Enragés

alète, transperça simultanément trois hommes arrivés à cheval. A sa droite, où traînait sur la terre grumeleuse le pan le plus ample de sa peau de léopard, elle fendit l’air d’une de ses lances en sautant sur un homme vêtu de pourpre tel un félin enragé ayant toute la matinée guettée son ignoble proie. Ses compagnes, animées d’un ardent désir de lui ressembler, et même, d’initier de nouvelles pratiques guerrières bien plus cruelles que celles de leur modèle, brandissent des lames acérées et tranchent

situation, la pièce elle-même peut dépendre des personnages, par exemple quand une pièce met en scène Dom Juan, comme celle de Molière. Dans cette pièce le valet de Dom Juan ( Sganarelle) nous dresse un portrait de son maître. Il dit de lui que c’est un « enragé, un chien, un diable, un Turc, un hérétique...» D’après ce portrait Dom Juan nous apparaît comme un monstre. Le genre peut dépendre de la mise en scène. C’est le rôle du metteur en scène de déterminer la nature du jeu des acteurs et de décider

famille empoisonnée : « sang gâté » : « La famille n’était guère d’aplomb, beaucoup avaient une fêlure ». -contraste entre les jeunes normaux et Jacques, différent « Comme les autres, sous l’éveil de la puberté, rêvent d’en posséder une, lui s’était enragé à l’idée d’en tuer une » Conclusion Ce passage, issu d’un des derniers romans des Rougon-Macquart constitue un aboutissement du projet zolien : l’atavisme rattrape Jacques qui souffre de toutes les tares Macquart. Caractéristique de ce roman :

loin que remontent les souvenirs, de la source claire à la cascade souillée, Les flots toujours, tumultueux et ténébreux, nous ont entraînés, Aussi loin que remontent les écrits, du parchemin antique aux feuilles écarlates, Les mots toujours, enragés et chaotiques, nous ont suivi.... Alors, contre les méandres du Temps, Dos à ce qui fut, face à ce qui est, Spectateurs et acteurs de ce qui sera, L'éternité semble bien ténu, exposée à la fureur de nos éléments, L'éternité semble bien longue

extrait de Marivaux, mais aussi le comique de caractère avec la « fille-déesse » défendant son « peuple » ardûment. Mais encore nous retrouvons dans ces extraits le comique de situation : Agnès narre toute son aventure amoureuse à Arnolphe, qui lui, enrage. Mais de plus nous retrouvons comme dernier type de comique le comique de mots, avec l’éloge de l’oreille chez Ondine. Nous avons donc réussi à prouver à l’aide des trois extraits mis à notre disposition que la représentation amoureuse évoluait

madrilène, il a tout gagné*. Ou presque. Un trophée manque encore à son impressionnante collection : la Coupe du Roi. Pour Iker Casillas, la malédiction a suffisamment duré. "Je n'ai pas remporté ce trophée alors que je suis ici depuis onze ans", enrage celui qui garde la cage du Real Madrid depuis le 9 septembre 1999. Du haut de ses 29 ans et de ses 563 matches sous le maillot merengue, Casillas n'aspire qu'à une chose : soulever enfin ce trophée. Face au Barça, l'occasion sera belle. Elle s'était

d’une œuvre encore à l’état d’ébauche et qu’il faudrait achever car il considère que le portrait de son maitre n’est pas très précis. Sganarelle nous décrit tout d’abord don Juan comme un personnage impie, il va même jusqu’à le traiter comme « un enragé, un chien, un diable, un Turc, un hérétique » ce qui constitue une énumération négative et nous donne d’emblée une mauvaise image du personnage le traitant même d’hérétique. Puis il nous fait savoir que son maitre ne croit « ni ciel, ni enfer,

nouvelle fois d'entrer pour voir Agnès mais il est repoussé par les valets et également par Agnès qui lui jette une pierre à laquelle était jointe un mot d'amour. Horace raconte cette aventure à Arnolphe et lui lit le contenu de la lettre. Arnolphe enrage, il est obligé de reconnaître sa jalousie, et donc son amour pour Agnès, il est triste en même temps car il aimerait être aimé en retour. Après : Horace réussit une nouvelle fois à s'introduire chez Agnès qui est obligée de le cacherns son placard

Me voilà libre et solitaire! Je serai ce soir ivre mort; IVRESSE hyperbole Alors, sans peur et sans remords, Je me coucherai sur la terre, Et je dormirai comme un chien! Le chariot aux lourdes roues Chargé de pierres et de boues, Le wagon enragé peut bien Écraser ma tête coupable Ou me couper par le milieu, Je m'en moque comme de Dieu, Du Diable ou de la Sainte Table!

discours irrationnel Médée agit de son propre chef contrairement aux modèles tragiques et antiques.(V57-49-87-100-101)  »Je » sujet, acteur et maître de l’action. Personnage déterminée, libre et volontaire de ses actes (V18-19-10-31-40) Personnage « enragé » guidé par la vengeance dans une logique de destruction (V11-15-42-47-95-98) Un personnage en proie à une certaine folie meurtrière, expression de l’excès, de la démesure (V57-71-72-46-45) Une mère aimante/aimé. Champ lexical de l’amour, associé