Équations de Friedmann

: LES MOTEURS DE LA CROISSANCE CHAPITRE 12 LA POLITIQUE ECONOMIQUE DE L’ETAT MOTS CLES - Déficit budgétaire - Dette publique - Effet d’éviction - Effet Boule de neige - Effet multiplicateur - Fonctions allocation, redistribution, stabilisation - Friedman M. - Keynes J.M - Hayek F. - Laffer A. - Marchés contestables - Nordhaus R. - Politique budgétaire - Politique fiscale - Politique industrielle - Politique monétaire - Principe d’équivalence (Ricardo-Barro) 380 PLAN I. LES POLITIQUES CONJONCTURELLES

MOTEURS DE LA CROISSANCE CHAPITRE 12 LA POLITIQUE ECONOMIQUE DE L’ETAT MOTS CLES - Déficit budgétaire - Dette publique - Effet d’éviction - Effet Boule de neige - Effet multiplicateur - Fonctions allocation, redistribution, stabilisation - Friedman M. - Keynes J.M - Hayek F. - Laffer A. - Marchés contestables - Nordhaus R. - Politique budgétaire - Politique fiscale - Politique industrielle - Politique monétaire - Principe d’équivalence (Ricardo-Barro) 380 PLAN I. LES POLITIQUES CONJONCTURELLES

d'intérêt nominal - idem pour r (i déflaté des prix) - mais pour les entrepreneurs, les prix ont plutôt diminué (ce qui augmente r et coupe la relation causale hausse de D / hausse de I) B. L'investissement Motifs: 1. L'effet accélérateur: - Equation de base: Kd (capital désiré) = a (coefficient de capital). Ya (production anticipée) - Première dérivée: I = ∆K (en gros) = (Yta (taux de croissance de Y) + d * K (t-1) d = (taux de déclassement) - Seconde dérivée: ∆I dépend donc de Yta -

14.3.2 Calcul du protocole des rangs signés 44 14.4. Test Q de Cochran 45 14.5. Test de Friedman 45 15. Exercice à rendre par mail 46 16. Corrélation linéaire 48 16.1. Coefficient de corrélation 48 16.2. Alpha de Cronbach 49 16.3. Corrélation des rangs 50 17. Régression linéaire à deux ou plusieurs variables 51 17.1. Régression linéaire à deux variables 51 17.1.1 Equation de la droite de régression 51 17.1.2 Nuage de points et droite de régression 51 17.2. Régression

1879 – 1955 ) , dans une communication à l'Académie des sciences de Prusse , connu sous le nom de Considérations cosmologiques , élabore alors un premier modèle mathématique qui décrit l'Univers dans son ensemble . Cette solution s'appuie sur les équations de la théorie de la relativité restreinte ( 1905 ) , puis générale ( 1915 ) . Mais , dés les années qui suivent un mathématicien , astrophysicien et homme d'Eglise belge , Georges Lemaître ( 1894-1966 ) remet en cause les deux derniéres affirmations

différentes du chômage et des politiques économiques à mener. Sommaire [masquer] * 1 Historique * 2 Description * 3 Courbe de Phillips : l'équation manquante du modèle keynésien * 4 Courbe de Phillips et anticipations : Friedman et les nouveaux classiques * 5 Notes et références * 6 Bibliographie * 7 Voir aussi Historique La courbe de Phillips joue un rôle important dans l'histoire de la macroéconomie. Il s'agit en effet d'une relation empirique observée

quantitative de la monnaie : si la monnaie est neutre, il faut tout faire pour conserver cette neutralité, autrement dit il est nécessaire de préserver un rapport entre la quantité de monnaie en circulation et le volume des biens échangés. De là la fameuse équation générale des transactions de Newcomb, vulgarisée par Fisher (1911) : MV = PT M : masse monétaire ; V : vitesse de circulation de la monnaie ; P : niveau général des prix ; T : volume général des transactions. V et T sont

moments ou les individus reçoivent leur revenu et les moments où ils dépensent. Le modèle de WALRAS avec monnaie L’équation d’échange : L’équation des classiques est une identité qu’on formule de la manière suivante : M*V = P*T Dans cette équation : M : quantité de monnaie en circulation ; V : vélocité de circulation de la monnaie en termes de transaction ; P : prix du bien choisi comme numéraire ; T : quantité de transaction

décideur public (/policy makers). T= T(Y) [T : impôt et Y : revenus ] ; L = L(π, Y) [ L : perte du bien-être social ; π : inflation, Y :activité ] Les relations d’équilibres : qui définissent les conditions de réalisations du modèle : Conditions/équations d’équilibres ou déséquilibres. Ex : O=D (conditions de résolution d’un modèle Un modèle dispose de relations de définition et de relations fonctionnelles en vue d’établir des relations d’équilibres. Méthodes de Modèle : Cette méthode : est

certain temps cela est possible (à l’aide des champs électromagnétiques).  Les notions mathématiques que vous pouvez introduire à propos de ce sujet peuvent être en rapport avec la relativité et l’équivalence entre matière et énergie (la fameuse équation de Einstein E=mc^2). Vous pouvez faire quelques applications numériques assez surprenantes sur la quantité d’énergie libérée par l’annihilation matière-antimatière. Vous pouvez aussi jouer sur les nombres quantiques des particules et ses partenaires