Epidictique

Aristote définit cette discipline comme « la faculté de considérer, pour chaque question, ce qui peut être propre à persuader ». Cet art de persuader s’exerçait d’abord dans un contexte politique (de polis) : les discours judiciaire, délibératif et épidictique. L’objectif de la rhétorique est d’influencer l’auditoire auquel le discours s’adresse. L’orateur prend alors la parole pour l’amener à ses vues, influencer son jugement et faire suivre à sa raison le chemin de la logique. La rhétorique n’a donc

Marmontel, différents genres d’éloquence en rhétorique sont applicables en poétique. La tripartition par exemple se manifeste à travers : le délibératif (conseiller ou dissuader son interlocuteur d’agir dans tel ou tel sens), le démonstratif (ou épidictique, par lequel on loue ou blâme les qualités du sujet traité) et le judiciaire (trancher juste/injuste à propos d’une action déjà faite). Les genres et les styles : Sont associées à deux genres (épique, lyrique) les œuvres majeures de Virgile

exemple « xa va xa va xa » (v.5) et « la saison des za / la saison des za » (v.7-8), qui semblent servir à rythmer le texte autant qu’à amuser le lecteur, et donc la « fillette », afin qu’elle soit plus attentive au contenu du poème. Le registre épidictique est l’autre registre dans lequel seul le texte de Queneau s’inscrit dans ce corpus. Nous le savons grâce à l’éloge relevé dans les vers 15 à 19, et au blâme qui suit peu après dans les vers 35 à 38. On relève aussi dans « Si tu t’imagines » une

Sarah SerbTravail d’écriture1DDans un premier temps, nous discuterons de la maîtrise admirable des techniques de composition dont Molière fait preuve sur le plan de l’organisation générale de sa pièce. Tout d’abord, nous nous pencherons sur l’apparition des personnages au cours de la pièce et sur ce que cela révèle quant aux thèmes abordés. Le degré d’apparition d’un personnage peut-être corrélé à la prédominance de certains sujets : Argan, désigné par la périphrase « Le Malade imaginaire », est

| |Didactique |convaincre, persuader. | |Epidictique |faire l'éloge ou le blâme de quelqu'un, de quelque chose. | |Elégiaque |se plaindre de quelque chose ( complainte ), en utilisant

-Evoquer la photo de la couverture et son côté artificiel. -Les chansons écrites pour l’exposition (« Nénufar », Alibert, p. 23). -Ecoute et étude de la chanson d’Alibert dans sa version intégrale. Un portrait dévalorisant ( blâme*. Registre épidictique* : célébrer les qualités (éloge) ou dénoncer les défauts (blâme). -Fonctionnement du texte ? -Désignateurs dévalorisants : « p’tit négro » (désigne tout un peuple par sa couleur); « Nénufar » ( élément de la nature. -Caractéristiques physiques dont

Fontaine prend tous les tons, varie les vers et les rythmes. Il fait parler les animaux. Les genres et les formes de l’argumentation Aristote distingue 3 genres de l’argumentation : le genre judiciaire (cherche à établir le vrai), le genre épidictique ou démonstratif (donne le plaisir du beau), le genre délibératif (entraîne vers le bien). A travers les querelles du 17e, ces genres prennent diverses formes. Le but de l’argumentation est de justifier un point de vue à un destinataire. Aussi peut-on

réguliers » qui traduisent l'harmonie du classique et les « cheveux blonds » qui sont souvent associés à l'or et au soleil. Les dernières lignes utilisent à nouveau des expressions à valeur superlative et hyperbolique, caractéristiques du registre épidictique (relatif à l’éloge)  : « la grande beauté », « ses cheveux blond lui donnaient un éclat qu'on avait jamais vu qu'à elle », « pleins de grâce et de charmes ». Mlle de Chartres semble être un archétype de la beauté féminine. Présentée la première

sujet noble ou trivial : effet de décalage ; exagérations donc hyperboles. Auteurs : Rabelais, Cervantès, La Fontaine, Voltaire, Flaubert…. Registres associés à l’argumentation Le registre ironique (argumentation polémique). Le registre épidictique (fait l'éloge et le blâme, suscite l'admiration ou le mépris) Indices : termes mélioratifs ou péjoratifs, figures de style comme la métaphore, la comparaison, l’hyperbole ou l’antithès ; ponctuation expressive ; référence à des valeurs partagées

(orateurs grecs et latins : Démosthène), s'est épanoui à l'âge classique (Bossuet, Massillon, Bourdaloue). La rhétorique antique a codifié ces types de discours en trois genres : le genre judiciaire est consacré à la défense d'une cause; le genre épidictique exprime un idéal collectif par l'éloge ou le blâme; le genre délibératif vise à conseiller les membres d'une assemblée en confrontant des arguments contradictoires. Formes dominantes : Types de texte : argumentatif, poétique, injonctif