Enfer, ni loup-garou, qui passe cette vie en véritable bête brute, un pourceau d’Epicure, un vrai Sardanapale ». C’est après cette présentation que Sganarelle commence à dresser

Sujet divisé : Libertinage de pensée et libertinage de mœurs. Développement : Idée principale 1 : Libertinage de pensée Idée secondaire 1 : Dom Juan est détesté de Sganarelle et des autres à cause de sa façon d’agir. Preuve 1 : «Scélérat», «enragé», «chien», «Diable», «Turc», «un hérétique», «bête brute», «pourceau d’Épicure», «vrai Sardanapale» Explication 1 : Champ lexical des mots utilisés par Sganarelle pour décrire Dom Juan comme étant un libertin. Preuve 2 : «…la crainte en moi fait

tout est permis, l'anarchie permet le liberté de l'individu, on insulte les présentateurs TV, on explose les photographes à coup de basse, on lance des briques sur les voitures,... les punks, ce sont des gens dingues (souvent débiles), défoncés, enragés, désespérés mais qui s'amusent avant toute chose (surtout sur la scène). Chaussures croquée, parce qu'au moins on les abimera pas plus pour répondre aux coups de battes. Foulard pour respirer dans les lacrymogènes. Tête rasée, comme ca, on les attrapera

expériences, il conclut que la maladie se situe dans le système nerveux. Il finit par obtenir, une forme affaiblie du virus, et malgré le succès sur l’animal, il redoute de l’utiliser sur l’homme. Mais lorsqu’un jeune alsacien mordu par un chien enragé frappe à la porte de son laboratoire, Pasteur prend le risque et l’enfant est sauvé.De ce succès phénoménale naîtra l’institut Pasteur, inauguré en 1888 et dédié aux recherches contre la rage et autres maladies. Parmi tous les services qu’il a rendu

a d’ailleurs succombé à ces vices de la ville : ‘’ C’était la première fois que le jeune Provençal buvait de l’alcool. […] Soudain il pensa à l’argent du marché, à l’intérieur de son veston. […] Éparpillant les billets de banque, il cria, comme un enrage: La traite! La traite pour tout le monde dans l’hôtel!’’ s’exclama Joinville à la page 179. On comprend très bien ici la mauvaise influence qu’à la ville puisque le jeune Provençal a dépensé en alcool tout l’argent durement gagné du marché, lui qui

pas à son 1er coup d’essai, même si cette scène est placée en situation initiale pour créer un effet saisissant, elle répète une burla qui avait valu l’exil au burlador (à chercher). Cette burla trouvera ses échos dans la pièce, car Don Juan est un enragé, plus qu’un boulimique, toujours il recommence. En effet, après Isabella, Dona Ana, Tisbea et Aminta seront également ses victimes. Autre exemple, qui montre que Don Juan n’a pas de limite, lorsqu’il trompe son ami le marquis de Mota, en abusant

1. Catharisme Sganarelle, le Val péremptoire et, Dans la première scène, décrit dom Juan, comme un pèlerin, un homme fin, adroit et dissimulé. maitre, Dom Juan est plus grand scélérat que la terre n’ait jamais porté, un enragé, un chien, un diable, un turc, un hérétique, qui ne croit ni Ciel, ni saint, ni Dieu, ni loup-garou, qui passe cette vie en véritable bête brute, en pourceau d’Épicure, en vrai Sardanapale, qui ferme l’oreille à toutes les remontrances chrétiennes que l’on peut lui faire et

personne qui a tué l’ancien roi Laïos. Le roi actuel est déterminé à retrouver le coupable. Durant le déroulement, il interroge Créon et le devin Tirésias, et tout semble vouloir dire qu’Œdipe est lui-même le tueur de Laïos : (Tirésias à Œdipe). Enragé et angoissé par ces accusation, il raconte son enfance et son passé à Jocaste, sa femme. Il avait tué un groupe de serviteurs mené par un homme en chariot. Il craint que l’homme soit Laïos. Œdipe pensait qu’il était le fils de Mérope et de Polybe

son voisin un canotier. Extrait 1: Je fis, au bout de quelques jours, la connaissance d'un de mes voisins, un homme de trente à quarante ans, qui était bien le type le plus curieux que j'eusse jamais vu. C'était un vieux canotier, mais un canotier enragé, toujours près de l'eau, toujours sur l'eau, toujours dans l'eau. Un soir, je lui demandai de me raconter quelques anecdotes de sa vie nautique. Voilà immédiatement mon bonhomme qui s'anime, se transfigure, devient éloquent, presque poète. Il avait

contraste pour une meilleure révélation des caractères + dimension comique + facination de Sg pour DJ. 1)Un serviteur crédule : -sa croyance dégénère en superstition : « couroux du ciel » -accumule sans discernement les ennemis du christianisme : « enragé » ; « chien » ; « diable » ; « turc » ; « hérétique »(opposé aux dogmes). 2)Un poltron -contraste de son comportement avec celui de son maitre , se vante de sa complicité avec celui-ci : « moi ». -il jouit de l’impression qu’il fait sur Gusman : « Tu