Epidictique

importants sont : Sur la paix ,sSur l'île d'Halonèse sur les affaires de Chersonèse (le texte page 46), sur la lettre de Philippe, sur la couronne où il défend Ctésiphon contre Eschine. Genre épidictique : le but propre de l’art de la parole est de faire naître une croyance Les discours épidictiques ont pour but de faire changer d'avis le public, en influençant ses valeurs et ses croyances. Nous n'avons que deux discours de Démosthène de ce type. Le premier est l'Oraison funèbre pour les morts

subjugué par sa beauté « en fut surpris avec raison ». C’est enfin le monde du paraître : personne ne prête attention à sa fragilité. b) une héroïne à la beauté exceptionnelle Melle de Chartres semble tout avoir : on loue sa beauté [registre épidictique] (métonymie et substituts qui la désignent dans les premières lignes « une beauté », expression complétée par un adjectif mélioratif « une beauté parfaite ») mais aussi sa jeunesse (« extrême jeunesse, sa seizième année »), son rang social acquis

tout ce qu’il doit. » Les souvenirs émus touchent l’auditoire. La France n’est pas ingrate mais redevable. Ces émotions sont ainsi au service de la persuasion afin d’éloigner une possible guerre. Enfin, D. de Villepin utilise aussi le registre épidictique pour persuader le conseil de sécurité de l’ONU. Sa péroraison est élogieuse. Par l’évocation de la France et de l’Europe, « un vieux pays » et « un vieux continent », il donne l’image d’une nation et d’un continent anciens et expérimentés. Ce pays

antithèses, des connecteurs logiques marquant l’opposition et des parallélismes syntaxiques traduisant le conflit. 7-Le registre épidictique Correspondant au genre démonstratif de l’Antiquité, aux grands discours célébrant des héros ou dénonçant les méfaits et les défauts des ennemis, le registre épidictique fait appel à l’éloge ou le blâme. Le registre épidictique est un art de la rhétorique et de l’esthétique. Mais parfois, au détriment de la vérité et de l’objectivité, ce registre concerne

dénigrer | |Descriptif (portrait), | |Comique, ironique et satirique, oratoire, | |admiration ou de la répulsion, du |(blâme) |épidictique |narratif et argumentatif | |épique, pathétique et réaliste | |dégoût | |

Fiche de français n° 6 c CORPUS Saint-Rémi III. Les REGISTRES LIES AU GENRE EPIDICTIQUE (FMH 119 + glossaire ; NPF, p. 86) (de l'adj. grec "épi-deiktikos" = démonstratif, et du verbe "épi-deiknumi" = montrer ; cf. "l'in-dex", le doigt qui montre) D'après les Anciens, les genres oratoires sont au nombre de trois : le judiciaire, qui accuse (réquisitoire) ou défend (plaidoirie) ; le délibératif

considéré comme romantique 3/ LE GENRE LITTERAIRE un même texte peut relever de deux genres: ex. la fable, à la fois poème et apologue 4/ LE REGISTRE un registre dominant et d'autres éventuellement lyrique, polémique, fantastique, épique, épidictique, comique, tragique, élégiaque etc. attention: ironique et dramatique ne sont pas des registres ! 5/ LA STRUCTURE/CONSTRUCTION DU TEXTE 6/ LE MOUVEMENT DU TEXTE on compare le début et la fin cohérence/gradation/ dégradation 7/ LE SYSTEME DE

un service. II. La publicité peut être envisagée de plusieurs points de vue : Pragmatique- les énoncés constatifs suscitent une valorisation du produit constitué en OBJET DE VALEUR Rhétorique- le discours publicitaire s’apparente au genre épidictique (l’emploi des figures d’amplification - hyperboles, répétition, métaphore, personnification) Sémiotique- l’argumentation iconique redouble partiellement l’argumentation textuelle. III.Le slogan comme quintessence du discours publicitaire est

premier a avoir bati une poétique, une théorie de la littérature de l’époque et une théorie de la manière de comment lesoeuvres littéraires créent du sens. Il a crée aussi la métaphysique. Genres théatraux : comédie, tragédie, épopée, poésie Genre épidictique : l’éloge et la blame. On est dans le jugement de valeur, dans la valorisation extrême ou au contraire dans la dépréciation extrême. Genre délibératif : le Cid de Corneille. Lorsqu’on essaye de pser le pour et le contre d’une situation, on évalue

.Il donne ainsi plus de poids à cette seconde forme d’autorité. Pour ce faire, il oppose deux termes « prince » et « tyran » (l.18). Le terme « prince » désignant le monarque reconnu et accepté est positif ; il a une légitimité. . Le registre épidictique met donc en valeur le blâme de la tyrannie. 2) L’éloge du régime fondé sur un « contrat » est particulièrement net dans le §4. . Le terme « consentement » répété a un équivalent dans le texte de « contrat ». Ici, Diderot en définit d’abord son