Enron

5/Attraits touristiques Le centre culturel de Houston avec ses musées d'Arts, pour enfants, de Science Naturelle, d'Arts contemporains et d'autres attractions se trouve au Sud même du cœur de la ville. Le "Bayou Place Entertainment Complex" et le "Enron Field", le nouveau stade de l'équipe de baseball des "Houston Astros", se trouvent tout proche. ▪ Musées et galeries : ❖ Le musée de l’Aérogare de 1940 : la nostalgie de l’aviation ❖ Le musée de l’Holocauste

ménage. En pleine traversée de l’"hiver nucléaire des télécoms", un cycle de récession, au mieux de stagnation, qui s’étend de 2000 à 2005, les figures de la nouvelle économie sont sévèrement sanctionnées. Alors que la crise argentine fait rage, Enron, qui a dissimulé ses dettes et ses pertes dans le secteur de l’électricité en utilisant frauduleusement des actifs non consolidés grâce à un montage réalisé auprès de quelque 30.000 sociétés offshore, se déclare en faillite le 2 décembre 2001. 85 milliards

public, surpris la confiance du marché et porté préjudice aux actionnaires." 2001 : Enron : Avant de disparaître, Enron se positionnait parmi les plus grosses capitalisations boursières mondiales. Pourtant, cet énorme groupe texan a sombré en 2001, entraînant dans sa chute son patron, Kenneth Lay, mais aussi le cabinet d'audit Arthur Andersen .Ce sont en effet des comptes falsifiés qui sont au cœur du scandale Enron, spécialisée dans l'énergie et le courtage. Plus de 3 000 sociétés offshores avaient

entreprise d’améliorer la maîtrise de ses activités et son image auprès des marchés financiers. SOMMAIRE INTRODUCTION 6 Chapitre I : La loi SOX 9 1. SOX : contexte, finalité, cadre 9 1.1. L’affaire Enron 9 1.2. Une loi pour restaurer la confiance 10 1.3. Le contenu de la loi 12 Chapitre II : Les conséquences sur le contrôle et l’audit internes 19 1. Le contrôle interne 19 1.1. Qu’est-ce que le contrôle interne 19 1.2

Présentation rapide : Loi Sarbanes Oxley Objectif : Cette loi, comme d’autres textes à travers le monde 1, fait suite à certains scandales financiers (Enron, Worldcom…) et a pour objectif d’améliorer la transparence et l’exactitude des informations financières, pour éviter les fraudes, et redonner confiance aux investisseurs. Comment ? En instaurant : l’obligation de rapports annuels sur la mise en place de procédures de contrôle interne sur le reporting financier et contre la fraude, et sur

(export, partenariat, ouverture du capital, cotation…) ; Focus sur la transparence financière de plus en plus exigée par tous les opérateurs pour la prise de décisions économiques d’investissement et de financement (avènement de scandales financiers « Enron… », VIVENDI, Wordcom, éclatement d’Andersen …) ; Obligation de réduire les disparités comptables existantes entre les pays afin de : - D’améliorer et de comparer l’information financière ; - D’instaurer – ou de restaurer – la confiance des investisseurs

concernant le mode de direction et de fonctionnement.  Instrumentalisation des codes moraux pour une façade purement « marketing ». [peut-on citer Benetton ou Nike]  Utilisation des biens de l’entreprise à des fins privées : abus de biens sociaux [Enron, Elf,…]  Respect de l’acheteur : ne pas manipuler le client en proposant des produits non disponibles en stock ou en très petit nombre, publicité mensongère…  Délits d’initiés, corruption, pots de vin, rémunération excessive des dirigeants – y

pour les pays continentaux). On peut distinguer globalement deux grands modèles : anglo-saxon et français. Le gouvernement d’entreprise à la française se rapproche toutefois progressivement de la pratique anglo- 9 saxonne. Car dans l’ère post-Enron, les trois pays sont confrontés aux mêmes enjeux. 2) Le modèle anglo-saxon de gouvernement d’entreprise : l’actionnaire roi, du moins en théorie… Aux Etats-Unis, l’essentiel du débat porte sur la relation d’agence entre actionnaires et dirigeants.

série de crises – immobilière, bancaire, fi nancière… Là encore, la communication est coupable. Coupable d'avoir maquillé provisoirement un décalage toujours plus grand entre économie réelle et économie virtuelle. Avec les aff aires Vivendi ou Enron, l'opinion publique découvre en eff et que le système économique et fi nancier, loin de reposer sur la vérité des chiff res et l'objectivité des notations, n'est qu'un théâtre où la croissance peut être fi ctive. Coupable d'avoir décrédibilisé l'autorité

construit. Derrière les enjeux de l’ultra libéralisme, chaque nation tente de maquiller habilement un protectionnisme social et économique .pour résister aux stratégies de domination des sociétés mondiales, dont l’éthique est parfois douteuse (affaire enron). Les états s’associent, renforcent leurs liens, font revivre des associations économiques en léthargie. Face à l’union européenne qui doit s’élargir, les états unis rêves d’une association qui réunirait l’ensemble du continent nord et sud américain