Epargne Productive

reste aux capitalistes après avoir payé le facteur travail et la rente foncière. Etat stationnaire - La population croit, donc les substances augmentent, donc il faut mettre en culture de nouvelles terres. - Ces dernières sont moins productives que celles déjà utilisées : les coûts de production du blé sur ces terres augmentent, entraînant une hausse générale du prix du blé sur le marché. - De nouvelles rentes apparaissent. - L'augmentation du blé oblige à relever les salaires (car

donc l'investissement augmente les capacités de productives. Leurs études cherchent à mettre en relation ces 2 choses (offre et demande globale). Ils constatent que la demande va permettre de comprendre l'évolution du revenu global, le modèle keynésien dit que l'investissement d'une période entraine un surcroit du revenu global. Quand on investit on augmente les capacités productives.

OUDGHIRI Lina HK3 FICHE DE LECTURE Macroéconomie, consommation et épargne de Patrick Villieu, Repères, La Decouverte, 2002 INTRODUCTION : Définitions : La consommation est l’épargne des ménages sont au centre du débat économique contemporain : On y oppose généralement=> keynésiens (approche par la demande) Classiques ou néoclassiques (approche par l’offre) Au niveau macroéconomique, la Comptabilité Nationale définie deux notions de consommation : • Consommation effective des

-« L’investissement est souvent question d’émotion d’esprits animaux », J M.Keynes. -Il faut aussi garder à l’esprit que le problème n’est pas le même dans le cas où les facteurs sont substituables car alors, le cout relatif du travail influence la combinaison productive (une substitution K au L est possible) A .Répondre à un accroissement de la demande globale anticipée -Pour pouvoir produire plus, l’entreprise doit être amenée à investir. 1.La recherche d’un effet capacité :

Formes de la consommation La consommation a des finalités selon le type de consommation, de ce fait on distingue les formes suivantes :  La consommation finale qui est le fait généralement des ménages, elle est considérée comme une consommation non productive puisqu’elle contribue à la satisfaction immédiate d’un besoin chez l’utilisateur.  La consommation dite « marchande » il s'agit de la consommation de biens et de services vendus sur un marché. La consommation dite « non marchande » qui correspond

rationnelle. Ils peuvent procéder à une analyse coût-avantage-risque pour déterminer la conduite optimale à adopter. * Pour les ménages, les prix obligent constamment à réaliser des arbitrages : Consommer ou épargner. * Pour les entreprises, les prix déterminent la rentabilité de l’activité productive, ils dictent donc les orientations de l’entreprise en matière d’investissement, de production, de localisation. * Les anticipations des agents économiques ont un impact au présent sur le marché. Une

publics. » Source : Andrea BASSANINI et Stefano SCARPETTA, « Les moteurs de la croissance dans les pays de l’OCDE : analyse empirique sur des données de panel », Revue économique de l’OCDE, n° 33,2001. 1. Capital humain : ensemble des capacités productives qu'un individu acquiert par l'accumulation de connaissances et/ou de savoir-faire. 2. Toutes choses égales par ailleurs : les autres variables étant inchangées. * DOCUMENT 4 DOCUMENT 5 « Seule opération économique majeure à avoir

veut découvrir ces lois naturelles qui régissent l’ordre éco et soc. Dans son ouvrage c’est la 1ère fois qu’on représente l’éco dans un circuit fermé où il étudie la circulation de la valeur. Il présente une éco agri en 3 places soc : classe productive (fermiers) : P (5 unités) ⎝ auto conso (2), loyer (2), acheter outil (1) classe proprio foncier : reçoivent loyer (2) ⎝ produits agri (1) et produits manufacturés (1) classe artisant commerçant : reçoivent vente (2) ⎝ produits agri (2)

Exemple. Selon la conjoncture économique, les commandes de l’entreprise peuvent varier à la baisse et rendre la rémunération plus fluctuante et plus difficile à prévoir. La mise en place d’une rémunération individualisée peut se révéler contre-productive si elle nuit à la coopération et incite les collaborateurs à ne voir que leur seul poste de travail pour améliorer ponctuellement leur rémunération. Il est donc plus facile d’individualiser les rémunérations liées à des postes où il est possible

généralisée des inégalités peut aussi s’expliquer par des échanges internationaux plus importants qu’avant (doc 2). L’internalisation est un processus d’intégration économique irréversible et concerne aussi bien les opérations commerciales que productives ou financières. Ainsi dans les pays en développement, les salariés ont un salaire nettement inférieur aux salariés des pays développés, alors qu’ils ont le même niveau de qualification. En ce sens l’internalisation favorise également les inégalités ;