Epargne Productive

microcrédits ») à des familles pauvres pour les aider à conduire des activités productives ou génératrices de revenus leur permettant ainsi de développer leurs très petites entreprises. Avec le temps et le développement de ce secteur particulier de la finance partout dans le monde, y compris dans les pays développés, la microfinance s’est élargie pour inclure désormais une gamme de services plus large (crédit, épargne, assurance, transfert d’argent etc.) et une clientèle plus étendue également.

obligatoire : elle est constituée de dépôt de garantie et d’épargne contractuelle est directement liée au volume de crédit. Cette épargne n’est pas rémunérée et est tributaire donc à la fois du volume de crédit octroyé et des politiques de crédit. Au niveau des produits de crédits Le crédit régulier Peuvent prétendre à ce type de crédit, les membres ayant épargné régulièrement au moins pendant trois (3) mois et disposant au minimum de 25% du montant sollicité dans leur compte. Le crédit

revenus. Par exemple, les salariés des entreprises fabriquant les biens de production reçoivent des revenus qu’ils vont ensuite consommer ou épargner. On voit ainsi qu’une dépense initiale d’investissement se traduit par une succession de flux de revenus et de dépenses.[…] L’investissement contribue également à accroître l’offre en augmentant les capacités productives. Ses effets diffèrent cependant selon la forme qu’il revêt. Source : P.A. Corpron, « l’investissement », Les Cahiers français n° 315

l’ouverture (HK depuis tjs, Singapour depuis départ britannique) Elements structurels caract : les 4 E (entr, épargne, éducation, Etats développeur) *Etat autoritaire avec pouv colonial souvent (HK), souvent loi martiale, démo apparente à Singapour -> Etat développeur avec choix du marché (après protectionnisme infantile) *planification indicative (Tw et Corée) *Implication dans sphère productive et aux entr (lien étroit entre KMT et prod à Tw ; lien Temasec et Merrill Lynch à Sing ; capitalisme privée

permettre à l'entreprise de produire. Le désir d'enrichissement est la condition de l'accumulation du K nécessaire à la production. Les revenus de la société sont tributaires de cette accumulation, elle n'est pas détruite mais enrichie => ce désir = épargne = vertu. Quesnay n'applique ce concept qu'à l'agriculture, Smith aussi à l'industrie et les services. b. Le marché # Richard Cantillon (1755) (Smith reprend son analyse du marché) Banquier irlandais du début du XVIIIe, fortune dans la banque, décès

- PIB : (Produit Intérieur Brut) mesure de la richesse créée par l'ensemble des organisations productives résidentes. - PIB marchand : mesure de la richesse créée par les entreprises au prix du marché, c-à-d au prix payé par l'acheteur du B ou du S vendu. - PIB non marchand : il n'y a pas de prix de vente, en csq, la valeur de la production est estimée à ses coûts de production. - Épargne brute : somme dont dispose l'entreprise pour réaliser des investissements. - EBE : (Excédent Brut

l’agriculture. - La BST (Banque Sénégalo-Tunisienne) pour donner une impulsion aux échanges entre le Sénégal et la Tunisie. Elle représente 1% du marché. - La BIS (Banque Islamique du Sénégal). - L’ACEP (Alliance de Crédit et d’Epargne pour la Production). C’est la banque mutuelle qui avait à l’origine pour objectif l’octroi de crédit aux micro-entreprises qui ne peuvent pas avoir accès au circuit bancaire formel. Son objectif est de suivre au quotidien les activités

Thème 1 : L’entreprise : structure productive et groupement humain. La création d’entreprise à connu ces dernières années un regain de vigueur : 321.000 créations d’entreprises en France en 2007, soit 13% de plus qu’en 2006 (selon l’INSEE). 326.000 créations d’entreprises en 2008. Ces chiffres sont bons, les français connaissent donc un engouement pour la création d’entreprise, favorisé par le statut d’auto entrepreneur. Mais une entreprise, c’est quoi ? I : Les multiples définitions de l’entreprise

sans accélération de l’inflation sans « surchauffe ». Croissance effective : La croissance constatée, réelle, observée. * Si es capacité de productives ne sont pas totalement exploitées = la croissance constatée ≤ croissance potentielle. * Si la croissance effective dépasse la croissance potentielle => Il y a surutilisation des capacités productives = ↘ du chômage mais risque inflationnistes. Les facteurs de la croissance potentielle sont la quantité des facteurs de production et leur niveau

dépendante des conditions climatiques + Années de secheresse - Niveau du K humain trop faible (poids de la pop rurale, éducation faible agri peu productive) 5) Les défis - Développer le modèle d’agriculture : permettre à l’éco d’être moins dépendante des aléas climatiques - Rattraper le retard sur le plan du K humain (+ formé et orientés vers des act productives (ex : portuaire) Gains dynamiques de (P)ité et de Cce Génèrent des éco d’échelle + effets d’apprentissage + externalités entre les (E)