Epidictique

serait lui aussi, d'après Diodore de Sicile, qui aurait conseillé aux Athéniens la désastreuse expédition de Sicile, sa ville, Léontium, étant menacée par les Syracusains [2]. En 427, Gorgias se signale par deux créations : il introduit le discours épidictique (éloge de tous genres), destiné à l'éloge d'un mort, d'une cité... Ces éloges étaient connus avant sous le nom de poésie lyrique. Gorgias crée une prose qui veut remplacer la poésie lyrique et qui soit aussi belle, savante et rythmée. La prose "gorgianique"

oratoires : judiciaire, délibératif (politique) et épidictique. Aristote dis qu’il y a trois genre car il y a trois sorte d’auditoire, c’est la necessité de s’y adapter qui donne à ces trois genre des traits spécifiques. Selon les personnes à qui l’on s’adresse on ne dira pas les mêmes choses et on n’en parlera pas de la même façon. Le discours judiciaire a pour auditoire le tribunal, le discours délibératif s’adresse au sénat, et le genre épidictique s’adresse à des spectateurs, à des gens qui assistent

divisé en quatre livres, eux-mêmes comportant des subdivisions. Chaque livre comporte un préambule et une conclusion5. * Le Livre I introduit les points que devra traiter l'ouvrage : les différentes sortes de discours (judiciaire, délibératif et épidictique (permet de vanter les qualités et les mérites d’une personne)) et les compétences que doit acquérir l’orateur touchant l’invention, la disposition, l’élocution, la mémoire et la performance, compétences qui s'acquièrent par la théorie, l’imitation mais

trois éléments principaux : l'orateur, le sujet traité, l'auditeur. S'ajoutent à ces éléments d'autres considérations sur le temps, les fins, les actions, les lieux et les arguments utilisés.   | Genre délibératif  | Genre judiciaire | Genre épidictique | L'Orateur  | le conseiller | le plaideur | le panégyriste | Le Temps | l'avenir =>c'est sur ce qui sera que l'on conseille ou que l'on déconseille. | le passé =>c'est toujours sur des actes accomplis que l'un accuse et l'autre se défend

ses engagements poétiques au sein du Romantisme ou du Parnasse (« Fils de la Grèce antique et de la jeune France »), se rapproche du genre de l’oraison funèbre. Ce qui n’est pas sans rappeler que celle-ci s’inscrit dans le genre du discours épidictique, théorisé et pratiqué dès l’Antiquité. Les qualités de Gautier sont ainsi évoquées par des verbes d’actions qui tendent à l’héroïser, d’où la comparaison avec Achille ou Roland. L’éloge est aussi une des composantes essentielles et traditionnelles

juge est donc très intéressé dans le débat. Le comte mort, seul Le Cid apparaît comme un héros valable. La rhétorique judiciaire est donc perpétuellement « brouillée » par des éléments délibératifs : quel est l’intérêt du roi ? par des éléments épidictiques : quel est le plus grand héros ? c) La loi et la coutume Chimène, initialement, insiste sur la grandeur du crime : le meurtre, assorti du préjudice à l’égard de l’Etat car c’est le meurtre du « soutien » du roi. Le crime, présenté ainsi, doit

Paris, un lyrisme particulier. Le poète est à la fois un témoin de la vie urbaine du XVIeme siècle, et chantre de la beauté. Introduction : Sonnet du XVIeme siècle, siècle de la renaissance, qui évoque Paris sous son vrai visage. 1.Poème épidictique allie les procédés de l’éloge et les procédés du blâme. - L’éloge : L’éloge de la ville s’étale sur les 2 quatrains, du premier tercet et va jusqu’à « ébahissement ». L’auteur a choisi des alexandrins, son discours poétique s’étale bien, il a

plus » / « ce qu’il a de plus » : on passe du négatif au positif. Ce qui le fait exister c’est le peuple, à nouveau sujet « vous lui fournissez ». C’est le peuple lui-même qui donne au tyran les moyens de le détruire. Discours épidictique (N.B: Le discours épidictique s’attache essentiellement au présent, à des faits actuels.   Il a pour objectif de persuader de ce qui est beau ou laid de façon esthétique ou morale (ce qui est vil ou noble et grand), de mettre en valeur les qualités (éloge) ou

l’utilisation du présent de vérité générale. Il couple ce registre didactique au registre épidictique qui lui permet de réaliser un blâme de la guerre, par le biais d’un lexique très péjoratif notamment avec les termes « dépravation » ligne 1, ou encore « déplorable » ligne 19. Ici, le registre didactique permet à l’auteur de susciter la curiosité chez son lecteur, avant de l’indigner par le biais du registre épidictique. On remarque donc que malgré des registres différents, Voltaire et Damilaville parviennent

me ferai |Poésie |Narratif |Recherche de savoir et|Lyrique, élégiaque, |Exprimer ses ambitions humanistes vite| |savant en la philosophie", | | |désillusion de |épidictique, ironique |anéanties par son voyage décevant. | |Sonnet 32, Les Regrets, 1558| | |l'auteur | |Faire une critique de l'Italie et de | |