Enragés

à montrer que, en l’absence de libre-arbitre, tous les délinquants sont excusables. Puisqu’il faut protéger le corps social du danger qu’ils incarnent, on les mettra hors d’état de nuire sans les accabler moralement, comme on le fait avec un chien enragé. Les sanctions, selon Spinoza sont nécessaires socialement mais n’ont pas d’utilité morale. Déterminisme remet donc bien en cause l’existence d’une sphère proprement morale. Dans la sanction sociale et non pas morale, les hommes sont traités comme

l'ateisme : accumulation de relative ligne 58 59 60 champs lexical de la religion « ni ciel » « ni enfer » « ni loup garou » longueur de la phrase ligne 56 qui renforce la force de l'énumération emploi d'un terme dépréciatif « un enragé , un chien , un diable » Transition :le portrait de don juan est un blâme , il s'agit de la dénonciation de son comportement et de sa figure mais sganarelle exprime aussi la relation qu'il entretient avec lui . II .a une forme de fascination :

utilisateurs de moto que chez certains chauffeurs adultes ✓ Pour les motards leur machine n’est que symbole de puissance et de virilité. ✓ Les motards des différents pays ont un même code. ✓ La moto est utilisée pour enrager les parents. A.2. (1 point) Cherchez dans le texte la phrase qui exprime le mieux l’idée suivante: - Les adolescents s’appuient sur la peur de leurs parents pour les dominer. A.3. Lexique (1 point) Cherchez dans le texte le SYNONYME

dans ta sphère » ; « J’aime ta joie parce qu’elle est folle », elle le voit indispensable : « lui seul peut nous … aider… il a tant d’assurance » . En revanche le regard masculin ne dévoile que ses défauts. Bartholo le définit en tant que « bavard enragé » et « le plus fier insolent ». Le Comte le considère comme un menteur intéressé par l’argent : « cent fois je t’ai vu marcher a la fortune et jamais aller droit ». C’est avec son autoportrait dans son monologue acte V scène III, qu’on apprend

lui la nouvelle de la mort du souverain se répend dans tout l’empire. Partout où il passe, des cris et des pleurs s’en suivent. À Massaba, Samilia annonçe à Kouame qu’elle a décidé de partir de la ville pour rejoindre les lignes de Sengo Kerim. Enrager par cette révelation, Kouame veut absolument en finir avec son rival. Prés du roi, l’esprit du roi Tsongor ne peut trouver le repos éternel et est parfait connaisseur de la situation. En effet, il voit Massaba plongé dans une guerre qui semble ne

soldats ou des individus innocents. Ce fut le cas pendant la Seconde Guerre Mondiale où les nazis tuaient sans aucune pitié, les individus n’appartenant pas à la race aryenne. De plus, l’affrontement entre deux groupes peut être assimilé à des animaux enragés prêt à tout pour arriver à la victoire, soit que le meilleur gagne, d’où la bestialité de l’homme qui ressort pendant la guerre. Néanmoins, dans une guerre, le meurtre peut être assimilé à un devoir. En effet, le meurtre peut entraîner une certaine

Acte I[modifier] Dans les jardins d'un palais ouvert au public. Seule l'édition parisienne de 1682 précise que l'action se déroule en Sicile 25. Sganarelle, après un éloge du tabac, décrit son maître à Gusman, l'écuyer de Done Elvire, comme un « enragé, diable, hérétique, épouseur à tout main, grand seigneur méchant homme ». On apprend que Dom Juan a séduit, épousé puis abandonné Done Elvire. Lorsque Dom Juan paraît, Sganarelle tente de lui faire entendre raison. On apprend qu'il a également tué

fait remporter une victoire pleine, Et de nos ennemis a mis le chef à bas ; C’est moi qui suis Sosie enfin, de certitude, Fils de Dave, honnête berger ; Frère d’Arpage, mort en pays étranger ; Mari de Cléanthis la prude, Dont l’humeur me fait enrager. Qui dans Thèbes ai reçu mille coups d’étrivière, Sans en avoir jamais dit rien, Et jadis en public fus marqué par derrière, Pour être trop homme de bien. Sosie Il a raison. à moins d’être Sosie, On ne peut pas savoir tout ce qu’il dit ; Et

une obsession, montrant que tout en lui rêve de tuer, au point d'en être obsédé. "fièvre grandissante, affolante du désir" Ainsi, ce qu'il décrit comme une maladie est un fait ancien, contre lequel il ne peut pas lutter. "D'autres... rêvent""lui... enragé... tuer" opposition entre les autres et lui Bilan: ...................................................................................................................................................................................

Harpagon pour elle. Scène V et VI Harpagon, Elise, Frosine et Marianne C’est les présentations. Scène VII Harpagon, Cléante, Elise, Frosine et Marianne Arrivée de Cléante qui fait des présents à Marianne au nom de son père, lequel enrage. ACTE IV Scène I Cléante, Elise, Frosine et Marianne Ils cherchent à trouver une solution pour renverser la situation. Scène III Harpagon et Cléante Ils parlent de Marianne et chacun restent sur sa position. Scène IV Harpagon