Éphore

collège des magistrats, les cinq éphores. Chaque citoyen devait en outre participer régulièrement aux repas pris en commun, les syssities, où chacun devait apporter sa contribution en vin, orge, huile, figues ou fromage. Faute de quoi il tombait dans la catégorie des hypomeiones, les «inférieurs», les «déchus», demi-citoyens qui constituaient une vaste classe intermédiaire entre les citoyens de plein droit et les habitants de la Laconie, privés de droits. Les cinq éphores étaient élus pour un an parmi

de la Constitution »[20] ou d'un « conseil constitutionnel »[21], les propositions les plus élaborées insistent toutes sur le maintien de l'équilibre des pouvoirs. Ainsi, le conventionnel Jean-Marie Rouzet propose l'institution d'« un collège des éphores(magistrat pour contrebalance l’autorité du roi et le senat) », chargé d'arbitrer les relations entre pouvoir législatif et pouvoir exécutif [22]. De son côté, le député Guy de Kersaint, propose l'institution d'un « tribunal des censeurs(un magistrat

fonction du culte,exclusivement religieuse et militaire,aucun pouvoir financier ni administratif. Il n’y a plus de pouvoir politique,financier.. Et même militairement et religieusement limité car sous contrôle des magistrats. B. Les magistrats:les Éphores Au nombre de cinq,élu chaque année parmi les citoyens,leurs pouvoirs sont extrêmement étendus,de surveillance des Rois,vérifient et les frappent d’amende si ce n’est pas respecté. Ils président les séances du conseil et de l’assemblée,contrôlent

quand même une cohésion identitaire très importante. Caractéristiques : Ils ont un code de loi : La grande Rhétra. Elle dit comment est gérer la cité. La pyramide politique de la cité est comme ceci : 2 rois provenant de deux familles, 5 Ephores, Genousia, Assemblée des citoyens. Platon et Aristote décrivent Spartes en tant que philosophes et Thucydide et Xénophon au niveau de l’histoire. De plus, ils n’ont pas vraiment d’éducation autre que militaire : la gymnastique et les grands rites

(jusqu’à la mort). IV. Les éphores. La question la plus difficile est l’origine ; cette institution semble apparaître assez tôt (vers le 8ème siècle : époque d’Homère, époque archaique). Leur nombre est de 5 ; peut être à mettre en relation avec les origines de la cité de Sparte formée avec 5 villages mis ensemble. Le pouvoir de ces magistrats s’est développé progressivement, au détriment des rois ; à l’époque Classique, on trouve le nom des 2 rois et des 5 éphores. Pouvoirs= le terme suggère

prépare. Les institutions à Sparte : Les spartiates votent par l’acclamation les propositions qui lui sont soumises. DEUX ROIS : Leurs pouvoirs sont restreints, ils sont chefs de l’armée et offrent des sacrifices au nom de la communauté. CINQ EPHORES : Elus pour un an, président l’assemblée, reçoivent les ambassades, punissent les manques à la discipline, surveillent les rois… CONSEIL DES ANCIENS (GEROUSIA) : 28 membres élus à viepar, préparent les projets soumis à l’assemblée, s’occupent de

Péloponnèse, Corinthe défend Mégare. Epimachia : Corcyre (colonie Corinthe) et Athènes. Perdiccas : roi macédoniens pèse cités Chalcidique alliées Athènes. 432 : débats Sparte. Malgré Archidamos conseille renforcer et négocier, Lacédémoniens suivent éphore Sthénélaïdas votent guerre. II/ La guerre d’Archidamos (431-421) Périclès, Longs Murs, peste : 1/3 ou 1/4 population. 428/427 : vaincs Mytiléniens. 425 : Cléon, Démosthène obtiennent reddition spartiates Sphactérie. 424 : A Délion, ligue béotienne

leur capacité révolutionnaire. Aussi, chaque année, « on leur inflige tout les ans certain nombre de coups, sans qu’ils aient commis une seule faute », un rituel annuel appuyé par l’archontat (généraux de l’armée), les polémarques et menés par les éphores. b) Une soumission acceptée et réglementée Lorsque « des Thébains en Laconie avaient fait prisonniers des hilotes et avaient invités ces derniers à chanter des poèmes de Terpandre, d’Alcman et de Spendon, ils s’y refusèrent », les hilotes totalement

cas, si on tolérait l'homosexualité, c'etait à condition que les concernés se comportent comme des hommes et on refusait qu'ils agissent comme des "folles" sous peine de se voir rejetés et traités de « culs-larges ». Les historiens grecs, Éphore et Strabon, évoquent ,quand à eux des mythes selon lesquels des hommes vennaient kidnapper des garçons et les emmènaient dans les forêts, où ils les gardaient pour en faire des hommes. L'apprentissage durait deux mois, au cours desquels il y avait

social aux individus, surtout les pratiques publiques, en conséquence, dans ces cas-ci les pratiques entre hommes. En conclusion, à cette époque, le prestige ne correspondait pas aux conquêtes féminines, mais bien aux conquêtes masculines. L’historien Éphore de Kymè (IVe siècle AV. J.-C.) démontre le mieux le cas crétois de l’homosexualité. En résumé, les mœurs amoureuses de l’époque comportaient des règles précises et contraignantes : le choix des amants était dicté par le rang social, les cadeaux étaient