Épée

enluminures représentent des scènes du roman, tantôt ce sont des majuscules qui sont décorées. Elles portent alors le nom de « lettrines ». L’univers des romans de chevalerie L’univers des romans de chevalerie met en scène le roi Arthur, célèbre pour son épée magique Excalibur et ses chevaliers. Les histoires se passent dans le royaume de Bretagne qui comprend la Bretagne française, l’Angleterre, le pays de Galles, l’Écosse et l’Irlande. Arthur et ses chevaliers incarnent de grandes valeurs comme

d’où le terme « la jurisprudence » (la prudence du droit : un savoir technique, un savoir maitrisé : le discernement). Thémis est représenté par une femme avec un certain nombre d’attribut : la balance (symbole de l’équité, la fonction du juge), une épée (aspect coercitif, la justice doit parfois trancher) et elle a les yeux bandés (car la justice est aveugle). La balance est un attribut pris de la religion, la balance va peser le poids de l’âme (jugement dernier) (Chez les Egyptien : la déesse

pour les rendre témoins de l'horreur de cette scène. Le soldat mort est en morceaux et écorchés ce qui montre, encore une fois, l'horreur et l'intensité de ces bombardements. Il tient une épée brisée avec son bras manquant. Elle symbolise son appartenance à l'armée Républicaine. Une fleur a poussé sur cette épée, symbole d'espoir. La ʺ lampe ʺ au plafond a plusieurs sens : ce pourrait être un soleil, une lampe qui projette une lumière en forme de lames, l'œil du peintre ou peut-être l'explosion d'une

tableau composé de couleurs monochromes (blanc, gris, noir) qui représente une scène où l’on voit différents animaux et personnages déformés. Au premier plan on voit une femme avec un enfant dans ses bras, un taureau, un homme allongé avec une épée dans la main droite, un cheval, une lampe au plafond. Ces personnages ont une expression de visage fortes comme la femme criant de douleur, un cheval terrorisé et un soldat mort. Il y a quelques visages des personnages qui ont la bouche ouverte

panique, il dégaina son épée dont le pommeau était en or et il s’aventura dans une grotte. Soudainement, un énorme dragon arriva et cracha des flammes ardentes. Le jeune homme bondit sur la bête mais il le repoussa d’une force époustouflante. Tristan était blessé mais grâce à son haubert il ne senti que de simples coups. Il ne pensait qu’a sa gente dame la plus belle et meilleure. Par la suite il se releva et se précipita vers le dragon puis il lui transperça l’abdomen de son épée. Son haubert était abimé

détresse. L'enfant dans ses bras a les yeux vides, la tête et les bras ballants. Guerrier mort Le corps démembré et décapité témoigne de la violence et la brutalité du combat. Ses yeux nous font comprendre qu’il est mort. Il tient à la main une épée brisée, ce que est dérisoire pour lutter contre les bombes. Elle symbolise l’inégalité du combat La fleur dans sa main représente un fragile espoir. Le cheval D’après Picasso lui-même, il symbolise le peuple républicain espagnol. Sa gueule ouverte

conduira votre belle au palais par la petite porte ; et quant à nous, qu’avons-nous à craindre ? MAFFIO - Qui êtes-vous ? Holà ! arrêtez ! ( Il tire son épée. ) GIOMO - Honnête rustre, nous sommes tes amis. MAFFIO - Où est ma sœur ? que cherchez-vous ici ? GIOMO - Ta sœur est dénichée, brave canaille. Ouvre la grille de ton jardin. MAFFIO - Tire ton épée et défends-toi, assassin que tu es ! ’GIOMO saute sur lui et le désarme - Halte-là ! maître sot, pas si vite ! mdseries MAFFIO - ô honte ! ô excès de

conduira votre belle au palais par la petite porte ; et quant à nous, qu’avons-nous à craindre ? MAFFIO - Qui êtes-vous ? Holà ! arrêtez ! ( Il tire son épée. ) GIOMO - Honnête rustre, nous sommes tes amis. MAFFIO - Où est ma sœur ? que cherchez-vous ici ? GIOMO - Ta sœur est dénichée, brave canaille. Ouvre la grille de ton jardin. MAFFIO - Tire ton épée et défends-toi, assassin que tu es ! ’GIOMO saute sur lui et le désarme - Halte-là ! maître sot, pas si vite ! mdseries MAFFIO - ô honte ! ô excès de

plus de faire sourire le lecteur : érigé symboliquement en « frère », Candide ne sera pourtant pas agréé par le Baron comme « beau-frère » par la suite; reconnu avec une certaine emphase religieuse comme « sauveur », il transpercera bientôt de son épée le jésuite. Ainsi s’exerce l’ironie du conteur. Excessive, cette affection est peut-être aussi ambiguë : on sait que le jeune baron doit sa position de pouvoir à la passion homosexuelle d’un révérend père jésuite. La périphrase modale à l’imparfait

son amant par la vielle.   Le récit terminé, ils dînèrent puis se mirent sur le canapé quand Don Ishaar arriva   CHAPITRE 9   Le juif tira un long poignard et se jeta sur Candide ; ce dernier tira son épée et tua l assaillant. L’inquisiteur arriva et vis la scène. Candide le perça de son épée. La vielle leur conseilla de partir tous les trois à Cadix. Ils arrivèrent dans un cabaret dans Avacéna     CHAPITRE 10   L’argent de Cunégonde a été volé. La vielle proposa  de vendre l’un des trois