Équations de Friedmann

Chicago, opposé à Keynes). La courbe de Phillips commence toujours par l’arbitrage entre chômage et inflation mais dans les faits on s’aperçoit que lorsqu’on observe les courbes réelles, y’a des périodes où elle se relève et on ne sait pas pourquoi. Friedman dévoile l’anticipation adaptative. Les agents sont soumis à un phénomène d’illusion monétaire qui peut disparaître par moment. Que font les agents quand ils remarquent une chute de leur pouvoir d’achat ? (je vous aime bien mais le fait de savoir

supérieurs (loisirs) Déterminants : Psychologiques, sociologiques, (Galbraith : Filière inversé, l’O fait la D), micro-éco (Maximisation de la satisfaction + contrainte budgétaire), macroéco (Keynes : C=f(Revenu national)=> le revenu fait la demande, Friedman : théorie du revenu permanent) Epargne : Le temps est capital dans l’S, souvent considéré comme une conso différé Différents types d’S : Financières (placé ou thésaurisé), non-financières (immobilier) Pour les Classiques : Smith (S= accumulation

si le modèle Y=α+βX+ε est meilleur qu’un modèle ayant seulement une constante Y=α+ε Pourcentage de variabilité de la réponse expliquée par le modèle Modélisation : Régression linéaire Comment rapporter le modèle estimé ? → Sous la forme d’une équation : LogRecup1 = -2.994+1.316*LogAbsence ∑ (Yˆ − Y ) i =1 i n 2 ∑ (Y i =1 n i ˆ − Yi ) 2 Somme des carrés expliquée par le modèle Somme des carrés résiduelle Estimations des paramètres α et β Ecart-type des résidus

• T = le volume global des transactions effectuées en une année • P = prix moyen des transaction (prix nominal). Les relations entre ces facteurs et le niveau général des prix sont exprimées à travers une «équation générale des échanges » (= équation de Fisher) : MV = PT Cette équation ne traduit rien d'autre que l'égalité entre « la quantité de monnaie déboursée » et la valeur des biens acquis V et T étant considérées comme des variables indépendantes, toute augmentation de la quantité de

transactionnelle. Walras «  le besoin que l’on a de monnaie n’est autre chose que le besoin de marchandise que l’on achètera avec cette monnaie. 1883, Théorie de la monnaie » Cette approche transactionnelle= exprimée dans l’équation de Cambridge (équation des encaisses), développée par Marshall. M*D (demande de monnaie)=K (l’inverse de la circulation de la monnaie)*P (prix)*Y(revenu réel) La monnaie est f° croissante du niveau général des prix selon les néo. (plus les prix augmentent plus les

3 -En 1922, Alexandre Friedmann, astrologue russe, démontre qu’il existe une multitude d’univers, qui proviennent touts de la théorie de la relativité générale, et qu’il y en a un en expansion, avec ou sans constante cosmologique. La solution de Friedmann dépend directement de la densité de matière présente dans l’univers. [pic] Alexandre Friedmann (1888-1925) -Vesto Slipher, contribua lui aussi à l’élaboration de cette théorie

politiques economiques en période de sous-emploi I- La critique monétariste L'ecole de Chicago, avec à sa tête, Milton Friedman, va remettre en cause la théorie keynésienne en proposant une analyse microéconomique de la fonction de consommation et en réaffirmant, après les classiques, la neutralité de la monnaie. A- La théorie du revenu permanent 1- Définitions Friedman, en 1957, définit deux catégories de revenus: Le revenu permanent, dépendant du capital humain (les revenus qu'un individu

théorie quantitative de la monnaie (équation de Fisher) : M (masse monétaire) x V (vitesse de la circulation de la monnaie) = P (niveau général des prix) x T (niveau des transactions). En répondant trop facilement aux besoins de crédit de leurs clients, les banques peuvent créer trop de monnaie. Si la production (création de richesse d'un pays) ne progresse pas au même rythme, les prix augmentent et la monnaie perd de sa valeur. Ce constat fera dire à Milton Friedman que "l'inflation est toujours et

conso) A- PRODUCTION => REVENU => CONSO, EPARGNE=> INVESTIR => PRODUCTION -Offre = demande 2 théories s'opposent : 18eme siècle 19eme 20eme N.E.C classiques néoclassiques KEYNES néolibéraux libéraux WALRAS MIRDA FRIEDMAN SMITH MARSHALL RICARDO -les classiques, néoclassques, néolibéraux = >offre la base de la croissance JB Say : « l'offre crée sa propre demande » =>pour Keynes, la demande est la base de l'éco. « la production est la combinaison du facteur

Russe Alexandre Friedmann, qui l'avait proposé en 1922, cinq ans avant Lemaître. Cependant elle ne fut établie qu’en 1965 avec la découverte du fond diffus cosmologique, l'« éclat disparu de la formation des mondes », selon Georges Lemaître, qui prouva de façon définitive la réalité de l’époque dense et chaude de l’Univers initial. Notons au passage qu'Albert Einstein, en mettant au point la relativité générale, aurait pu déduire l'expansion de l'Univers, mais a préféré modifier ses équations en y ajoutant