Épithète homérique

la guerre, la colonisation, le taylorisme. – Mémoires d’Hadrien , Marguerite Yourcenar : On retrouve dans ce roman la musicalité de l’écriture antique à travers une écriture très classique et des épithètes homériques. Le roman permet alors de fraterniser davantage avec la voix de l’ auteur que celle du personnage. Conclusion :Le roman n’a pas pour unique fonction de permettre au lecteur de se mettre dans la peau des autres et de comprendre leur

victime de son émotion, est alors vive et brutale (« sotte »). Le lexique de la peur reste très présent dans ses répliques (« je tremble » ligne 1 ; « ces frayeurs » ligne 20). (ERASTE, lignes 21-31) L’amant commence par utiliser une épithète homérique stéréotypée (« belle Julie »). Puis dans sa tirade, le lexique de la machination et du théâtre est omniprésent : « quantités de machines », « nous ne feignons point »7, « tous les ressorts », « jouer », « comme aux comédies », « divers stratagèmes

poètes et écrivains, tantôt comme personnage de la mythologie, tantôt comme source d'une réécriture ou d'une actualisation du mythe. *Sa force Une caractéristique de sa personnalité est la bravoure, qui liée à son endurance – une autre de ses épithètes est« Ulysse l’endurant » - devient de la vaillance. Ces deux qualités ressortent particulièrement durant les tempêtes qu’il affronte, par exemple au chant V, avant d’arriver chez les Phéniciens : « Les deux genoux, les mains fortes d’Ulysse Lâchèrent :

d'un astre lumineux et pur. Cf. Aristote : dans le monde astral, les mouvements sont parfaits et silencieux. Ici-bas, ils sont approximatifs et bruyants. Le bruit est signe d'imperfection, de contradiction, de "friction". sale bête : genre épithète homérique ... Elle ajoute la parole au geste : ce n'est donc pas un hasard : c'est toute sa personnalité qui est investie dans cette atrocité. elle s'y donne tout entière. Et on a pourtant l'impression qu'en l'occurrence, la sale bête, ce n'est pas

tempête à un assaut monumental aboutit à une vision apocalyptique : le naufrage inévitable de l’équipage se traduit par la tombée métaphorique de la nuit, tombant comme un couperet, inéluctable. (« du haut du ciel tomba la nuit ») • Comparaisons homériques : « La houle au gré des courants, l'emportait de-ci de-là » « Comme quand, au temps des fruits, le Borée balaie les chardons dans la plaine, et ils s'agglomèrent en paquets » « ainsi, les vents sur l'eau le ballotaient de-ci de-là » « Tantôt

directement à la Muse avec le verbe à l’impératif « chante », c’est-à-dire à la divinité protectrice des poètes ; il lui demande de chanter le poème, c’est-à-dire d’inspirer le poète, qui sera en quelque sorte sa voix. 6 Ulysse est qualifié de son épithète homérique « aux mille ruses » [l. 1], ensuite on comprend qu’Ulysse est endurant et persévérant, enfin qu’il est un chef soucieux du sort de ses compagnons. 7 Le texte cite deux personnages qui vont s’opposer au retour d’Ulysse : la nymphe Calypso [l

n’est pas triste, il est simplement en colère après un vieillard contre qui il crie. Mais au moment même où il crie il se rend compte de l’inanité de son cri : " mon zèle est indiscret " nous dit-il au vers 59. "Ce vieillard est désigné par une épithète homérique hyperbolique dans le dernier vers " le plus semblable aux morts » qui fait écho au vers 20 " Un mourant qui comptait plus de cent ans de vie ". La place de ce vers et sa construction en chiasme redondante offre de manière insistante le

épisode est parodique. Le recours à l'épopée pour les volatiles inscrit la Fable dans le registre du Burlesque.Le combat héroïque n'est plus qu'une vulgaire querelle de basse-cour:(ex:v3  « tu perdis Trois est une référence à Hélène ». -v9 :épithète homérique, il fait référence à la beauté d'Hélène. -v6 :nous trouvons ce nouveau,une référence au siège de 10 ans relaté dans L'Iliade -v5:On vit le Xanthe teint -v1/10:Les allusions à la mythologie,l'apostrophe au dieux amar (v5)

l’aventurier de ces espaces nouveaux. Toutes ses escales se situent en Méditerranée, dans des îles que l’on a pu essayer d’identifier, comme l’île des Lotophages, assimilée à Djerba par Victor Bérard qui a trouvé des correspondances entre les lieux homériques et les lieux existant à notre époque. Effectivement, les éléments de description de cette île, tels que l’olivier, renvoient à des sites méditerranéens ; d’autre part, la notion de port naturel suggère des anses sableuses qui attirent toujours les

faire entrevoir la beauté du monde, mais pas telle qu’elle nous apparait. La beauté semble magnifiée, portée dans un langage tel, que le monde devient magique, comme bercé par la musique, presque enchanté. (« L’aurore aux doigts de rose », cette épithète homérique nous fait voir l’aurore d’une façon différente) Ce travail sur le langage révèle le pouvoir de convocation des mots, qui deviennent révélateurs d’un monde qui est en nous et qui nous dévoile. Il ne s’agit pas d’une forme d’autarcie esthétique