Épicure

Cela montre qu’il appartient à une classe sociale populaire. Peu après il emplois un langage soutenu : « inter nos ou encore Epicure » qui est néanmoins employé a mauvais escient : il imite son maître. Cette tirade révèle la vantardise du valet. Il essaye de ressembler a son maître en employant du vocabulaire et des connaissances mais ce, à mauvais escient : Epicure est en réalité connu pour sa sagesse. Sganarelle le fait passer pour un débauché et quelqu’un de très peu honorable. Cette tirade

plus vers ce qui lui fait défaut et ne vise plus quelque supplément au bien de l’âme et du corps. En effet, noud ne sommes en quête du plaisir que lorsque nous souffrons de son absence. Or maintenant nous ne sommes plus dans le manque du plaisir » Épicure, Lettre à Ménécée. « Le désir de l'homme trouve son sens dans le désir de l'autre. » Jacques Lacan « Quand on a la foi, on peut se passer de la vérité. » Nietzsche « On ment bien de la bouche, mais avec la gueule qu'on fait en même temps,

10/11/2010 Athéisme et mort de Dieu Athéisme antique : LUCRECE – EPICURE : refus du miracle. Athéisme du travail et de l'action. Nous n'avons à attendre du ciel, il faut donc travailler. EPICURE croyait en l'existence des Dieux mais ne croyait en l'intervention des Dieux sur la vie. Les Dieux nous sont indifférent, alors soyons indifférents aux Dieux. Athéisme moderne (XVIII) : Surtout chez les matérialistes français athéisme messianique : humanité libéré par

il faut travailler à son propre bonheur. Vérifions donc cette piste II.Tester une hypothèse alternative : le bonheur dépend de la volonté A)Présentation de l’hypothèse 1)Ce qui est juste : en quoi le bonheur dépend de la volonté Consultant : EPICURE ceux qui croient que la philosophie est inutile ne s’en donneront jamais els moyens ; mais en philosophant on réfléchit sur els causes du bonheur et on cultive en soi le bien être. Reprendre les arguments du philosophe L’utilitarisme : le bonheur

imposant le courage). // Le grand homme injuste : commande la raison par le désir, par l’intermédiaire du cœur. Epicure : parle d’hédonisme une vie polarisée par le plaisir. Ce plaisir ne s’obtient pas par extension du désir [+ de désir= + de plaisir = ceci est faux est aboutit à une insatisfaction fondamentale]. Le plaisir se fait donc dans la restriction [+ de plaisir = - de désir]. Pour Epicure le plaisir n’est pas de l’ordre de la tension (il s’y oppose d’ailleurs, il est de l’ordre de la sérénité

singulier ne peut conjuguer « mourir » qu’au futur » (La mort). Parce qu’elle ne peut faire l’objet d’aucune expérience, la mort est impensable par excellence. La mort serait donc une sorte de « point hors sensation » dont la reconnaissance, selon Epicure (Lettre à Ménécée), permettrait d’exorciser l’angoisse humaine qui oppresse en mettant les hommes face à leur mort inévitable. L’angoisse empêche les hommes de se faire à l’idée de leur mort. La position empiriste d’Epicure pour qui « tout bien et

ce monde le seul digne d’être habité, et tel est le néant des choses humaines, qu’hors l’Etre existant par lui-même il n’y a rien de beau que ce qui n’est pas. Jean-Jacques Rousseau, La Nouvelle Héloïse Texte 2 Epicure, Lettre à Ménécée (traduction Marcel Conche) Épicure à Ménécée, salut. §1 Que nul, étant jeune, ne tarde à philosopher, ni, vieux, ne se lasse de la philosophie. Car il n'est, pour personne, ni trop tôt ni trop tard, pour assurer la santé de l'âme. Celui qui dit que le

sa hargne s'accumule dans des emportements lourds d'insultes. Face à la tyrannie de son maître, Sganarelle le critique très vivement, souvent lorsqu'il n'est pas là. Ainsi, il le qualifie, dés la scène 1 de l'acte I (p. 12), de « pourceau d' Epicure » (l. 6) « vrai Sardanapale » (l. 7), « hérétique » (l. 5)… Il présente son maître comme un libertin sans aucune morale : « rien n'est trop chaud ni trop froid pour lui ». Il a tenté de raisonner son maître à propos de ses mœurs qu'il n'approuve

sans doute indispensable au bonheur.   En effet, dans cette première partie nous avons en fait  surtout parlé des désirs insatiables de l’homme, des désirs trop grands pour être comblés. Ce pendant, certains désirs peuvent l’être et c’est pourquoi Epicure en vient à opérer dans sa Lettre à Ménécée une classification des désirs. Il distingue donc les désirs cités auparavant, et qui sont des désirs non nécessaires et non naturels, les passions sociales (désir d’argent, désir de gloire par exemple), et

risque de faire dépendre le bonheur des circonstances. L'amitié est aussi affaire de rencontre où le hasard entre pour une bonne part. Or, pour Epicure, le bonheur ne dépend pas des circonstances. C'est à chacun de faire ce qu'il faut pour être heureux en se réformant d'abord soi-même pour ne plus être le jouet des circonstances. II-:Le bonheur selon Epicure .. Ai le sage ne dépend que de lui-même pour être heureux (exposé de la doctrine). Néanmoins, dire que le sage ne dépend que de lui-même