Épistaxis

| |Ecoulement nasal +/- important : | | | |Sanguin : épistaxis | | | |Muqueux | | |

et même rassurer car les causes graves sont bien rares. Un peu de clinique La plupart des hémorragies nasales (épistaxis) sont bénignes « essentielles » c’està-dire sans cause apparente. Elles ont pour origine la tache vasculaire chez l’enfant et l’adulte, la paroi postérieure des fosses nasales chez la personne âgée, ou sont dues à des traumatismes bénins. Les épistaxis révèlent rarement une hypertension artérielle contrairement aux idées reçues. Seules les hypertensions très instables

Définitions Argilothérapie Aromathérapie Aroma. externe Acupressure Gemmothérapie Homéopathie Stimulation thyroïdienne Viscum Abum Ostéoporose : Vaccinium, Rubus Fructosus, Sequoïa Cinquantaine, Ménopause : Agitation, hémorragie, hémorroïdes, Epistaxis, intolérance à tout ce qui enserre, Volubilité, Bouffée de chaleur mieux avec règles : Lachesis - Besoin d'air : Sulfur - Bouffées pires avec règles, rhumatismes : Actea Racemosa - Dépression, tristesse : Sepia - Fatigue générale : China - Joues

Attention : Le nez saigne facilement surtout si on y introduit des sondes Notes : Ne jamais introduire de sondes dans le nez Astuces : On peut comparer l'intérieur du nez à un radiateur avec ses ailettes Savoir + : Le saignement de nez s’appelle un épistaxis Bouche Entre les 2 lèvres, l'air entre par la bouche, mais cet orifice est commun avec l'alimentation. Astuces : On peut comparer la bouche à un cube avec : - Faces antérieure et postérieure - Faces supérieure et inférieure - Faces latérales

anatomique peut en être le point de départ et/ou le siège : hémorragie ou hématome intracérébral, hématome du psoas, hémorragie intra-abdominale, hémorragie intra-articulaire. Il peut s'agir également d'hémorragies non graves par exemple : hématome, épistaxis, gingivorragie. Fréquents -Anémie, -Diarrhée, -Dyspepsie, -Nausées -Anémie  -Fatigue, -Nausées -Anémie, vertige, céphalées, -Syncope, tachycardie, hypotension, -Douleurs abdominales, dyspepsie, nausées

présence de bulles d’air dans l’alvéole après l’avulsion en est le premier signe. Sous anesthésie locale, la manœuvre de Valsalva peut la confirmer par la fuite d’air à travers l’alvéole de la dent qui vient d’être extraite ; – la présence d’une épistaxis doit également la faire suspecter ; – enfin, on peut réaliser l’exploration prudente à la curette ou avec une fine canule d’aspiration. L’existence d’une communication buccosinusienne doit faire l’objet d’une suture le plus étanche possible et d’une

prévention de la coagulation dans la circulation extra-corporelle lors d'épuration extra-rénale (hémodialyse), en lien avec le traitement de Mr X. Surveillance importante des signes hémorragiques extériorisées (hématurie, rectorragies, hématomes, épistaxis, gingivoragie), majorés par le conditionnement invasif de Mr X (VVC, VVP, SU, KTA, KT Fémorale, SNG, IOT, Sonde T°). | NORADRENALINE 2µg/kg/min Soit pour Mr X : 2µg x 75Kg = 150µg | La noradrénaline est une catécholamine qui agit par stimulation

les hémorragies : Souvent sur traumatisme ou des lésions préexistantes. Parfois spontanées (grand droit, psoas). En relation avec des interactions médicamenteuses L’infirmier doit savoir reconnaître les 1ers signes hémorragiques : hématomes, épistaxis, gingivorragies, pâleur, hypotension AVK : Nécroses en début de traitement. Grossesse : Malformation en cas d’exposition au cours du 1er trimestre. Héparines et HBPM Thrombopénie directe avec effet potentialisateur de l’agrégation induite par

l'importance et être sûr qu'elles sont bien seules responsables du saignement (pas trop de pudeur, votre médecin en a vu des fesses, des mieux et... des pires). En résumé, ne pas laisser « pisser le sang », COMPRIMER... SAIGNEMENT DE NEZ Ou épistaxis Exactement l'inverse de l'attitude populaire habituelle. Moucher vigoureusement, mettre la tête en avant, et comprimer la partie antérieure du nez (celle qui est molle) entre le pouce et l'index pendant 10 minutes (montre en main, c'est long

Salmonella mineure  Renseignements cliniques : Le 25/03/2011 : - BA âgé de 25 ans, hospitalisé au service des maladies infectieuses pour une dyspnée fébrile. Le patient présente une fièvre mal tolérée, un syndrome hémorragique (gingivorragie + épistaxis) avec une altération de l’état général. - Aussi a-t-il présenté le 25/02/2011 une hémorragie digestive de grande abondance révélant un gros ulcère gastrique (adénocarcinome gastrique peu différencié de stade T3Nx)  Prise en charge : Mis sous